Commentaire de texte Texte de Gerando A l’époque, et encore aujourd’hui, l’étude de l’homme n’est pas la plus importante. Plus concentrés sur nos besoin immédiat, nous ne cherchons plus a nous grandir en tant qu’humain, à nous perfectionné, mais bien à nous satisfaire personnellement, faisant passer notre individualité avant notre espèce. Mais, selon le philosophe attaché à l’idée de m atteint les réelles joui comment se connait qu’il faut connaitre l’ mieux l’Autres que l’O nc sant bien que l’on le bonheur. Mais Swipe laview nextp g . -é ndre en affirmant st en connaissant connaitre. Et c’est dans la connaissance de soi-même que l’on peut améliorer ses facultés, et enfin, arriver aux jouissance de la vie, philosophiquement parlant. Gerando nous montre donc une façon d’atteindre le bonheur par la connaissance de l’Autre, et donc de nous même. Mais comment étudier l’Autre ? Gerando y répond. Il explique que Hobservation est la base de l’étude de l’Humain. Par la détection et la mise en relation des différences, ou des variétés comme il l’appelle, nous pouvons analyser et comprendre les Autres en face de nous.
En omprenant le pourquoi de ces variétés, nous comprenons l’autres dans sa façon d’agir et de pensé. En le Swipe to vieu next page le comprenant, nous mettons a nus des systèmes de réflexion qui sont similaire aux nôtres, mais que l’on n’aurait pu trouver par simple réflexion sur nous même. Et c’est par ce cheminement intellectuelle que nous nous découvrons nous même. Mettre en comparaison nos différences Mais quel Autre étudier ? Lequel des Autres qui nous entoure serait le plus à même à nous monter les modes de réflexion humains ?
Notre voisin de palier ? Celui de la ville voisine ? Du pays voisin ? Gerando nous dirige alors vers ce qui est pour lui le plus apte ? nous apprendre à nous comprendre nous même : les peuples « sauvages D’après lui, par leurs différences flagrantes, ils présentent des « termes de comparaison » de choix. Selon ses dires, ils sont l’image de notre société, mais dans ce qu’elle était ? son origine. Et plus le peuple serait éloigné de la civilisation européenne, plus elle nous montrerait une image de nous lointaine dans le temps.
En remontant ainsi dans le temps, les facultés de l’esprits seraient plus limités et ils en serait donc plus acile d’en faire apparaitre la nature et les lois essentielles. De plus, Gerando explique à ceux qui souhaiteraient s’étudier en étudiant ces peuples, qu’il faut leur transmettre tout ce qui est bon de notre société « civilisé », afin d’amélioré, non pas l’individu, mais l’espèce, et sortir de l’égoïsme existant. Voilà ce que nous pouvons apprendre du texte de Gerando où, 2 et sortir de l’ég5Sme existant.
Voilà ce que nous pouvons apprendre du texte de Gerando où, ? partir de la question principale qu’est la recherche des réelles jouissances de la vie, il développe une sorte de mode d’emploi » our étudier et comprendre les peuples non connus à l’époque. Mais nous sommes en droit de relativisé et de remettre en cause ce propos. Et afin de cadrer nos propos, nous nous poserons trois questions qui nous permettrons de repenser les écrits de Gerando. Premièrement, nous nous demanderons pourquoi c’est en s’étudiant que nous nous améliorons.
Ensuite, on se questionnera sur l’idée que l’observation est la base de l’étude de l’Homme, et donc de nous même. Et nous finirons par réfléchir en quoi les peuples dis « sauvages » sont un reflet de notre société dans le passé. ? Le sage est celui qui se connait bien Cela parait, a première vu, juste. Mais pourquoi ? Est-il évident qu’une personne se connaissant parfaitement est sage. demandons nous d’ailleurs, qu’est ce que la sagesse ? La sagesse serait relative au bon sens, ? l’intelligence, au savoir, à la science.
Elle serait donc un aboutissement d’une « amélioration » poussé, et donc finalement, celui qui a réussi à s’améliorer est celui qui se connait bien. Et alors, nous pouvons toujours nous demander en quoi le fait de bien se connaitre nous permettrais de nous amélioré ? Et pour enter de répondre à cette interrogation, il faud 3 connaitre nous permettrais de nous amélioré ? Et pour tenter de répondre à cette interrogation, il faudrait savoir ce que veux dire l’expression bien se connaitre. A partir de quel moment pouvons nous nous dire que nous nous connaissons bien ?
Parlons nous d’une idée de connaissance corporelle ? Psychique ? Philosophique ? L’Homme connaissant les moindre partie de son corps est-il plus sage que celui qui à étudié son esprit sans oublier quoique ce soit ? Pour savoir si nous nous connaissons bien, il faut d’abord se demander ce que nous evons connaitre. Et c’est ici que nous pouvons parler de nature. Nous devons donc nous demander ce que nous sommes à la naissance, avant toutes sortes de modifications qui puisse avoir eu lieu. Pour continuer l’approfondissement de notre idée, celui qui à réussi à s’amélioré est donc celui qui connait bien sa nature.
Mais finalement, si la nature d’un homme (ou d’une femme) est ce qui définit cet homme avant qu’il est été cultivé, pourquoi ne serait-elle pas la même pour tous les Hommes ? Donc l’homme connaissant la nature de l’Homme, se connait, mais connait aussi ‘Autre, celui qui lui est différent. II a donc mis en place des éléments de comparaison lui permettant, au fur et à mesure qu’il les mets en place, de voir et modifier les éléments qui ne lui permette pas d’accéder aux réelles jouissance de la vie, tel que le bonheur. Sétudier deviens alors synonyme, en que 4 réelles jouissance de la vie, tel que le bonheur.
