littérature de consentement

CHAPITRE II IDENTIFICATION DE JEANNE ET ses RELATION AVEC LES AUTRES I / IDENTIFICATION DE JEANNE Jeanne est le personnage principale de l’œuvre de MAUPASSANT= UNE VIE . En Ilsant l’œuvre deux trais partlculiers nous marquent sur le personnage de JEANNE. Il s’agit principalement de la TOLERANCE et de la FIDELITE. La tolérance et la fidélité se sont deux valeurs comportementales essentielles pour l’homme et particulièrement pour la femme En effet elle a besoin de ces deux vertus en tant que mère et éducatrice pour pouvoir former une société juste remplie d’humanisme.

Dans une vie la socié erfide. Elle est marq e p or 11 bref des comportem s Sni* to View JEANNE tolérante et f est antithétique à la st en quelque sorte lence l’adultère e . Ce qui fait que s’épanouir . Elle Rêvant dune vie saine elle va se vaciller entre d sillusion, d sespoir et malheur. Elle tolère son mari de son infidélité et plu tard ROSALIE sa servante Au cœur de ses malheur s elle ne s’ouvre à aucune aventure flagrante. Elle ne pensera en aucun cas à une vengeance contre son mari adultère pour sortir de ses malheurs.

EMMA BOVARY cependant, elle se livre à radultère pour compenser ses alheurs comme le faisait presque la totalité des femmes de ce siècle . On petit que JEANNE est modèle des femmes de ce siè Swipe to View next page siècle, de la société dans laquelle elle évolue. Dans l’œuvre presque toute les personnages et particulièrement les personne féminin=ROSALlE petite mère la baronne la comtesse Gilberte et implicitement ramante de Paul la jeune corse et tant d’autre fille dans la campagne .

Ce qui fit dire à L’ABBE PICOT qui en consolant JEANNE lui tient ces propos « Elle ne se marie jamais sans être enceinte jamais, madame on dirait une coutume locale » FICHE PEDAGOGIQUE N006 CLASSEDE PREMIERE HORAIRE IHEURE LECON=DISSERTATION OBJECTIF GENERAL=CONNAITRE LE PERSONNAGE OBJECTIF PRINCINPAL A LA FIN DE LA LECON LES ELEVES DEVRONT ETRE CAPABLE D’IDENTIFIER LE PERSONNAGE OBJECTIF SPÉCIFIQUE 2 A LA FIN DU COURS LES ELEVES DEVANT AUSSI CAPABLE DE RECONNAITRE. SUJET DE DISSERTATION En vous fondant sur votre lecture de l’œuvre montrer que JEANNE se distingue presque des autres personnage par la fidélité et la tolérance.

RAPPEL= pour formuler l’introduction d’une dissertation il faut il faut passer par ses quatre étapes. -AMENER LE SUJET -POSER LE PROBLEME REFORMULER LE SUJET -DONNER LE PLAN . COMPREHENSION DU SUJET 1 AHEME LA FIDELITE ET LA TOLERANCE DE JEANNE 2/REFORMULATlON=LA FIDELITE ET L’INDULGENCE DE JEANNE 3/CONSIGNE MONTRER COMMENT JEANNE S’AVERE ETRE UN PERSONNAGE FIDELE ET TOLERANTE. 4/PLAN=EXPLlQUER : IL S’AGIT DE DONNER DES ARGUMENTS DES ILLUSTRATIONS EN FAVEU pos. PAG » 1 PROPOS. INTODUCTION LA TOLERANCE ET LA FIDELITE SONT DEUX VERTUS DE L’HOMME .

En effet ces deux mots sont plutôt d’appartenance religieuse car faisant référence au domaine du bien fait. Ainsi dans l’œuvre , une vie , il est question de montrer la distinction de JEANNE avec les autres personnages par la fidélité et la tolérance. AUTREMENT DIT dégager le comportement spécifique de JEANNE par rapport à la fidélité et à la tolérance. Dans le corps du devoir nous allons essayer de définir ces deux conceptions puis démontrer que jeanne se distingue des autres personnages par la tolérance et par la fidélité . LAN l/ DEFINITION DES CONCEPTS 1 /FIDELITE- qui voue un attachement à ses sentiments, quelqu’un loyal 2/TOLERANCE = Etat d’esprit de pouvoir pardonner, de faire preuve d’esprit de dépassement. Il/ LA FIDELITE ET LA TOLÉRANCE DE JEANNE 1/ LA FIDELITE DEJEANNE JEANNE est un personnage caractérisé par la fidélité. En effet malgré les trahisons répétées de son mari elle reste toujours constante dans son attachement. Elle ne songera jamais à s’ouvrir à l’adultère Cependant cette pratique l’indigne en réalité.

