La liberté est ce faire ce qui nous plait ? La liberté est ce faire ce qui nous plait ? Cette question à première vue, tend à dire que la liberté c’est l’absence de contraintes. Être libre, c’est faire ce que l’on veut. La liberté c’est LA question fondamentale que tout être humain se pose. Car en effet, nous sommes tous à sa recherche, qui n’est ne serait ce qu’un peu en recherche de liberté, mais pour cela il faudrait alors savoir ce qu’on recherche exactement. Et ici , il faut que nous recherchions si la fameuse liberté tant convoité c’est faire ce qui nous plait.
Car n effet, nous ressentons lorsque nous sommes contrains de respecter des lois, des régles, moral que nôtre liberté est attaquée, que nous sommes soumis aux règles. C’est ce qu’il va p g to Wen « ext donc falloir observer car on nous demand donc le plaisir Mais I la;sw rien ne qualifie exact chose qu’on ne tient 0 est d’ordre abstrait , it c’est être libre Idu à un autre , r, c’est quelque laisir, c’est avant tout une sensation, un ressenti du plus profond de notre être, un sentiment de satisfaction que lion ressent.
Est ce ça la liberté ? Faire ce qui nous plait ? Ressentir du plaisir ? Sont ils réellement liés ? Ou peuvent ils naître l’un sans l’autre ? Ou simplement est ce qu’il n’y aur aurait pas d’autre moyen d’être libre ? A cette question correspond cependant un probléme. Si être libre c’est éventuellement faire ce que l’on veut , alors celui qui n’en fait qu’à sa tête, et qui en toutes circonstances se laisse guider par son seul désir du moment, il est libre c’est incontestable.
Mais qui de nos jours serait capable de casser ses chaines qui le retient à la société et de se lâcher complètement à la liberté, dire ce qu’il pense, faire ce qu’il veut sans contrainte, ans être l’esclave d’autruis. Ne serait ce pas au contraire contre son intérêt ? Ou alors il serait donc libre, il aurait trouvé sa liberté absolue. Cependant si la soumission à une autorité extérieure semble bien venir contredire la liberté en nous dans notre être profond, la soumission aux passions, aux pulsions et désirs quelconque n’est-elle pas tout autant un esclavage ?
Car enfin, celui qui veut faire tout ce qu’il veut par simple envie , celui qui veut n’obéir à rien, ne se soumet-il pas en fait à la dominance du désir. )La liberté est ce faire ce qui nous plait, il faudrait déj? éterminer ce qu’est le plaisir , de quel plaisir il s’agit car on pourrait éventuellement observer différent cas de liberté ou bien alors une catégorie de plaisir qui n’amènerait à aucune liberté mais à autre chose.. On peut alors ce demander si le plaisir c’est la liberté ?
Si le plaisir en lui même c’est de la liberté , si le simple fait de ressentir du plais 0 liberté ? Si le plaisir en lui même c’est de la liberté , si le simple fait de ressentir du plaisir c’est être libre. Effectivement , si l’on prend le plaisir personnel il résulte de plusieurs possibilité, d’une atisfaction d’une action entreprit qui se concrétise. Le plaisir personnel c’est avant tout, la satisfaction personnelle et dans ce cas nous sommes libre car tout ce qui provient du personnel donc du profond de nous même est supposé l’être.
Car en effet, si être libre c’est faire ce qui nous plait et si ce qui nous plait est un plaisir personel alors oui ce plaisir c’est la liberté, car le plaisir personnel ne peut être arrêter, interdit,censuré par personne, il est libre, imprévu, il survient sans qu’on l’ait exigé. Il est alors naturel. Notre plaisir est alors la source même de la liberté car il ‘obéit alors à aucunes régles ou de mœurs, on peut l’apprécier sans contrainte, personne ne vous oblige à le ressentir, il ne dépend que de nous et de notre envie, on est donc libre. Tandis que si nous partons sur le plaisir collectif, commun.
Un plaisir partagé par tous. On aura un résultat different car en effet, le plaisir collectif n’est pas libre déjà car nous sommes contrains de ressentir le même plaisir. Si l’on prend un groupe d’individus qui se regroupent dans le but de partager un moment ou une activité qu’ils aiment et qu’ils partagent ; le plaisir en sera alors collectif mais ici nous rentrons dans notre bserv qu’ils partagent ; le plaisir en sera alors collectif mais ici nous rentrons dans notre observation dans un cas contraire de la liberté ici, vôtre plaisir et presque exigé vous êtes dans un groupe qui partagent vos goûts.
