HISTOIRE FINALE

Anna Vekua et Yann Tchana Lycée Martin V Histoire 4h années 2014-2015 La Belgique et la Première Guerre mondiale Les opérations militaires de 1914 à 191 6 orn Sni* to View cela, nous avons partagé nos interrogations, car après tout, pourquoi une guerre si longue, si meurtrière? Et pourquoi avoir opté pour le retranchement alors que cela pourrait — et a d’ailleurs- éterniser la guerre?

Nous avons donc condensé ce qui nous intriguait en une seule et unique question qui est: «pourquoi la Première Guerre Mondiale s’est elle installée dans la durée? ». Ensuite nous avons avons subdivisé notre sujet en plusieurs atégories, ce qui nous a permis de crée la table des matières. Une fois cela accompli, nous avons exploité, de la façon qui nous semblait la plus juste, chaque point pour enfin arriver à l’évolution final de notre travail. Chapite 1 :Les Alliances TRIPLE ALLIANCE ET TRIPLE ENTENTE: PAGF OF la Triple-Alliance, s’opposent.

Chapitre 2: Les batailles principales BATAILLE DES FRONTIERES La bataille des frontières désigne touts les affrontements entre les troupes allemandes et franco-britanniques le long des frontières allemandes et en Belgique, sur une période allant du 7 au 23 août 1914. Cette bataille est répartie sur plusieurs zones. D’une part les zones ou les Allemands repoussent les offensives françaises. En haute Haute-Alsace avec les batailles de Mulhouse et de Dornach, dans les Voges avec la bataille du Donon, sur le plateau lorrain, avec les batailles de Morhange et de Sarrebourg.

D’autres part avec les zones où les Français, les Belges et les Britanniques sont enfoncés par l’offensive allemande, dans l’Ardenne belge avec la bataille des Ardennes et le sillon Sambre- Meuse avec les batailles de Charleroi et de Mons. Le 4 août 1914, l’Allemagne déclare la guerre à la Belgique, suite ? son refus concernant l’ultimatum allemand. Elle démarre l’invasion le lendemain et prend possession de Liège le 16 août, malgré a résistance belge. Le 20, ils sont déjà à Bruxelles, ? Namur et à Neufchâteau, tandis que les Belges se replient sur Anvers.

Le 6 août, la Belgique demande de l’aide à la France. un corps de cavalerie Sordet est envoyé immédiatement par Joffre pour reconnaître les mouvements de l’ennemi et la Vème armee Lanrezac vient soutenir l’armée belge sur la Meuse. une mauvaise estimation de l’avancement allemand, Joffre change le plan XVII en insérant la IVème armée entre la Verne et a 30111ème, tout en procédant à des redistributions d’unités d’une armée sur l’autre pour renforcer l’aile gauche. ? (1) En OF procédant à des redistributions d’unités d’une armée sur l’autre pour renforcer l’aile gauche.  » (1) En Alsace , l’armée française s’empare d’Altkirch puis entre dans Mulhouse. Cependant elle est Vlte chassée par la contre attaque des Allemands. En Lorraine aussi, la bataille des frontières débouche sur une sévère défaite des Français et de leurs alliés. Le 22 août, dans les Ardennes, Français et Allemands se heurtent en aveugles dans les sanglantes batailles de rencontre de Neufchâteau et de Virton. l) LAROUSSE. votr: LAROUSSE, première Guerre Mondiale, ( page consultée le 28 mars 2015 ), Larousse, { En ligne voir : http:// 122569 En Belgique, Joffre ignorant les appels de Lanrezac, envoie trop tard la Vème armée sur la Sambre. Elle est interceptée à Charleroi par par les forces conjuguées de Kluck, de Bülow et de Hausen , tandis que French essuie un grave échec à Mons. Suite à ces défaites, le général Joffre est forcé de lancer un repli général de ses troupes sur la ligne Verdun, Aisne, Laon, La Fère et la Somme.

Cette Grande Retraite se terminera en début eptembre par la bataille de la Marne, sur le front Ouest. BATAILLE DE LA MARNE La bataille de la Marne est la bataille qui permit d’arrêter la progression des Allemands qui ont envahi la Belgique et le nord- est de la France ou ils se trouvent alors à moins de 50 kilomètres de Paris. Cette victoire ruine les plans allemands qui prévoyaient une victoire rapide et totale sur le front de l’Ouest, permettant de report prévoyaient une victoire rapide et totale sur le front de l’Ouest, permettant de reporter tout l’effort de guerre contre la Russie.