Ce qu’elle sentait maintenant c’est une sorte d’isolement de sa conscience juste au milieu de toutes ces consciences défaillantes ,et bien qu’elle eut appris soudain ? dissimuler bien qu’elle accueillit la COMTESSE la main tendue et la lèvre souriante , cette sensation v PAGF30F11 dissimuler bien qu’elle accueillit la COMTESSE la main tendue t la lèvre souriante cette sensation vide de mépris pour les hommes , elle la sentait grandir , développer , et chaque jour les petites nouvelles du pays lui jetaient à l’âmes un dégout plus quand ,une plus haute estime des êtres.

Et encore ces propos un besoin de frotter soi cœur à des cœur honnêtes cause l’âme ouverte avec des gens purs, saints de toute s les pensées et les désirs avaient été droits. Ces illustrations montrent exactement que JEANNE est une femme fidele donc elle se distingue ainsi les autres femmes. JEANNE, UNE FEMME TOLERANTE Jeanne se montre tolérante du début à la fin de l’œuvre, olérante envers son marl « Elle lul suit tant de gré de cette gentillesse qu’elle lui pardonna presque la découverte du bois » Tolérante en vers sa bonne ROSALIE.

Elle tolère sa trahison et accepte de nouveau de vivre avec elle, et est animée de joie en la revoyant. ROSALIE ma fille. Et lui jetant les deux bras au coup, elle l’étreignit en la baisant. TOLÉRANCE EN VERS LA COMTESSE « Apres la première émotion passée, son cœur était redevenu presque calme sans jalousie et sans haine, mais soulevé de mépris .

EIle ne songeait guère à julien ;rien ne Pétonnait plus e lui ; mais la double trahison de le comtesse de son mari , la révoltait Elle se résolut pourtant à feindre de ne rien savoir , à fermer son âme aux affections courantes , à n’aimer plus que PAUL et ses parents et à supporter les autres PAGFd0F11 affections courantes , à n’aimer plus que PAUL et ses parents et ? supporter les autres avec un visage tranquille ». p 140 En se référant à ses affirmations nous constatons donc que JEANE est une femme tolérante.

CONCLUSION Bilan des conclusions partielles et jugement si possible une perspective En définitive nous pouvons dire JEANNE est à la fois un ersonnage fidèle et tolérante. Fidèle et tolérante en vers son mari et les autres. Nous jugeons que jeanne est un personnage modèle, un rype de femme qui reflète les bonnes manières, les bonnes mœurs. Elle est un exemple à suivre en ce siècle en décadence des mœurs. La fidéllté et la tolérance ne sont -elle pas indispensables pour une vie harmonieuse ?

Il/ LES RELATIONS DE JEANNE AVEC LES AU RES PERSONNAGES DE L’ŒUVRE. L’être humain pour vivre correctement dans la société en paix en sécurité et en sérenité a besoin des autres. Ainsi on se tisse des relations avec nos semblables. Le romancier, imitateur de la société représente dans son œuvre des types de personnages à la manière de vivre des êtres humains. De ce fait, il introduit dans son œuvre différents personnages et leurs destins de les liés les un les autres Jeanne dans Une Vie entretient des relations avec les autres personnages de son univers.

Cependant, nous allons étudier les relations que nous jugeons les plus pertinentes pour notre étude : l’amitié, maitresse. 1/ L’amitié Jeanne entretient une s 1 pertinentes pour notre étude : l’amitié, maitresse. Jeanne entretient une relation amicale avec la famille Fourville. Cette famille rend visite celle des Camares, et réciproquement, Jeanne et son mari les courttoient En effet, Jeanne fut séduite par l’éloquence de la Comtesse Gilberte. Elle dit en ces termes • « voici une amie ». P. 121. a Comtesse impressionna beaucoup Jeanne qui déclara encore : « L petite Comtesse est ravissante, je sens que l’aimerai ». Elle fut adorable en vers Jeanne en l’accueillant chez sa demeure. Le narrateur nous le fait savoir en cette phrase : « La Comtesse prit les deux mains de Jeanne comme si elle eût été une amie d’enfance, puis la fit asseoir et se mit près d’elle sur une chaise basse P . 32. L’amitié ne se bornera pas entre Jeanne et la Comtesse, cependant le comte est aussi l’ami de Jeanne. On peut dire même son véritable ami.

Car Jeanne radmirait de toute ses forces . ll est un homme de grand cœur, vigoureux, et tendre en vers sa femme. Le narrateur nous fait savoir comme suit leur amitié : « Ceux-ci causaient tranquillement, comme des amis, car ils étaient devenus des amis par le contact de leurs âmes droites, de leurs cœurs simples 36. par une étude de texte nous allons illustrer notre travail. Texte no : Le maire le docteur et le curé venaient diner de temps en emps ;de temps en temps c’étaient les Fourvilles avec qui on se liait de en plus.

