Sujet de dissertation critique A-t-on raison de penser que Saint-Denys Garneau et Émile Nelligan présentent, dans Cage d’oiseau et Les Corbeaux, une même Vision de la fatalité ? Discutez. Tout d’abord, dans le poème Les Corbeaux d’Émile Nelligan, la vision de la fatallté est directement liée à la mort. En effet, nous pouvons remarquer que celle-ci est indissociable de la mort par le passage : « Or, cette proie échue à ces démons des nuits/Niétait autre que ma Vie en loque, aux ennuis/ Vastes qui tournant sur elle ainsi toujours» (vg-1 1) qui montre bien que la mort est belle et bien présente.
Par ce passage, il explique que ca vie est sur le point de s’achever. Nous pouvons alors déduire qu’il est sur le Swipe Lo nexL page point d’en venir à la la fatalité est liée à la o Denys Garneau, Cag ‘ mort. En effet, l’aute sien aller/ Qu’après a . Cela montre que e poème de Saint- ‘autant liée à la ort «ne pourra eur/ La source du sang/ Avec la vie dedans» (v1 9-23) montre bien que la mort est présente.
Le fait qu’un oiseau charognard mange un cœur jusqu’? temps que la vie en ressorte montre, également, qu’il n’y a aucun moyen de revenir en arrière. La vision de la fatalité est donc résente dans les deux poèmes comme des choix finaux en le lien direct avec I la mort. D’autre part, le dernier paragraphe nous montrait que la vision de la fatalité est similaire dans les deux poèmes. Par contre, les deux auteurs n’utilisent pas la même approche pour l’introduire.
Dans le poème de Monsieur Nelligan, la mort est montrée comme un prédateur qui chasse sa proie à travers un champ lexical englobant des mots reliés à la prédation comme «vols funèbres» (v2), «en cercle» (v5), «régal» (v6), «carcasses» (v6), «proie» (v9), «tournant» (v1 1) et «charogne» (v13) qui annonce ue la mort approche. Une image de prédateur est donc créée pour montrer que sa vie est mise en péril par les autres. De cette manière, il veut peut-être dire que c’est à cause des autres qu’il veut mettre fin à sa vie.
Cependant, dans le poème de Garneau, la mort nous est présentée de façon moins directe. En effet, l’euphémisme «ll aura mon âme au bec. » (v24) nous montre que l’auteur veut nous présenter la mort de manière plus douce et calme. Par exemple, si l’auteur avait dit «Je vais mourir », cela nous aurais fait voir la mort d’une manière plus directe. Donc, on eut dire que les auteurs voient la mort de la même façon mais que celle-ci n’est pas amenée de la même manière, puisque la première provient d’autrui et que la deuxième de lui-même. ar contre, même si les auteurs utillsent une approche différente de la mort, leurs visions de la fatalité est plus similaire que différente parce que dans les deux cas elle est représenté par des Oise fatalité est plus similaire que différente parce que dans les deux cas elle est représenté par des oiseaux. En effet, dans le poème, Les corbeaux, d’Émile Nelligan, le passage «Mon âme, une harogne éparse au champ des jours/ Que ces vieux corbeaux dévoreront en entier» (v13-14) montre que la mort est bien présente.
Celle-ci est représenté par les corbeaux qui vont le dévorer jusqu’à ce que mort s’en suive. La fatalité est donc lier aux corbeaux de manière significative. Également, dans le poème, Cage d’oiseau, de Saint-Denys Garneau, la métaphore suivante «on l’entend qui roucoule/ Au fond/ Comme un grelot » (v10-12) montre bien que Fauteur utilise les oiseaux pour personnaliser la mort. De plus, ceux-ci sont comparés à des grelots, qui sont es objets représentant le froid et une période de noirceur.
On peut donc affirmer que son cœur est submergé par le froid et la noirceur et que les oiseaux attendent de le dévorer. D’autres poètes français, comme René-François Sully Prudhomme, dans le poême Le Volubilis, publié en 1869, utilisent des êtres vivants pour symboliser la mort. De son coté, Monsieur Prudhomme utilisait les plantes pour y arriver. Donc, on peut déduire que les deux poèmes sont vraiment plus similaires que différents puisqu’ils présentent la fatalité de la mort, de la même manière, par l’entremise des olseaux. Nombre de mots [1667 motsD