Analyse scène finale Truman Show

TRUMAN SHOW 2. Biographie de Peter Weir Peter Weir est un réalisateur australien né à Sydney le 21 Août 1944. Après avoir bouclé ses études dans son Australie natale, Peter Weir s’envole pour Londres où il commence à rédiger des cours métrages. C’est en 1974 que Peter Weir signe son premier long-métrage, la comédie fantastique Les Voitures qui ont mangé Paris. Cinéaste rare, il aborde successivement des thèmes variés et jongle avec des ge L’année de to avec « avec « Witness » ave comme Green Card ses œuvres.

Synopsis cs Sni* to vieu arr: nt par l’aventure Gibson, le thriller, médies romantiques teur très varié dans B. Analyser la scène finale 1 L’extrait que nous allons présenter est la scène finale ou Truman, joué par Jim Carrey, trouve la sortie du studio dans lequel il est enfermé depuis 33ans après un long voyage en bateau ou il le cogne contre un mur camouflé dans les couleurs du ciel. Or, Christoph, le réalisateur de cette téléréalité incarné par Ed Harris lui fait un discours en essayant de le convaincre autrement.

Fait en studio. Mise en scene et éclairage Dialogue Le dialogue entre Truman est le plus significatif dans le film, il nous fait comprendre toute l’œuvre. Christoph fait un discours en lui parlant telle une voix douce et divine descendant du ciel (la contre plongée) avec des phrases déclaratives pour essayer de le convaincre de rester à Seahaven. Il essaye de lui faire croire que ce mande utopique basé sur un mensonge ou il serait en sécurité est mieux que la vraie vie aussi basé sur des mensonges mais dangereuse.

En réalité, le faux monde de Truman représente les médias d’aujourd’hui composé d’illusions et de mensonges, et Christoph les personnes qui nous enferment dans les médlas; une fois que le monde en vient au point de vivre dans une réalité fausse, l est presque impossible d’y échapper pour trouver la vérité, particulièrement à cause de l’influence extérieure des gens entretenant eux-mêmes cette illusion (les acteurs de la série). Or, la crainte de Truman de quitter ce monde inventé, une fois qu’il se rend compte que c’est une fraude, est comme nous qui n’ont pas envie (ou ne peuvent pas) casser notre relation avec les médias.

Nous sommes absorbés, ca nous occupe. Or, son rêve de trouver la jeune fille qu’il avait vu quand il était plus jeune, est aussi son envie de trouver la vérité PAG » OF d qu’il avait vu quand il était plus jeune, est aussi son envie de rouver la vérité du monde extérieur. Mais Truman sera emporté par son envie de liberté, et même si l’univers qui l’attend est différent de ce qu’il a connu, il souhaite en faire parti malgré tout. Truman représente à ce moment-là l’archétype de l’anti-héros.

Il aboutira à son choix en disant la phrase célèbre « in case I don’t see ya, good afternoon, good evening and goodnight ». visées l. Prollongation 1. « L’al égorie de la caverne » de Platon Dans « L’allégorie de la caverne » de Platon, les prisonniers, qui avaient le dos tourné au monde extérieur, ne le connaissait ue avec les ombres projetés sur le mur devant leurs yeux. Les ombres étaient leur définition du monde, ils ne connaissaient rien d’autre. De même, dans le Truman Show, Truman à vécu toute sa vie dans un studio et ignorait lui aussi l’existence du monde extérieur.

Quand un homme dit à un des prisonniers qu’il y a un monde en dehors de la cave, il ne le croit pas jusqu’à qu’il fut délivré et vu lui même le monde extérieur. Truman, lui, fut aussi prévenu du monde extérieur (par la jeune fille) et ny croyait pas jusqu’au moment ou il commençait a voir les choses par lui- même. ascenseur tombe et révèle studio). Ensuite, quand il commençait a voir les choses par lui-même. (ascenseur tombe et révèle studio). Ensuite, quand le prisonnier revint dire aux autres prisonniers du monde extérieur, il était prit pour un fou.

Dans le cas de Truman, quand lui il essaya de dire aux autres de ce qu’il ce passait, il était aussi pris pour un fou, car ses personnes faisaient partis du complot, un peu différent. 2. « Matrix » 3. « 1984 » Similarltés : La vie de Winston et Truman étaient toutes les deux contrôlés. Winston par le gouvernement et Truman par les directeurs de la série. Les deux supérieurs dans 1984 et Truman show essaye de garder leur personnage en exhibant leurs pouvoirs et leurs capacités. 984 : ils bombardent la ville. Truman Show : quand il essaye de partir en bateau, le directeur (Christoph) créer des tempêtes pour le faire peur et pour qu’il reste. Dans les deux cas, les deux personnages ne peuvent pas faire confiance à leur entourage. Dans 1984 : tout le monde peut dénoncer tout le monde pour des crimes de pensés. Truman Show : tout le monde sont des acteurs, et tout le monde obéie aux ordres de Christoph. Il ne pouvait même pas faire confiance ? son meilleur ami.