Le comte paraissait adorer PAUL. IL le tenait sur ses 6 1 Fourvilles avec qui on se liait de en plus. Le comte paraissait adorer PAUL IL le tenait sur ses genoux pendant toute la durée des visites, ou même pendant les après-midi tout entiers. lL le menait d’une façon délicate dans ses grosses mains de colosse, lui chatouillait le bout du nez avec la pointe de ses moustaches, puis rembrassait par élans passionnés , à la façon des meres. lL souffrait continuellement de ce que son mariage demeura stérile.

Mars fut clair, sec et presque doux . La comtesse GILBERTE reparla de promenades à cheval que tous les quatre feraient ensemble. JEANNE ? lasse un peu des longs soirs des longues nuits des longs jours pareil et monotone consentit , tout heureuse de ces projets , et pendant une semaine elle s’amuse à confectionner son amazone. Puis ils commencèrent les excursions. lLS allaient deux par deux, la comtesse et julie devant, le comte et jeanne derrière.

Ceux-ci causaient tranquillement, comme deux amis ,car ils étaient devenus amis par le contact de leur âme droite, de leur cœur sainte ; ceux la parlaient bas ouvent, rire parfois par éclats violents,se regardaient soudain comme si leurs yeux avaient à dire des chose que prononcaient leur bouche ; et ils partaient brusquement au galop poussés par un desire de fouir d’aller plus loint. Puis GULBERTE parut devenir irritable. Sa voix vive apportée par des souffres de brise arrivé parfois au oreilles des deux cavaliers attardés. Le comte alors souriait disait JEALLE : « elle n’est pas tout les PAGF70F11 deux cavaliers attardés.

Le comte alors souriait disait JEALLE : « elle n’est pas tout les jour bien levée ; ma femme Un soir en rentrant comme la comtesse exitait sa jumellle la piquant puis la retenant par secousse brusque, on entendit Plusieurs fois JULIELER ; « prenez garde ,PRENEZ DONC GARDE VOUS ALLEZ 2TRE RMPORTEZ3 ». EIle repliqua: « Tampis n’est pas votre affaire », d’un ton si claire et si dure que les les paroles netts sonnnèrent par la campagne comme si elles étaient suspendues dans l’air. Lanimal se cabrait ruait bavait. SOUDAIN le comte inquiet cria de ses forts coups : « Fait donc attention GULBERTE ! ? alors, comme par défit dans un de ses élèvements de femme que rien ‘arrette , elle frappa brutalement de sa crvache entre le deux oreilles la btes se dréssa furieuse, batti l’air de ses jande de devant, et ;retomba, s’élansa d’un bon formidable , et détala par la plaine de toue la vigueur de ses jarrets. Elle franchit d’abord une prairie puis, se précipitant à travers les champs laboureur, elle soulevait en poussière la terre humide grasse, et filait si vite qu’on distinguait à peine la monture l’amazone. GULIER stupéfait, restait en place, appelant désespérément « Madame madame !

Mais le comte eut une sorte de grognement, et se courbant ur rencoure de son pesant cheval, il le jeta en avant , poussée de tout son corps ; et il se lança d’une telle allure l’excitant , l’entrainant , l’affolant avec la voix, le geste l’éperon, que l’énorme cavalier B1 l’excitant , l’entrainant , l’affolant avec la voix, le geste l’éperon, que Pénorme cavalier semblait porter la lourde bête entre ses cuisses et l’enlevait comme pour s’envoler ils allaient d’une inconcevable vitesse se ruant devant eux ; JEANNE VOYAIT laba les deux silhouettes de la femme et du mari fouir, fouir, diminuer, s’effaçait disparaitre comme on voit deux oiseaux se oursuivant se perdre et s’évanouir à l’horizon. Alors GULIEN se rapprocha, toujours au pas en murmurant d’un air furieux: « Je crois qu’elle forte aujourd’hui. » MAUPASSANT Une vie, Page 136/137.

Fiche pédagogique na7 Classe de première Horaire : 1 heure Leçon de lecture expliqué PAF g 1 la promenade à cheval Ce texte relève les deux centres d’intérêts que sont : l’amitié et la promenade à cheval Explication détaillée Centre d’intérêtD1 Dégager le champ lexical de Hamitié dans le texte Expliquer l’emploie de ces champs lexicaux Comment est Jeanne et le comte ? Le champ lexical de ramitié dans le texte : liait, amis, contact de leur cimes droites, de leurs cœurs simples, adorait, maniait une délicate, embrassait, élans passionnés, doux, heureuse, Le champ lexical de ramitié est utilisé pour mettre en relief la relation d’harmonie, entre les deux familles. jeanne et le comte sont des amis. Dans le premier centre d’intérêt, l’étude du champ lexical de l’amitié confirme que les deux familles entretiennent une relation amicale. Et que Jeanne et le comte s’avère être des amis par la droiture de leur âme et la simplicité de leurs cœurs Deuxième centre d’intérêt 11