La première bataille de la Marne constitue Pun des tournants de la uerre, puisqu’elle marque l’échec du plan Schlieffen et le début de la guerre de position, après ‘épisode de la course à la mer. Le champs de bataille s’étendait sur 225km, de Verdun jusqu’? Provins. Il contenait plusieurs batailles plus restreintes: à l’ouest les batailles de l’Ourq et des deux Morins, au centre les batailles des marais de Saint-Gond et de Vitry, et à l’est la bataille de Revigny. La bataille des frontières, en automne 1914, a conduit le retrait des francais à la Marne et a pu permettre aux Allemands de bien s’implanter dans le Nord de la France.

Le général Joffre décide lors de risquer une contre-offensive. Il constitue un VI armee qu’il déploie au nord-est de Paris pour attaquer sur son flanc droit la Ire armée allemande du général Alexander von Kluck, qui vient de dépasser Meaux et marche vers le sud en évitant Paris. Une breche de 48 kilomètres va alors etre crée lorsque Von kluck décidera de riposter, elle sera utilisé la par Vème armée francaise et les troupes du corps expéditionnaire britannique. Les 7 et 8 septembre six mille soldats arrivent, transporté par des taxis réquisitionnés, pour renforcer les troupes de Maunoury. ne ttaque surprise est lancée par la Vème arméé, le 8 septembre, contre la Ilearmée allemande, et élargit encore la brèche dans le dispositif allemand. Le 10, les Allemands entament une retraite générale qui se termine au nord de l’Aisne où ils se retranchent; c’est le début d’une g PAGF s OF retraite générale qui se termine au nord de l’Aisne ou ils se retranchent; c’est le début d’une guerre de tranchées qui caractérisera le front occidental tout au long des trois années suivantes. LA COURSE A LA MER La course à la mer se déroula du 18 septembre au 15 novembre 1914.

En cette période, les armées françaises et allemandes s’étaient immobilisées dans un affrontement linéaire. Le seul espace libre restant pouvant leur proposer une guerre de mouvement était la zone de l’Oise à la mer. Les deux adversaires tentèrent de déborder leurs ailes et les armées alliées livrèrent deux batailles défensives pour arrêter la poussée stratégique allemande vers la côte : la bataille d’Yser et la bataille diYpres. LA BATAILLE DE TANNENBERG La bataille de Tannenberg opposa l’Allemagne et la Russie. Elle se déroula à Stebark, dans l’actuelle Pologne du 26 au 30 oût 1914.

La Russie perdit non seulement la bataille, mais aussi énormément de soldats et d’équipements militaires. «prématuree, l’invasion de la Prusse orientale empêcha cependant les Allemands de jeter tous leurs moyens humains contre la France, à un moment crucial de la campagne sur le front En août 1914, Les Ire et Ile armées russes progressent en Prusse Orientale, dirigées par le général (2) t (3) VENAYRE. S, voy; VENAYRE. S, « PREMIERE GUERRE », Encyclopœdia Universalis [en ligne], consulté le 30 MONDIALE mars 2015. URL : http://www. universalis. r/encyclopedie/premiere guerre-mondiale/ Rennenkampf et Samsonov. Le 20 août, Rennenkampf mena un combat victorieux à Gumbinne ndiale/ combat victorieux à Gumbinnen. Hindenburg, général prussien en retraite, et Erich Ludendorff, 49 ans, sont appelés à la rescousse par le commandement suprême de l’armée. En quelques jours, ils stoppent l’avancée Russe en leur infligeant une défaite cinglante. Ludendorff utilise le réseau de chemins de fer pour séparer les deux armées russes afin de les prendre tenaille et les vaincre l’une après l’autre. Cette stratégie est une véritable réussite.

La Ile rmée russe est encerclée près de Hohenstein, elle se retrouve dans l’obligation de battre en retraite et Samsonov perdit ainsi environ la moitié de ses hommes au cours des jours sulvants. Quelques jour plus tard, la Ire armée subit le même sort près des lacs de Mazurie. ales Allemands capturent 92 000 soldats russes. Jamais dans l’histoire on n’avait capturé un tel nombre de prisonniers de guerre en une seule» (3). C’est la seule et unique fois que des combats se dérouleront sur le sol allemand pendant la Première Guerre mondiale, et cette bataille est d’ailleurs leur première grande victoire.

L’EXPEDITION DES DARDANELLES Les Britanniques ont décidé d’immobiliser Constantinople, afin de rouvrir, par le Bosphore et la mer Noire, des communications faciles avec la Russie. Pour cela une opération navale, en participation avec les forces françaises, était nécessaire afin de franchir le détroit des Dardanelles. Cette opération, préconisée par Winston Churchill, débute beaucoup plus tard que prévue, le 18 mars. La flotte force les détroits de Bosphore et des Dardanelles par une escadre de 18 bâtiments ligne.

