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es Télécommunications, service industriel de l’État Article détaillé : Postes, télégraphes et téléphones (France). Sous la Révolution française, en 1792, le premier réseau de communication voit le jour pour permettre d’acheminer rapidement les informations dans un pays en guerre et peu sûr. Il s’agit du réseau de télégraphie optique de Chappe. Après l’invention du télégraphe électrique et ensuite du téléphone l’État français crée en 1878 un ministère des Postes et Télégraphes, ce dernier annexe bientôt les services du téléphone, qui sont nationalisés en 1889.

Pourtant ce n’est qu’en 1923, que g le second « T » appar PTT. En 1941, une directio créée au sein de ce devenant celui des munications est entre national détudes des télécommunications (CNET), a pour mission de développer l’industrie des télécommunications en France. Entre 1950 et 1965, les P&T vendent leurs numéros pour la somme de 10 000 francs de l’époque[réf. nécessaire].

Dans les années 1970, la France met les bouchées doubles pour rattraper son retard sur plusieurs autres nations avec le programme « delta LP » (accroissement des lignes principales). Cest à cette époque que fut construite la plus grande partie de la oucle locale. De plus, avec le concours des industriels français, sont mis au point par les ingénieurs et chercheurs du CNET, la commutation numérique, le minitel, la norme GSM. Création de la Société Anonyme France T Télécom Article détaillé : France Télécom.

Une cabine publique France Télécom Pour répondre à une directive européenne de mise en concurrence des services de télécommunication (téléphonie fixe principalement), sous forme de parution de son Livre Vert en juillet 1987, la direction générale des Télécommunications est renommée France Télécom le 1er janvier 1988. La loi no 90-568 du 2 juillet 1 990 transforme France Télécom en un exploitant autonome de droit public, dont Marcel Roulet est le premier Président ; elle est dotée d’une personnalité morale distincte de l’État et, acquiert une autonomie financière.

Auparavant, le budget des Télécommunications était inscrit au sein du budget annexe des PIT voté chaque année par IAssemblée nationale. Le 13 septembre 1995, Michel Bon est nommé Président du Groupe France Télécom. pour préparer l’ouverture à la concurrence au 1er janvier 1 998, la loi no 96-660 est promulguée en juillet 1996 transformant ‘exploitant autonome de droit public en société anonyme au 1er janvier 1997 dont l’État français est le seul actionnaire, créant ainsi l’Entreprise Nationale France-Télécom.

En 1997, le capital de la nouvelle société anonyme a été ouvert avec succès. L’action est vendue 27 euros. Une seconde ouverture eut lieu en 1998, malgré la crise des marchés émergents, puis la bulle Internet qui rend les bourses euphoriques en 1999. Orange, opérateur mobile britannique En 1990, Pacte’ Corporation, British Aerospace, Millicom et Matra créent le consortium Com icrotel avec pour but de 2 DE 9 réent le consortium Communications Microtel avec pour but de développer une offre concurrente à celle de Vodafone au Royaume-Uni.

En juillet 1991 , Hutchison Whampoa devient actionnaire majoritaire de Microtel en prenant possession de 65 % des parts de la marque7. En avril 1994, Microtel devient Orange Plc et est lancé sur le marché britannique. En 1996, lors de l’introduction en bourse, les principaux actionnaires sont Hutchison Whampoa et British Aerospace détenant respectivement 48 % et 22 % du capital. En juillet 1997, la stratégie de croissance a payé : le cap du million de clients est franchi.

Centreprise présente également le plus faible taux de roulement, affiche de meilleures marges que ses concurrents et obtient d’excellents niveaux de satisfaction de la clientèle[réf. nécessaire]. En septembre 1 998, Orange est lancée à Hong Kong et passe de la quatrième à la première place du marché en six mois. [réf. nécessaire] En 1999, Orange s’implante en Autriche, en Belgique et en Suisse et une concession de licences de marque à Hong Kong, en Australie, en Israël et en Inde à différents opérateurs. En Israël, Orange gagne plus de 400 000 clients lors de la première nnée[réf. écessaire]. Fin 1999, l’allemand Mannesmann annonce l’acquisition d’Orange pour un prix équivalent à 7 900 euros par client soit 33 milliards de dollars US8. En comparaison, Deutsche Telekom a versé 3 800 euros par client lorsqu’il a acheté son concurrent One-2-One soit 8,2 milliards de livres sterling9. Peu après, Vodafone rachète Mannesmann, une opération conditionnée par la Commission euro 3 sterling9. Peu après, Vodafone rachète Mannesmann, une opération conditionnée par la Commission européenne à la revente d’Orange Plc. Frise chronologique d’Orange

Rachat de Orange par France Télécom durant la bulle internet Partie en retard dans le train de l’internationalisation lancé par des concurrents internationaux tels Vodafone, France Télécom se met à chercher des cibles au plus fort de la valorisation des années de la bulle Internet. Cela d’autant plus que son alliance avec Deutsche Telekom, caractérisée par une participation au capital croisée de 2 a éclaté lorsque cette dernière a annoncé un projet de rapprochement avec Telecom Italia (finalement abandonné) sans avertir les Français.

