Il) Les critiques de l’absolutisme : l’exemple français. Au XVIIIeme , la France connait, comme d’autre pays européens, un mouvement philosophique appelé « Les Lumières » s’inscrivent dans le prolongement de l’Humanlsme du XVIeme et poussent plus loin la critique de la religion et de la politique. Sur le plan religieux, les athées sont peu nombreux. Mals beaucoup d’auteurs développent le déisme : il existe un dieu qui a crée le monde mais ce dieu n’intervient pas plus après cette création. Cest l’image chez Voltaire du « dieu horloger ». Le monde fonctionne seul, sans intervention divine.
Comme l’horloger qui fabrique sa montre, Dieu a crée le monde qui obéit à certaines règles, puis ne s’en occupe plus. La critique porte également sur le domaine politique, dis que Dieu est seul nt liés. En effet, si je Roi de dro on Sni* to nextggge droit divin n’a plus de sens. L’idée d’une monarchie absolue de droit divin où le monarque est le représentant de Dieu sur Terre n’a plus de sens. Il faut donc chercher d’autres sources ? la ligitimité du pouvoir que la relgion. De nombreux philosophes s’interessent à cette question et apportent des réponses parfois rès différentes.
Ex: Montesquieu estime que le meilleur régime politique est celui où les pouvoirs sont séparés. Ce n’est pas la même personne qui fait les lois, qui les applique et contrôle leur appllication. Autres ex: Rousseau reste dans l’idée du pouvoir absolu mais le pouvoir doit appartenir au peuple. Mais les idées des philosophes constituent une critique de la monarchie absolue. Cependant, il ne faut pas avoir une vision simpliste et penser que ce sont les idées des philosophes qui ont pousé les révolutionnaires à renverser la monarchie.