L’opératio 7 OF force les détroits de Bosphore et des Dardanelles par une scadre de 18 bâtiments ligne. L’opération est un véritable échec, sur onze cuirassés alliés engagés, trois sont coulés et quatre gravement endommagés « Les Alliés décident alors de reprendre l’opération sous forme terrestre à la faveur dune diversion française à Koum-Kalé, sur la rive asiatique» (4) Le 25 avril 191 5, le corps expéditionnaire franco-britannique débarque sur la presqu’île de Gallipoli, ? l’entrée du détroit des Dardanelles, en Turquie.

Cependant l’ IIe est bien défendue par la Vème armée turc, commandée par le général allemand Liman von Sanders et par Mustafa Kema , et es Alliés se retrouvent vite immobilisés. Ils perdent trois batailles consécutives devant Kritiya, les 6 mai, 28 juin et 12 juillet 1915. Impossible pour eux de percer les lignes turques défendant Constantinople. l_es opérations cessent lorsque les Bulgares entrent dans la guerre et menacent la Serbie, obligeant les Alliés à mobiliser une partie de ses troupes pour venir en aide à l’armée serbe. « un nouveau débarquement au cap Suvla entraîne de nouveaux combats du 6 au 23 août.

L’offensive alliée est bloquée par les contre-attaques turques. Hamilton est remplacé par Monro. Après une inspection du ministre de la Guerre britannique, Kitchener, l’évacuation de la presquîle est décidée le 9 janvier 1916. » (5) Cette expédition coûta la vie à 100 000hommes dont 68 000 Turcs, 53 000 Britanniques, 27 000 Français sur les 79 000 commandés. L’échec de cette mission donnera suite la démission de Churchill et participera à la chute du cabinet Asquith. LES OPERATIONS SUR LE FRONT EST Contralrement au fr 8 OF et participera à la chute du cabinet Asquith.

Contrairement au front Ouest, les combats sur le front Est ne se sont jamais transformés en guerre de position statique. Pourtant, même si les Allemands battirent plusieurs fois les Ruses des problèmes d’approvisionnement, d’organisation et de commandement, ces victoires ne purent être exploitées et conduire à une issue décisive. Les Allemands battirent facilement la Serbie et la Romanie, mais les troupes russes continuèrent ? bien se battre jusqu’au printemps 1917. Entre temps, l’Autriche- Hongrie, allié de l’Allemagne, devenait une charge car la pression de la guerre menaçait de diviser le pays en plusieurs entités nationales. 4) et (5)GOBERT. P. voir, GOBERT. P, « DARDANELLES EXPÉDITION DES (mars-déc. 915) Encyclopedia Universalis [en ligne], consulté le 29 mars 2015. URL : http://www. universalis. fr /encyclopedie/expedition-des-dardanelles BATAILLE DE LA SOMME ET DE VERDUN En 1916, des centaines de milliers de soldats perdirent la vie lors des grandes batailles de Verdun et de la Somme, tandis que les généraux defforcèrent, en vain, de trouver une approche tactique qui leur aurait permis d’effectuer une percée et d’exploiter celle- ci,.

Au milieu de l’année 1917, les Allemands se tenaient sur la défensive sur le front Ouest, les Français demeuraient très prudents et les rangs de [‘armée britannique continuaient de rossir et de tenter d’ambitieuses offensives. Entre temps, alors que IAIlemagne était victime d’un blocus naval britannique, le commandant al Entre temps, alors que l’Allemagne était victime d’un blocus naval britannique, le commandant allemand prit une décision capitale en février 1917: le recours à la guerre sous-marine à outrance.

Cela fit entrer les États-Unis dans le confllt au mos d’avril, même si leurs actions sur le terrain n’eurent d’effet que l’année suivante. Le général Erich von Falkenhayn, chef d’état major allemand ayant succédé à Moltke, planifia une attaque sur la ville ortifiée de Verdun afin, comme il l’écrivit plus tard, «de saigner l’armée française». Von Falkenhayn espérait que ses artilleurs y massacreraient l’infanterie française.

Après un premier bombardement au cours duquel un maillon d’obus furent tirés en 21 heures, les Allemands avancèrent rapidement sur deux lignes de tranchées et prirent Douaumont, fun des nombreux forts autour de Verdun Joffre mit Pétain aux commandes des opérations et lui ordonna de résister à tout prix. Toutes les troupes et les munitions devaient passer par une seule route, la Voie sacrée, sous les tirs de l’artillerie allemande.

Au-dessus du champ de bataille, des escadrilles d’avions de chasse luttaient pour prendre le contrôle aérien, ce qui était crucial car les avions permettaient de repérer Fartillerie au sol. Sur le terrain, la garnison du fort de Vaux résista de manière héroïque avant d’être vaincue le 7 jun. Après un ultime effort en juillet, les Allemands se replièrent sur leur ligne de défense. Les Français reprirent le fort de Douaumont en octobre, et en décembre, le front était plus ou moins au même point qu’au début. Falkenhayn avait alors été limogé. Chapitre 3: Les Généraux de Guerre GENERAUX PRI