rapport : le coaching

Le coaching Définitions : Le mot « coach » est un mot anglais (To coach, entrainer, préparer, accompagner, motiver) dérivé du mot français « coche Le cocher est celui qui transporte et conduit toute personne d’un point à un autre sans faire de tri et sans même choisir la destination. Le coaching puise dans diverses techniques comme : l’Analyse Transactionnelle (AT), l’énnéagramme, le Myer Briggs Type Indicator (MBTI), la Process Communication, la pédagogie, la programmation neurolinguistique (PNL), la systémique, la psychanalyse, l’appro Gestalt, le modèle de o org

Management System ME • Sni* to View pour Robert DILTS, C’ ementale, la ève, le Team encourager les individus et les équipes fonctionner au top de leurs capacités. Il s’agit entre autres de faire ressortir les points forts des personnes, de les aider à dépasser des barrières et des limites personnelles afin de réaliser le meilleur d’elles mêmes.

Il s’agit également de les faciliter afin qu’elles accomplissent leur fonction plus efficacement au sein d’une équipe Pour Vincent LENHARDT : « le coaching est un accompagnement, dune personne ou d’une entreprise dans une situation rofessionnelle pour l’aider à trouver ses solutions et développer ses compétences dans une perspective de développement durable e Swlpe to vlew next page et global des personnes et des organisations John WHITMORE considère que « le but du travail d’entraînement est de libérer le potentiel pour le porter à son niveau de performance optimale.

Il s’agit d’apprendre au client à apprendre par lui-même, plutôt que de lui faire ingurgiter un savoir exterieur Et enfin, pour François DELIVRE , le coaching est une «série d’entretiens individuels entre une personne (le coaché) qui onsulte un tiers extérieur (le coach) pour traiter un problème professionnel lié à la personnalité du coaché Le coaching est « intégratif » car il est un assemblage de divers concepts et méthodes issues de différents champs conceptuels tels que la spiritualité, la psychothérapie, la psychologie et l’épistémologie.

C’est un « processus d’aide et de co-construction » qui releve à la fois : d’une approche dans laquelle le coach considère que le coaché dispose lui-même de compétences et de ressources pour mettre en œuvre des solutions où le coach ne se limite qu’? ‘accompagner progressivement à naviguer dans la complexité et à transformer les freins en une source d’opportunités. D’une attitude à concevoir un terrain d’expérimentation et un circuit de confiance (espace, prise de recul, stimulation hors de la zone de confort) pour la personne puisse accomplir des progrès.

Et, des aptitudes pour prendre en consldération la potentialité de l’individu en accueillant le paradoxe de la demande f prendre en considération la potentialité de l’individu en accueillant le paradoxe de la demande formulée et cachée, en aisant émerger les talents de l’autre et en dissimulant les siens et, en pratiquant les arts de l’écoute active, du questionnement et du feed-back. Pour récapituler, le coaching est .

L’accompagnement de personne(s), (dirigeant, manager, individu), d’équipe(s) ou d’organisation(s) Il est pratiqué dans une situation, une durée et, un terrain (privé ou professionnel donné Il consiste en un accompagnement, une relation d’aide dans le cadre d’une relation, un processus, un changement Il poursuit un objectif de performance pour atteindre un objectif, développer le potentiel, s’ouvrir aux autres, mobiliser les acteurs, onner du sens, changer…. etc.

Il se déroule au téléphone ou en face à face, en salle ou en plein Les caractéristiques du coaching : Il existe différents types de coaching selon la modalité individuelle ou collective8 • le coaching individuel s’adresse à des individus dans une relation un a un le coaching d’équipe qui considère les groupes en tant qu’équipe pour accompagner la performance collective dans une relation un à plusieurs le coaching collectif combine les deux modalités précédentes.

Il concerne les groupes pas nécessairement finallsé par un but ommun, pour des objectifs de coaching souvent mixtes Il peut s’appliquer dans différents contextes dont entre autres : coachi coaching souvent mixtes Il peut s’appliquer dans différents contextes dont entre autres . coaching en entreprise (business coaching) coaching de vie (life coaching) coaching sportif coaching dans le domaine amoureux ou « love coaching » Par abus de langage, le mot coaching est également utilisé dans les situations de conseil ou de formation. Il ne s’agit pas alors de coaching à proprement parler.

Il est essentiel de savoir à quel type de coach on a affaire. Les 2 premiers paraissent parfois plus « rassurants » au départ pour la personne coachée (transfert de savoir ou de savoir-faire du conseiller ou du formateur). Les bénéfices sont cependant souvent supérieurs lors d’un coaching totalement centré sur la personne coachée et ses ressources car les changements viendront vraiment de lui. Comme la psychothérapie, le travail de coaching peut s’effectuer en combinaison avec d’autres méthode, par exemple Psychothérapie cognitivo-comportementale, PNL, Psychanalyse, etc.

Le coaching, ou encore l’accompagnement d’une personne dans e cadre de sa profession se caractérise tout d’abord par son syncrétisme, car il tient à la fois : Des théories des organisations qui jouent la carte de l’homme contre celle de l’impersonnalité organisationnelle ; d’où la valorisation des thèses de Maslow ou encore de Herzberg et le dénigrement du taylorisme considéré comme une vision de l’entreprise totalement arri dire à la du taylorisme considéré comme une vision de Pentreprise totalement arriérée, c’est-à-dire à la fois non efficace et non démocratique.