Votre plaisir est prévu, on s’attend exactement à ce que vous appréciez ce que vous faîtes, vous servez votre plaisir, comme un devoir. Vous vous sentez presque obligé de le ressentir il serait inconcevable que ce soit le contraire. En outre ce plaisir collectif, commun n’est pas naturel ni inconscient, il ne vient pas à l’imprévu, il n’est donc pas libre. II est u contraire sous domination sociale, tel un esclave qui accompli son devoir. Ill ) Puisque nous venons de parler des differents plaisir et de leur impact sur la liberté.
Nous pouvons alors maintenant, essayer au travers d’une certaine vision de la question « la liberté est ce faire ce qui nous plait » d’en dégager une première proposition, reflexion et analyse qui sera donc ; peut on faire ce qui nous plait sans être libre ? La question peut paraître au premier abord sans fondement et illogique car il paraitrais que et on nous apprend que on doit forcement être libre pour faire ce qui nous plait, sinon l est impossible.
Comment oser faire quelque chose d’interdit et bien pourtant si lion étudie assez la question, il existe des situations comme le plaisir de l’interdit qui met en evidence cette hypothése. En outre, peut on faire ce qui nous plait grâce à des plaisir 4 0 evidence cette hypothése. En outre, peut on faire ce qui nous plait grâce à des plaisirs interdit même sans liberté ? Bien sur, que c’est concevable et c’est même le péché de tout être, nous sommes incontestablement attirés par l’interdit même si on nous l’interdit, on a toujours ces envies plus forte qui nous y tentent.
La meilleure période de l’être humain pour en parler serait l’adolescence, plus on interdit plus ils ont envie de le faire, mais cela perdure. Et lorsque enfin, nous bravons l’interdit, notre plaisir n’en est que plus fort et alors on se sent libre, de ressentir ce plaisir de satisfaction. Qui nous dit qu’on est libre, malgré qu’on est pas de liberté. Cependant qu’est ce que la liberté ? Cest un ressenti également, ce n’est rien de concret. La liberté c’est un etat que l’humain à rendu presque réel, en lui accordant une grande importance, en lui donnant de la considération.
Mais est ce que la liberté ce ne serait pas simplement une illusion ? Quelque chose de futile, qu’on nous a entré dans la tête. Avec cette supposition il parait logique que ici oui, on peut faire ce qui nous plait sans liberté puisqu’elle n’existe que dans notre tête, et si ce ressenti disparaissait, il n’y aurait plus à ce que demander si la liberté c’est faire ce qui nous plait et il n’y aurai plus non plus ? se demander si il est possible de faire ce qu’on veut sans celle ci. Car en effet, nous avons conscience d’être libres, I possible de faire ce qu’on veut sans celle ci.
Car en effet, nous avons conscience d’être libres, lorsque nous sentons que nous faisons ce que nous voulons, que nous faisons nos propres choix , en l’absence de toute contrainte extérieure, donc il suffit den avoir conscience de s’en convaincre, on a pas réellement besoin qu’on nous dise qu’on est libre, que l’ont peut faire ci et ça. Puisque nous faisons ce qui nous plait, sans contrainte. IV ) Arrivé à ce stade de notre étude, nous pouvons alors nous positionner sur une autre face de la liberté.
Contrairement à l’axe étudié précédemment ici nous allons plutôt nous pencher sur ne question qui répond, en outre à, si la liberté c’est faire ce qui nous plait. Nous parlions également dans un autre passage si la liberté pouvait naitre et être la conséquence d’autre chose, engendré d’une autre manière qu’en faisant ce qui nous plait Effectivement, nous pouvons nous demander si nous pouvons être libre tout en ne faisant pas ce qui nous plait ? Existe t-il dans ce monde, des humains qui vivent une liberté sans faire ce qui leur plait.
Ca serait le cas des libertées conditionnés, y’aurait il des libertés conditionnés qui permettent la liberté ?. Si nous prenons es pays dont les moeurs sont differentes des nôtres dont les libertés sont comprises et acceptés différemment. par exemple les pays arabes ou bien encore l’Inde dans ces pays une femme peut être libre et elle l’est globalement mais elle reste t 6 0 encore l’Inde dans ces pays une femme peut être libre et elle l’est globalement mais elle reste tout de même sous autorité parentale pour choisir un mari, les mariages arrangés.
Ici nous sommes en plein cas où l’individus ne peut pas faire ce qu’il veut à cause des lois et des moeurs mais dans sa socièté ceci parait comme une liberté morale. Cependant, notre avis en diffère car en effet, choisir un mari reléve du désir d’aimer quelqu’un et ce désir est personnel. Il provient de nous, de nos envies et ces envies sont normalement libres mais ici elles sont encadré, on entre donc dans une privation de la liberté.
Et donc ici, nous ne pouvons pas être libre en ne faisant pas ce qui nous plait. De plus, en revenant à un cas beaucoup plus général. Si nous pouvons être libre sans faire ce que nous voulons c’est supposer que nous nous en avons pas la possibilité. Et c’est donc se demander si on peut être libre sans en avoir les oyens ? . Car en effet, c’est bien beau de dire « je fais ce qui me plait alors Je SUIS libre » mais faudrait il déjà en avoir les moyens.