S’étudier deviens alors synonyme, en quelques sortes, d’étudier d’étudier PAutre. Et il permet par la même occasion de s’amélioré vers les jouissances philosophiques de la vies. Après avoir compris pourquoi « le sage est celui qui se connait a question qui vient naturellement à la suite est : Comment pouvons nous nous étudier en tant qu’Homme ? En effet, étudier un atome, une plante, un animal, un objet minéral, des suites de chiffres, n’est pas la même chose qu’étudier un être humain. Ces premiers étant plus manipulable que ce dernier.
Nous ne pouvons, par éthique, faire ce que nous voulons d’un être humain. Nous sommes donc contraint de l’étudier avec son consentement, et dans leurs quotidiens. Mais alors, si nous ne pouvons agir de nous même sur ce que fait l’humain, que nous reste il pour l’étudier ? Et bien, comme nous ‘aurions fait avec un animal, ou tout autre objet d’étude possible, nous allons l’observer. Mais pas bêtement. Nous n’allons pas seulement voir l’être humain, mais nous allons noter chacun de ses comportements, de ses actes. Puis nous allons nous questionner sur le pourquoi de cette action.
Nous allons donc, en plus de voir, analyser ce que nous voyons. Et comment faire ? Comment expliquer ce que nous voyons clairement ? Et bien, tout comme les autres sciences, les sciences humaines ont leur mode d’analyse. Nous allons donc créer S comme les autres sciences, les sciences humaines ont leur mode ‘analyse. Nous allons donc créer des comparaisons entre des éléments qui nous sont connus, et ceux qui ne nous le sont pas. C’est ainsi que l’on pourra se représenter et comprendre des manières d’agir qui ne sont pas semblables aux nôtres.
Et comme nous Pavons énoncé plus haut, nous en connaissons plus, et que nous comprenons mieux l’Autre, nous pourrons porter un regard différent sur nous même, et mieux nous connaitre et nous comprendre à notre tour. Ainsi, fobservation serait bel et bien la base de l’étude de l’Homme et par conséquent, de nous même, ar elle permet de nous donner les éléments de réflexion menant à une compréhension de nous même en tant qu’individu. Désormais, nous savons pourquoi il faut s’étudier et comment il faut s’étudier. Nous sommes donc en droit de nous demander qui faut il étudier.
A cela, Gerando nous démontre que les peuples sauvages sont, pour lui, les plus intéressants à observer. Notre mode de vie à, en effet, plus de différences avec ceux de ses peuples éloignés, que ceux de nos voisins frontaliers. Il apparait donc plus évident de les mettre en comparaison. Mais dans son texte, Gerando dis ue ces peuples sauvages sont une image de notre société dans le passé. Pourquoi ? Qu’est-ce qui lui permet d’affirmer cela ? En quoi une personne éloignée pourrait être l’image de nous même dans le passé ?
Si l’on consid En quoi une personne éloignée pourrait être l’image de nous même dans le passé ? Si l’on considère que nous ayons toujours grandi notre pensée au fil du temps, l’Autre lointain serait alors une forme d’esprit moins grande que nous même. Ses différences, ses traditions ou ses coutumes seraient donc moins évolué, si on puisse le dire, des nôtres. ar ce jugement de valeur, nous nous faisons supérieur à ces peuples. Mais ce genre de raisonnement amène des questions tel que l’appartenance au genre humain de ces peuples. Serait-ce des « sous-Homme » ?
Et finalement, avons nous le droit de juger la supériorité d’un peuple par rapport à un autre, si supériorité il existe. Ne sont-ils pas en droit de nous étudier eux aussi ? De nous juger et de se penser plus « évolué » ? Essayons de mieux se représenter les choses avec un exemple. Prenons deux oiseaux similaires, à l’exception qu’ils ne chantent pas de la même manière. Tout deux se eproduisent et se maintienne en vie aussi bien l’un que l’autre. Par conséquent, en est-il un plus évoluer que l’autre ? En est-il un supérieur à l’autre ?
Tout comme nous et ces peuples lointains, ils ont des manières différentes d’agir, mais sont pourtant égaux. Nous pouvons donc reposer la question, pourquoi les peuples sauvages seraient une image de nous même dans le passé ? Ces différences observés ne montre pas une vision ancienne de nous même, mais une vision différentes de nous m même, mais une vision différentes de nous même. Un jugement de valeur ne peux avoir lieu ici. Seul l’observation et l’analyse de comportement différents des notre peux nous amener ? comprendre cette autre, et vivre en harmonie avec celui-ci.
Gerando nous a amené à nous poser la question du pourquoi et du comment s’étudier, et étudier FAutre. Mais par le contexte dans lequel il se trouve lors de récriture de son texte, la récente découverte de ces peuples éloignés de l’Europe et donc, de la remise en question des anciennes représentation de [‘Homme, il les voit comme des êtres moins civilisés. Et c’est d’ailleurs cela qu’il l’intéressé, car ils seraient donc plus proche de la Nature, car oins modifié par la société.
Cela lui permettrait donc d’apercevoir la réelle nature de l’Homme plus facilement, et par la suite de mieux se comprendre en tant qu’être humain et peut être, accéder au bonheur. Mais l’étude l’être différent, et non pas inférieur ou moins civilisé, ne permettrait-elle pas aussi remettre en question notre vision de nous même, de mieux nous connaitre. Et, plus fondamentalement, cette connaissance de nous même est-elle l’unique manière d’accéder au bonheur ? Le partage possible entre deux cultures complètement différentes ne suffirait-il pas ? 8