filles, ceci est une co en dire, puisqu’il s’agi un PACE 1 or7 un fait peut être à la s „ Prenons l’exemple d les individus n’ont pa cours socio Premium gy antoinelmpn ceHTAôpR 02, 2014 7 pages La sociologie est une science sociale et humaine. Elle se définit comme la science des faits sociaux, ce terme a été donné par Emile Durkheim. Mais qu’est-ce qu’un fait social ? Un fait social n’est pas un fait individuel ou psychologique. Le sociologue ne peut expliquer que des phénomènes qui traitent des groupes ou catégories d’individus identifiables.
Par exemple, la mode vestimentaire, car celle-ci est suivie par la société entière u par des groupes sociaux. En revanche le sociologue ne peut étudier des faits individuels, car ce n’est pas un fait social. Un fait social n’est pas un fait biologique. Dans toutes les sociétés humaines, il nait plus de garçons que de Swipe Lo nexL page ciologue n’a rien ? non d’un fait social. gique et social. iologique parce que me métabolisme. C’est aussi un fait psychologique car le stress ou l’inquiétude peut modifier notre alimentation.
C’est un fait social car il est facile de constater, en comparant une catégorie sociale à une autre que le taux de personne obese n’est pas le même. On constante qu’en France l’obésité touche plus les catégories populaires que les cadres et professions intermédiaires. C’est le mo mode de vie des catégories sociales qui explique ces différences, ces différentes catégories sociales n’ont pas toute la même façon de se nourrir, elles n’ont pas le même rapport au corps. L’obésité est un fait qui relève à la fois du biologique, psychologique et du social. Mais le sociologue ne va étudier que l’aspect social.
Il va être utile pour aider les pouvoirs publics à lutter contre l’obésité. Par exemple, en conseillant le ministère de la santé de centrer a campagne de lutte cantre l’obésité sur les catégories sociales populaires et sur certaines régions Notons que la féminité est la masculinité sont à la fois des fait biologiques et sociaux. Pour paraphraser et compléter Simone de Beauvoir « On nait femme et en plus on le devient Sauf exception on nait de sexe féminin ou masculln mais la façon dont on va vivre sa féminité ou masculinité va dépendre de la société et de la catégorie sociale auxquelles on appartient.
Il n’y a pas eu de mutation génétique depuis 2 générations et pourtant les jeunes femmes d’aujourd’hui ont une façon de vivre leur féminité t leur vie de femme différente de celle de leur grand-mère. Cest donc la société qui a changé en conséquence les rôles sexués ont changés. Pour résumer, on peut dire que si l’on est face à un fait social, on peut se demander si ce fait varie à travers le temps, l’espace géographique, l’espace social ? Si oui, il s’agit bien d’un fait social. par exemple le mariage ou la façon de vivre en couple est un f PAG » rif 7 il s’agit bien d’un fait social.
Par exemple le mariage ou la façon de vivre en couple est un fait social puisque ce n’est pas la même chose en Suède ou au Maghreb. Ce n’est pas la même chose dans la France contemporaine ou dans la France d’il y a 40 ans. L’âge de la mère à la première naissance va être différent selon les endroits géographiques, la situation sociale ou encore la génération. Forces sociales et liberté individuelle Si on suit la logique sociologique on pourrait voir les individus comme des robots programmés par le social, par leur appartenance à telle ou telle catégorie sociale.
Par exemple on réussirait à l’école parce qu’on a des parents cadres supérieurs et on serait en situation d’échec scolalre si on est fils ou fille d’ouvrier. Mais les choses sont plus nuancées, nous sommes le produit d’un mélange de programmation sociale et de liberté individuelle. Par exemple au niveau de rhabillement on suit consciemment ou pas la mode en vigueur de la catégorie, la classe d’âge mais on le fait forcement de manière un peu différente de notre voisin.
Croire que nous sommes entièrement déterminé socialement que nous n’avons aucune marge de manœuvre, qu’il suffit de savoir à quelle catégorie sociale on appartient pour connaitre nos gouts, comportement et idées est une forme de croyance en la toute-puissance de la sociologie. C’est ce qu’on appelle le sociologisme. Au contraire croire que l’individu est totalement libre, qu’il n’est aucunement influencé par le PAGF3C,F7 Au contraire croire que l’individu est totalement libre, qu’il n’est aucunement influencé par le milieu, l’époque auquel il appartient, croire donc qu’il a une liberté individuelle sociale est absurde.
Tous les soclologues sont d’accords pour s’éloigner de ces deux versions extrêmes. Néanmoins selon les écoles de pensées les sociologues donnent plus ou moins d’importance au déterminisme social. Il donne également plus ou moins d’importance à la liberté individuelle. Ainsi les sociologues qui se rattachent au paradigme de l’holisme ont tendance à donner une forte influence à la force sociale dans le destin des individus, donc une liberté individuelle relativement faible.