En parlant de moyens je parle de la capacité, le courage de se dire » je veux être libre alors je quitte mon travail » ou bien » je quitte ma femme, ma famille ». Ici il faut avoir une conscience ? toute épreuve et il est assez clair que dans ces situations notre être profond nous rattrape et nous dise que c’est mal à moins que l’on soit totalement indifférent aux au nous rattrape et nous dise que c’est mal à moins que l’on soit otalement indifférent aux autres alors là notre liberté compte beaucoup plus.
Mais il y a également d’autre cas moins grave comme « je vend ma maison », « je pars faire le tour du monde » alors là, les contraintes sont plutôt financière, elles ne nous le permettent pas toujours et alors ici à moins d’être riche ou bien dans une situation très confortable notre conscience nous rappelle encore une fois que c’est mal et qu’il ne faut pas courir de risque. En outre, sacrifier sa liberté par faute de moyen.
Enfin, nous avons aborder des sujets social , matériel maintenant nous allons partir sur une partie beaucoup lus psychologique. La liberté est ce faire ce qu’on veut , et donc ici nous nous demandons si on peut au contraire être libre sans faire ce qu’on veut. Et donc, nous pourrions alors étudier le cas cérébral, plus clairement l’éducation encrée en nous ainsi que la conscience inscrite en nous, est ce que ces deux conditions permettre d’être libre ?
En réalité pour mieux éclaircir notre vision, il faut se mettre en tête que l’éducation c’est ce qui forge notre conscience, en fait, l’éducation c’est la fabrication, le formatage de notre être tandis que la conscience s’en est le résultat, la finition. Céducation, c’est ce qu’on nous enseigne,ces enseignements sont basés sur les fondements de notre société, ses lois, c’est également basé sur notre culture, nos va B0 sur les fondements de notre société, ses lois, c’est également basé sur notre culture, nos valeurs.
Et rien qu’avec cette idée, de valeur on nous place dans une situation logique ou l’on ne fait pas ce que l’on veut, on ne se soumet pas à nos désirs, à nos appétits. On doit les dominer, s’en défaire surtout si cela montre des visages pas très beaux à voir des l’individus ou bien encore si cela ne correspond pas aux attentes de religions. En outre, on peut penser des lors où l’éducation nous fixe des barrières, des contraintes et que notre conscience par la suite nous empêchera d’agir que nous ne sommes pas libre, nous sommes esclave de nous même, nous sommes dominer par notre conscience.
Etre libre c’est faire ce qui nous plait , la question est très discutable mais il semble logique de répondre que d’une manière oui, la liberté c’est n’avoir aucune contrainte, aucune barrière que ce soit morale ou physique. La liberté c’est avant tout, céder à nos désirs faire ce qui nous plait, c’est ressentir cette sensation e bien être de satisfaction d’un fait accompli, c’est ressentir ce sentiment de liberté au plus profond de nous. Et pour y parvenir rien de tel que de faire ce qu’on veut, ne plus ce fixer de limite, être dépendant de personne et de rien, c’est n’avoir aucune chaine, aucune attache.
En fait, être libre, c’est être indifferent au monde et à ses problémes à ses régles ses lois ses morales ridicules quoi nous torturent la conscience pou ses problémes à ses régles ses lois ses morales ridicules quoi nous torturent la conscience pour nous maintenir dans leur filet plus longtemps. La liberté c’est quitter nos fil qui nous tenait, ne plus être ce pantin dont on prévoit chaque geste et penser juste parce qu’ils sont attendu puisque c’est la normalité.
La liberté c’est être soi et faire ce qui nous plait Cependant, si être libre c’est faire ce qui nous plait, devons nous être totalement inconscient et se laisser porter par nos desirs ? Devons nous laisser toute la morale derrière nous, et ne tenir compte que de nos appétits. Si nous devenons trop libre ne risquons pas de nous enfermer dans de la solitude et de nous retrouver exclus de la socièté. On pourrait se demander si a liberté vaut la peine d’être seul mais libre.
Si la liberté ne peut pas se vivre accompagné et pour cela ne faudrait t-il pas trouver un juste milieu entre liberté des désirs, de faire ce qui nous plait et être libre en faisant des choix, c’est à dire une liberté où il y aurait tout de même de la conscience et où on devrait choisir si c’est juste ou pas. Ainsi, on pourrait vivre une totale liberté accompagné et encadré par nous même. Si ce choix ce fait pa nous même et qu’il s’agit d’un choix propre à nous cela reste une liberté de faire ce qui nous plait ou plutôt de s’en approcher au plus proche. 0 0