En août 2000, France Télécom rachète Orange Plc à Vodafone our un coût total estimé à 39,7 milliards d’euros10. Elle devra elle-même se séparer de la filiale belge d’Orange (intégralement cédée à KPNI 1 puisqu’elle y possède déjà le réseau Mobistar. Les activités de téléphonie mobile d’Orange Plc sont alors fusionnées avec la majorité des activités mobiles de France Télécom (Itineris, Ola et Mobicarte) constituant le nouveau groupe Orange SA.

Le 13 février 2001, Orange SA est introduit à la bourse EuroNext Paris avec un prix d’action unitaire fixé à 10 € avec une cotation secondaire à Londres et, en mai 2001, Orange SA st cotée au CAC 4012. Les marques de France Télécom Mobile (Itinéris, OLA, Mobicarte) sont remplacées par la marque Orange (« mobicarte » devient le nom de l’une des offres d’Orange, et les deux autres disparaissent) en juin 2001 France Télécom p 4 offres d’Orange, et les deux autres disparaissent) en juin 2001.

France Télécom procède également à de nombreuses autres acquisitions de sociétés (revendues pour certaines) dans le monde devenant le quatrième opérateur mondial par sa taille (GlobalOne, Equant, Internet Telecom, Freeserue, EresMas, participation dans Wind, NTL, Mobilcom, etc. . Groupe France Télécom – Orange Désendettement La période d’expansion euphorique tous azimuts de la fin du XXe siècle connut le revers de la médaille en 2002. ? la suite de changement de qualification d’une partie de la dette de « long terme » à « court terme » en vue d’obtenir un meilleur taux d’intérêt, les actionnaires s’aperçoivent que, de 2002 à 2005, France Télécom doit rembourser chaque année entre cinq et quinze milliards d’euros de dette. Le cours de l’action s’effondre à 6,94 euros le 30 septembre 2002, alors qu’il était à 219 euros le 2 mars 2000. L’entreprise qui avait une capitalisation boursière de 580 milliards d’euros voit cette dernière chuter à « seulement » 18 milliards d’euros.

France Télécom fut obligée d’afficher pour la première fois depuis plusieurs décennies un déficit abyssal à la suite d’investissements hasardeux à l’étranger en vue den faire un groupe de taille européenne en préparation de l’ouverture à la concurrence. Le 2 octobre 2002, le président-directeur général est Thierry Breton. Il a été appelé pour redresser l’entreprise qui était à ce moment-là, la deuxième entreprise la plus endettée du monde en termes de dette à court terme).

Il a obtenu quinze milliards de réaménagement de la dett S monde (en termes de dette à court terme). Il a obtenu quinze milliards de réaménagement de la dette à prendre en charge par les banques et les investisseurs, quinze milliards d’augmentation de capital réclamés à l’État alors actionnaire majoritaire, et quinze milliards de trésorerie à dégager grâce à des économies en interne. Nommé Ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, il démissionne de France Télécom le 22 février 2005 pour rejoindre le gouvernement.

Le 21 novembre 2003, France Télécom décide le retrait des 13,7 % du capital d’Orange disponible au sein de la bourse de Paris, en lançant une procédure de retrait obligatoire au prix d’introduction13. Ce retrait obligatoire provoque la colère des actionnaires minoritaires représentés par l’ADAM, qui intente un recours contre l’opération14,15. En 2004, les actionnaires minoritaires perdent leurs recours, et l’action est retirée de la cote le 23 avri116.

L’endettement financier net de France Télécom au 30 juin 2008 en normes FRS s’élève à 38,2 milliards d’euros, soit un ratio dette ette sur marge brute opérationnelle juste inférieur à 2. Privatisation En septembre 2004, l’État français cède une partie de ses actions pour passer en dessous de la barre des 50 France Télécom devient alors une entreprise privée. Cent-quinze ans après sa nationalisation, la téléphonie redevient privée en France. En juin 2007, l’État français cède à nouveau 5 % de sa participation dans France Télécom.