Du sport : quel dirigeant ne rêve d’accomplir un exploit digne un grand champion ? Et puis, qu’est-ce qu’être compétent, si ce n’est remporter une compétition ? Du développement personnel et du Nouvel Âge : l’importance de cette origine historique pourtant directe se trouve masquée, voire occultée certainement à cause de l’image d’irrationalisme qu’elle véhicule. Notons toutefois que Maslow et Rogers, deux références incontournables de la llttérature sur le coaching, figurent parmi les fondateurs de la première heure (au début des années 1960, en Californie) du Nouvel Âge.

Des sciences humaines dont il retient principalement deux pports : celui des psychothérapies, dans toute leur variété, et celui de la pragmatique de la communication issue des travaux de chercheurs de Palo Alto. La pratique de coach et ses fondamentaux Ma pratique s’est construite au cours du temps. Elle repose sur trois convictions ou croyances principales : 1. Le potentiel de l’homme est sans limite prévisible. 2. L’homme possède ses propres clés pour activer ce potentiel. 3.

Tant qu’on n’a pas essayé, on ne sait pas processus de base consiste à tirer des enseignements de ses expériences, décider de regarder sous un autre prisme ou de aire autrement puis d’expérimenter sincèrement. La logique sous-jacente est celle de la négociation avec soi-même (clarifier, approfondir, revisiter, dévoiler les fondements personnels… ), des choix (responsabilisation, remise en cause… ) et de l’entraînement (remise en jeu, faire confiance à son potentiel et à ses talents cachés… . Quand il s’agit d’expériences nouvelles et inédites, le processus est à peu près le même, sauf la première étape, celle de la négociation avec soi-même. Nous partons du but (finalité et sens) que le dirigeant veut atteindre et de la logique d’action qu’il a déployer pour faire émerger ses représentations, ses doutes et ses désirs. Nous obtenons ansi une experience projetée ; le reste du processus reste identique : choix et expérimentations.

Le positionnement et la pratique de coach peuvent s’appuyer sur différents champs de connaissances qui ont leurs propres concepts, logiques et pratiques. Il ya quatre principaux : les thérapies issues de différentes branches de la psychologie appliquée ; le questionnement philosophique et théologique ; les pratiques de management et de communication Incluant la sociodynamque ; et l’entrainement portif individuel et d’équipe. Entre ces quatre pôles, à chacun de construire son cheminement de coach. Il est estimé que si l’on s’appuie plus su pôles, à chacun de construire son cheminement de coach.

Il est estimé que si l’on s’appuie plus sur certains des pôles, on ne peut rester sans connaissance des autres, et encore moins les critiquer. Car, comme le dit un vieil adage de consultant : « Si ton seul outil est un marteau, tu finis par voir tous les problèmes comme des têtes de clou. » pour ma part, je m’appuie plus sur le questionnement philosophique et les pratiques de management, vec un faible pour les vertus de l’entraînement sportif. Le coaching est un mode d’accompagnement personnalisé dont le but est d’accélérer le développement des qualités de leadership d’un dirigeant.

Ces qualités se déploient dans trois domaines principaux : dire où va l’entreprise, obtenir des résultats, faire grandir les hommes. Voici maintenant la toile de fond sur laquelle je m’appuie, son cadre avec les conditions de réussite, les engagements réciproques et la promesse faite aux clients dans nos échanges. pour libérer les ressources propres du dirigeant et développer de ouveaux regards et comportements, le processus de coaching se déploie autour des quatre points suivants • 1 .

L’existence d’enjeux d’entreprise (ou institution) réels, sans lesquels il n’y aura pas d’objectif opérationnel ni de passage ? l’acte. 2. L’envie du dirigeant de progresser, sans laquelle il ne peut y avoir de remise en cause et de travail vérltable. 3. L’aptitude du coach à créer et gér y avoir de remise en cause et de travail véritable. 3. L’aptitude du coach à créer et gérer une relation de confiance dans la durée, sans laquelle le dirigeant ne s’exposera pas. 4. La gestion d’un échange créatif, sans lequel il n’y aura pas de développement du dirigeant par lui-même.

En ajoutant les cinq règles de conduite suivantes, base opérationnelle de mon éthique, vous avez une lecture complète du cadre : 1. La mission doit être claire, formalisée et acceptée par le dirigeant coaché après avoir vérifié qu’il s’agit bien de ses objectifs à lui. 2. L’objet unique du coaching est une personne physique dans le cadre de ses responsabilités dans l’entreprise et de son évolution professionnelle. 3. La volonté de développer les potentiels et les qualités du oaché constitue l’originalité d’une mission de coaching et, par conséquent, du contrat. . L’intervention est bâtie autour d’une logique d’actions décidées et vécues par l’intéressé. La non-substitution, en aucun cas, à l’intéressé dans la prise de décision, dans l’action et dans l’évaluation des résultats est une règle. 5. La confidentialité est une règle. Ce qui se dit entre le coach et le coaché est la propriété du coaché. Lui seul autorise la divulgation de tel ou tel aspect ; il valide notamment le fait d’avoir ou non des bilans finaux ou intermédiaires.