Plan détaillé INTRODUCTION Sujet amené : Époque : 19e siècle Nom de l’auteur : Alphonse de Lamartine Titre de l’œuvre/de l’extrait : Le lac dans le recueil méditations poétiques Date et lieu de publication : 1817 (création de Le lac) 1820(recueil) Courant, genre et forme littéraires : Courant : romantisme Forme : Poème Lien avec le contexte . Charles. Elle meurt e Sujet posé : Il nous fa de Lamartine dénonc Sujet divisé Il voudrait que le te Rencontre d’une femme en181 6; Julie ra or 5 Snipe to oème « Le lac b, que ce destructrice. Il dénonce la puissance du temps
Il s’adresse à la nature DÉVELOPPEMENT ARGUMENTATIF l. (ler argument principal) Il voudrait que le temps s’arrête. A. (1er argument secondaire) Il voudrait pouvoir continuer de vivre ses jours heureux. 1. (1re preuve : procédé + citation + commentalre) a) Métaphore b) (si nécessaire) «Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges jeter l’ancre un seul jour. » àOcéan des âges : le temps est immense d’avancer sur cet océan qu’est le temps. 2. (2e preuve : procédé + citation + commentaire) a) Le point d’exclamation b) (si nécessaire) « Ô temps !
Suspends ton vol, et vous, heures avourer les rapides délices des plus beaux de nos jours. » àll s’adresse directement au temps pour qu’il arrête son cours et qu’il puisse profiter de ses jours heureux en compagnie de celle qu’il aime. Le point d’exclamation nous renseigne sur l’intensité de son désir à pouvoir arrêter le temps. C. A. : (conclusion du paragraphe A) Il voudrait pouvoir arrêter le temps, profité encore des quelque beaux moments qu’il a vécu avec Julie Charles. Il aimerait que le temps aussi puissant que les océans, suspende son cours.
B. (2e argument secondaire) Le temps va vite . (1re preuve : procédé + citation + commentaire) ) Champ lexical b) (si nécessaire) échappe(le temps), vitesse, passé, flot, coulez, fuit à Le temps lui échappe et le fuit. Il passe et de Lamartine ne peut rien y faire. b) (si nécessaire) C. B. : (conclusion du paragraphe B) Le temps passe vite et de Lamartlne ne peut l’arrêter. C. I. : (conclusion de la partie l) Le temps ne peut s’arrêter même si on le voudrait Le poète trouve qu’il passe trop vite et ne peut l’arrêter. Il. 2e argument principal) Il dénonce la puissance du temps. A. (1er argument secondaire) Le temps est destructeur. 1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire) ) Le point d’exclamation et l’antithèse b) (si nécessaire) «Quoi ! passés pour jamais commentaire) b) (si nécessaire) «Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus ! Ce temps qul les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus ! à Le temps décide de tout il donne ce qu’il veut et reprend quand il le veut. Donc, il donne de bons moments au poète et les reprend quand ça lui chante.
Le point d’exclamation : le désespoir de l’auteur. a) L’accumulation b) (si nécessaire) «Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez ? ? à Le temps est tellement puissant qu’il décide du sort de tout. L’accumulation des termes négatifs démontre à quel point il est frustré de ce qui lui arrive. C. A. : (conclusion du paragraphe A) Le poète est frustré et au désespoir de ne rien pouvoir contre le temps. B. (2e argument secondaire) Le temps est grand, géant, immense, puissant. ) (si nécessaire) «l’océan des âges» à Comparer le temps à un océan démontre que le poète veut nous démontrer qu’il trouve le temps immense et puissant. a) Antithèse b) (si nécessaire) «Assez de malheureux ici-bas vous implorent, oulez, coulez pour eux ; prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent dévorent ; oubliez les heureux. » à Il implore le temps de lui rendre ce qui le rendait heureux. Le temps décide de ce qui lui plait comme Dieu. C. B. : (conclusion du paragraphe B) Le temps est grand, puissant et peut faire ce qu’il veut. conclusion de la partie Il) Le temps est puissant, immense C. II. : et n’écoute rien de ce que l’ont veut ce qui le rend, donc plus puissant encore. Ill. (3e argument principal) Il s’adresse à la nature. A. (1er argument secondaire) Il envie la nature. b) (si nécessaire) « Ô lac ! ochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir» à Démontre que les sentiments de Larmartine sont vraiment intensifiés par rapport au temps et qu’il envie la nature. b) (si nécessaire) «Ò lac ! Regarde ! e viens seul m’asseoir sur cette pierre où tu la vis s’asseoir à Démontre qu’il envie le lac d’avoir eu un lien aussi privilégié avec celle qu’il aime. C. A. : (conclusion du paragraphe A) De Lamartine envie la nature de ne pas être attaqué par le temps B. (2e argument secondaire) La nature lui rappelle son bonheur passé. PAGF La nature lui rappelle son bonheur passé. a) Le titre b) (si nécessaire) «Le lac» à Le titre du poème et le fait qu’il parle toujours du lac en premier montre que le lac est un lieu important lié à son bonheur 2. 2e preuve : (procédé + citation + commentaire) a) La gradation b) (si nécessaire) « Un soir, t’en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n’entendait au loin, sur Fonde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence tes flots harmonieux. à L’auteur s’adresse à la nature en lui rappelant ses moments heureux. C. B. : (conclusion du paragraphe B) De Lamartine a un beau lien vec la nature, surtout avec le lac qui lui rappelle son passé. C. III. (conclusion de la partie III) Cauteur s’adresse à la nature pour se rappeller son passé perdu. Il envie la nature de son lien avec le temps qui lui a volé son aimée. CONCLUSION Confirmatlon : L’auteur a bien démontré la puissance du temps. Synthèse temps est destructeur et décide de ce qu’il veut détruire. Il est puissant, immense, géant. Le temps épargne la nature et l’auteur en est désolé. La nature rappelle au poète son passé. Ouverture :Pourrait-il un jour être de nouveau heureux et ne plus en vouloir au temps?