Francais anthologie argumentative, didactique Argumentative : Apollinaire, « La colombe poignardée et le jet d’eau », Calligrammes, 1918 Pour vous faciliter la lecture, voici le calligramme retranscrit : Douces figures poign Mya Mareye Yette et Lorie Annie et toi Marie p g uries Où êtes-vous ô Jeunes filles Mais près d’un jet d’eau qui pleure et qui prie Cette colombe s’extasie Tous les souvenirs de naguère O mes amis partis en guerre Jaillissent vers le firmament Et vos regards en l’eau dormant Meurent mélancoliquement Où sont-ils Braque et Max Jacob Derain aux yeux gris comme l’aube
Où sont Raynal Billy Dalize Dont les noms se mélancolisent Comme des pas dans une égl•se Où est Cremnitz qui s’engagea Peut-être sont-ils morts déj? du calligramme (ce ne fut pas l’inventuer du genre mais celui qui en la designer par un nom), Il créa ce roman entre les années 1913 et 1916 pendant la premiere guerre mondiale , ou il y participa et fut tuer pour la france en 1918. Ce calligramme a était fait par apollinaire lui meme et reprend son poeme et disposant les vers et strophe de facon a dessiner une colombe et un jet d’eau.
Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ? Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ? Ils s’en vont travailler quinze heures sous des meules Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d’une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d’airain, tout est de fer. Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue.
Aussi quelle pâleur ! la cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas ! Ils semblent dire à Dieu: Petits comme nous sommes, Notre père, voyez ce que nous font les hommes ! Ô servitude infâme imposée à l’enfant ! Rachitisme ! travail dont le souffle étouffant Défait ce qu’a fait Dieu ; qui tue, oeuvre insensée, La beauté sur les fronts, dans les coeurs la pensée, Et qui ferait -c 2 OF s qui tue, oeuvre insensée, Et qui ferait – c’est là son fruit le plus certain ! D’Apollon un bossu, de Voltaire un crétin ! Travail mauvais qui prend l’âge tendre en sa serre, Qui produit la richesse en créant la misère, Qui se sert d’un enfant ainsi que d’un outil ! Progrès dont on demande : Où va-t-il ? que veut-il ? Qui brise la Jeunesse en fleur ! qui donne, en somme, une âme a la machine et la retire à l’homme ! Que ce travail, haï des mères, soit maudit ! Maudit comme le vice où l’on s’abâtardit, Maudit comme l’opprobre et comme le blasphème ! Ô Dieu ! u’il soit maudit au nom du travail même, Au nom du vrai travail, sain, fécond, généreux, Qui fait le peuple libre et qui rend l’homme heureux ! Victor Hugo. Les contemplations. 19 siecle Victoi hugo a ecrlt le recueille des contemplations entre 1846 et 855 et fut publier en 1856 ou fut tirer le poeme melancholia. Victor hugo (1802-1885) a ecrit ce poeme de 158 poemes repartie en 6 livre durant celon certaint comme l’apogée de sont art poetique, ces poemes d’amour, de deuil, de joie, Ide mort, Ide souvenir et de foi que victor hugo voulait faire retranscrire pour montrer ces engagements personnelles.
Cosette balayant devant la maison des Thénardier, illustrations d’émile Bayard de 1 862, cette illustrations fait penser a melancholia a caus e du 1 vers,2,13 3 OF s illustrations d’émile Bayard de 1862, cette illustrations fait penser melancholia a caus e du 1 vers,Z13 Didactive : Le Roseau et l’Olivier Esope 7 siecle avant j-c Le roseau et l’olivier se querellaient au sujet de leur résistance, de leur force, de la tranquillité de leur vie. Comme l’olivier invectivait le roseau, lui reprochant d’être faible et de céder facilement à tous les vents, celui-ci resta sans mot dire.
Il n’attendit pas longtemps. un vent violent ayant soufflé, le roseau, qui était secoué et ployait sous la tempête, se tira d’affaire facilement. L’olivier au contraire, qui s’était raidi contre le vent, fut brisé brutalement. Cette fable signifie que eux qui ne résistent pas aux circonstances et aux puissants sont dans une condition meilleure que ceux qui entrent en lutte contre les forts Esope a ecrit ce poeme aux alentour du 7 siecle avant Esope est un poete grec(Vlle-vie siècle av. J. -C. Il fut le pere de la fable et a inspirée plusieur autres grands auteur telle que jean de la fontaine, phedre ou encore Charles perrault. Peintutre de willi aracting,’ datant de 1969 representant un roseau a gauche et un chene a sa droite, cela montre bien le poeme car le roseau et plier alors que le chene lui reste droit comme dans la fable 4 OF S Maitre Corbeau, sur un arbre perché, Tenait en son bec un fromage. Maître Renard, par l’odeur alléché, ui tint à peu près ce langage . « Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau ! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois. » A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie , Et pour montrer sa belle voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie. Le Renard s’en saisit, et dit : « Mon bon Monsieur, Apprenez que tout flatteur Vit aux dépens de celui qui l’écoute : Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. » Le Corbeau, honteux et confus, Jura, mais un peu tard, qu’on ne Ily prendrait plus. 7 eme siecle Jean de la fontaine créa le poeme Le corbeau et le renard dans son premier recueille intitulée : Fables, dans le premier livre et c’est le second poeme. Jean de la fontaine (1621-1695) est principalement connue pour ces fables, il reprend en autres certaine fable desope et les réecris mais d’autres grands noms de fables. C’est l’une de ces fables les plus connues car des l’ecole prmiaire nous l’apprenons. Illustrations de JJ Grandville datant de 1937-1938, representant un corbeau tenant un fromage dans son bec et un renard voulant absolument lui prendre son bien, S OF s