En revanche les sociologues rattachés au paradigme de Pindividualisme méthodologique considèrent que les indivldus subissent des contraintes sociales importantes mais. Ils leur restent néanmoins des possibilités personnelles non négligeables pour choisir leur destin. Le sociologue Pierre Bourdieu peut être rattaché au courant de l’holisme, lorsqu’il explique le destin social des individus. Il insiste sur la tendance à la reproduction sociale, le fait que d’une génération à l’autre la mobilité sociale est souvent faible. Autrement dit, on a tendance à appartenir à la même classe sociale que ses parents ou à une classe proche.
Pour lui les forces sociales, sont déterminantes pour expliquer le mode de vie et le mode de pensée des individus. Toutefois il considère qu’il reste à chacun une part de liberté ind mode de pensée des individus. Toutefois il considère qu’il reste ? chacun une part de liberté individuelle même si celle-ci est plutôt réduite. Le sociologue n’est pas : A) Un théoricien du travail social Le travail social est une pratique mais la sociologie n’est pas une pratique sociale. La sociologie est un effort pour comprendre la société. Comme tout le monde le sociologue est une personne privée, un individu qui partage des valeurs.
Mais dans ses activités de sociologue, lorsqu’il essaie de comprendre la société l’unique valeur que le sociologue doit respecter est celle de l’intégrité scientifique. B) Un réformateur Certaines découvertes sociologique ont contribué a amélioré le sort de certain groupe sociaux, par ex en révélant le scandale de leur condition. C) un collecteur de statistique Le sociologue est parfois assimilé à un statisticien, il est vrai que les outils utilisé dans les instituts de sondage sont très proche de ceux du sociologue. Les travaux comme ceux de KINSEY ont contribué à cette image.
De 39 à 54 il a collecté des données en interrogent plus de 12000 américains. De plus en sociologie la question de base demeure. D) un jargonneur Toutes les disciplines scientifiques doivent construire une terminologie. Ceci est encore plus important dans les sciences sociales car leur objet d’étude est familier. Le concept de classe très important en sociologie dans le langage courant trouve des izaines de sens, ça peut désigner une tranche de reve sociologie dans le langage courant trouve des dizaines de sens, ça peut désigner une tranche de revenu, quotient intellectuel ou un groupe ethnique.
Pour procédé avec rigueur scientifique le sociologue doit avoir une définition précise. En conclusion on peut comprendre que le sociologue a inventé des mots nouveaux. Ce que la sociologie est . Le sociologue est amené à rencontrer d’autres voyeurs professionnels comme Féconomiste, le politologue, l’historien, l’ethnologue, des scientifiques qui regardent comment fonctionne la société. Pourtant les questions qui amènent tous ces voyeurs professionnels à un endroit précis sont différentes. Les questions que le sociologue va se poser seront les suivantes : que font ces gens les uns avec les autres ?
Quelles relations entretiennent- ils ? Comment ces relations s’organisent elles en institution ? Quelles sont les idées collectives qui font bouger les gens et les institutions ? En cherchant les réponses à ces questions, le sociologue sera amené à traiter des questions politiques, ou économiques mais il le fera dans une approche différente de l’économiste et du politologue. On peut dire que le voyeur le plus proche du sociologue est l’historien, dès l’instant où le sociologue quitte le présent pour se tourner vers le passé, il devient difficile de distinguer sa recherche de celle de l’historien.
En sociologie, l’objet des recherches est familier ainsi les découvertes sociologiques sont intéressantes voir plus choquantes que est familier ainsi les découvertes sociologiques sont intéressantes voir plus choquantes que dans les autres sciences. Pourtant cette simplicité est trompeuse, prenons l’exemple extrême d’un explorateur occidental à qui on révele lors d’un repas qu’il est n train de manger la dame avec qui il bavardait la veille, choc sur le plan physiologique et moral, prévisible.
De nos jours, les explorateurs ont peu de chance de tomber sur des cannibales. On peut donc parler de découverte sociologique en l’assimilant à un choc culturel sans déplacement dans l’espace. Autrement dit, le sociologue voyage sur place et ce voyage à des effets déroutants. La découverte par exemple de l’église qu’il fréquente détient d’important placement dans l’industrie de l’armement ou encore le fait qu’à quelque rue de chez lul, il y a des gens qui ‘adonnent à des cultes orgiaques.
Ces exemples vont également lui provoquer un choc, comparable peut être au fait d’avoir mangé une dame la veille. Bien sur la sociologie n’a pas pour unique but de choquer au sens moral, mais à ceux qui veulent éviter le choc des découvertes, ceux qui préfèrent penser que la société est exactement comme on leur a appris au catéchisme, ceux qui apprécient le confort des règles et de la norme, ce que Alfred Schutz a appelé « le monde pris comme allant de soi » et bien ? toutes ces personnes, il convient d’éviter la sociologie.