les loisir

La Conférence internationale du travail, Genève, en 1924, (p. 644) stipule dans ses conclusions : « Considérant qu’en adoptant dès sa première session, à Washington, une Convention sur la durée du travail, la Conférence générale a eu notamment pour objet de garantir aux travailleurs, outre les heures de sommeil nécessaires, un temps suffisant pour faire ce qui leur plaît, ainsi que l’indique exactement ‘étymologie du mot « loisirs » [ …

J Mécanisation et informatisation libèrent progressivement l’homme de nombreux travaux physiques pénibles, dans le ême temps il est vrai qu’il charge son mental : transports domicile-travail, complexité administrative souvent accrue, difficultés liées à une travaux nerveuseme pen or 3 comptabillsé » dimin gl•3 Sni* to travail dégage pour c informatique, temps de travail « uction du temps de bre Ce temps libre permet de participer plusieurs activités autres que celles dédiées à la « survie » ou à la « reproduction Ainsi s’investir dans des associations, développer ses compétences ou exercer une activité différente ( culture, peinture, jardinage, port… ). Il est difficile de déterminer si le phénomène a été accompagné ou non d’un développement de l’activité intellectuelle.

Difficile aussi de savoir si ne se développe pas une sorte d’« activisme des loisirs » qui nous amène à neutraliser nous-mêmes en activités d Swipe to vlew next page diverses ce qui aurait pu constituer, avant mobilisation à d’autres fins, un temps le loisir. Le problème du manque de temps semble ainsi en augmentation et non en diminution depuis les années 1960, au moins dans les grandes vllles. n auteur comme Jeremy Rifkin estime que nous nous acheminons à terme vers une société sans travail. Avant qu’une telle situation n’émerge, si elle le fait un jour, il faudra améliorer les points suivants : les conditions de travail ; la durée du travail, dans une année et en nombre d’années de la les conditions d’existence et de « fin de vie » des citoyens.

Ceci contribuera sans doute à ce que cette réduction de volume de travail se traduise plutôt par une redistribution de l’activité, ce qui permettrait d’alléger le temps de travail, au lieu de se traduire ar une concentration de l’activité, qui produirait du chômage. Le philosophe Bertrand Russell a abordé cette question dans deux de ses ouvrages : Essais sceptiques et un ouvrage de jeunesse, Le monde qul pourrait être (avec lequel il prit quelque distance par la suite). Loisir et loisirs : glissement sémantique[modifier I modifier le code] On qualifie également le loisir de « temps libre soit un temps usuellement consacré à des activites essentiellement non productives d’un point de vue macroéconomique, activités souvent ludiques ou culturelles : bricolage, jardinage, sports, ivertissements…

Cela a entraîné par la suite un glissement sémantique du terme « loisir » (temps libre) vers celui de « loisirs » (divertissemen glissement sémantique du terme « loisir » (temps libre) vers celui de « loisirs » (divertissements et sports). Le mot a commencé à accuser ce glissement de sens dans les années 1960-70, sans doute suite à son usage répété dans l’expression « civilisation des loisirs » (expression que l’on doit ? Joffre Dumazedier dans un de ses ouvrages, publié en 1962, Vers ne civilisation du loisir ? ) . Beaucoup usent du terme comme synonyme de « divertissement ce qui constitue une déviation importante de signification.

L’expression « industrie des loisirs » fait directement écho ? cette notion de loisirs-divertissements, en proposant une Vlsion productiviste voire mercantile de la production de biens et de services propres à satisfaire les besoins des ménages liés à leur temps de loisir : on considère ici que ce temps est dédié à la consommation de masse, pour s’occuper. Il est possible[réf. écessaire] que les raisons ou valeurs profondes pour lesquelles nous vivons soient, en ordre probable d’importance, les suivantes : le travail, la consommation, les communicatlons, les sports, les jeux, la lecture, l’Internet, la télévision, les expositions et lieux à visiter, les sorties au cinéma, les parcs d’attractions et divertissements à sensations, les voyages, la sexualité, etc. Ces quelques éléments énumérés peuvent, s’ils ne font pas partie de loisirs, être cependant des indices sur quoi effectuer une recherche en rapport avec ceux-ci.