La participation publique (État Français et ERAP) est portée à 27 %. À cette même date, France Télécom revend Orange Pa publique (État Français et ERAP) est portée à 27 À cette même ate, France Télécom revend Orange Pays-Bas et acquiert le fournisseur d’accès espagnol Ya, ainsi que l’opérateur mobile autrichien One. En septembre 2014, Bpifrance vend % d’Orange, qu’il ne détient plus qu’à 1 1,6 %. BpiFrance et l’État Français possédant 25 % des actions d’Orange17.

Acquisitions et scissions En 2003, Orange se retire d’Eutelsat, Telecom Argentina, Wind Telecomunicazioni, pour 1,5 md d’euros environ. [réf. souhaitée] En 2005, Orange se retire de l’association qu’il entretenait avec le câblo-opérateur Noos18. Orange était jusqu’à cette date chargé e la maintenance du réseau câblé analogique de télévision distribué dans les habitations, puis liquide sa filiale France- Télécom Câble, en réaffectant ses personnels fonctionnaires qui y étaient détachés dans la maison mère, de BITCO, d’Orange Danemark, de ST Microelectronics [réf. ouhaitée]. Au Danemark, l’opérateur Orange AIS (anciennement Mobilix, créé en 1 997) est vendu à l’opérateur finno-suédois TeliaSonera pour la somme de 600 millions d’euros, payés comptant 19. Le 27 Juillet 2005, France Télécom annonce le rachat de 80 % e l’opérateur de téléphonie mobile Amena, détenteur de 24 % de parts de marché en Espagne, pour la somme de 6,4 milliards d’euros dont trois par augmentation de capital. La même année, il se retire de Tower Participations/TDF France, Intelsat, France Télécom Câble, MobilCom. réf. souhaitée] En 2006, Orange se retire des Pages Jaunes Groupe et de France Télécom Mobile Satellite Communications. [réf. so retire des Pages Jaunes Groupe et de France Télécom Mobile Satellite Communications. [réf. souhaitée] En 2007, vend sa filiale orange pays-Bas20. En mars 2008, les médias prêtent à France Télécom l’intention de racheter la société scandinave TeliaSonera21. Le nouvel ensemble deviendrait le premier opérateur européen. Cette opération sera avortée.

En 2009, Orange vend à Rue du commerce sa filiale e-commerce spécialisée dans la vente en ligne de produits et services téléphoniques (boutiques en ligne de France Télécom et d’Orange) et de produits culturels et technologiques (Alapage, Clust, TopAchat… )22. Le 21 septembre 2010, France Télécom rentre au capital (40 %) de Meditelecom (marque Méditel), deuxième opérateur de éléphonie mobile du Maroc (10 millions de clients au moment de l’opération). L’accord prévoit la montée de France Télécom à 49 % du capital d’ici 2015.

Fin août 2010, Orange a pris une participation de 11 % dans le site de streaming Deezer. Copérateur propose ainsi à ses abonnés une nouvelle option « Deezer Premium », un service de streaming musical payant, sans publicité et en haute qualité, avec dix-huit millions de titres disponibles23. Le 25 janvier 2011, Orange annonce l’acquisition de 49 % de Dailymotion, la plateforme de vidéo en ligne française, pour un coût de 58,8 millions d’euros. Le groupe a également posé une option pour acquérir, en 201 3, la totalité du capital de la plateforme24.

Ce rachat illustre la nouvelle stratégie mise en place par Orange qui souhaite proposer à ses abonnés une offre complète de vidéo multi-écrans25. C’est v 8 Orange qui souhaite proposer à ses abonnés une offre complète de vidéo multi-écrans25. C’est via cette acquisition qu’Orange Business Services a développé son offre de VOD entreprise nommée Galerie vidéo. En octobre 2011, France Télécom acquiert l’opérateur CCT en République démocratique du Cong026

En 2012, France Télécom vend Orange Suisse à Apax Partners pour un montant de 1,6 milliard d’euros ; ainsi que TP Emitel (Pl) opérateur polonais de TNT26. Le 3 février 2012, Orange annonce la mise en vente des 35 % qu’elle détient dans sa filiale autrichienne27. En novembre 2013, Orange vend ses activités en République dominicaine à Altice, pour 1,435 milliard de dollars28. En septembre 2014, Orange acquiert l’opérateur internet espagnol Jazztel pour 3,4 milliards d’euros29. Le 15 décembre 2014, BT annonce être entré en discussion pour l’acquisition d’EE pour 21,5 milliards de livres.

Le 5 février 201 5, Orange et Deutsche Telekom annoncent la signature d’un accord avec BT visant la cession de l’intégralité de leurs parts d’EE, entreprise commune aux deux sociétés au Royaume-Uni. Les deux parties se sont entendues sur une valeur d’entreprise de 12,5 milliards de livres sterling (environ 16,7 milliards d’euros). Ce qui permet de réunir les 10 millions d’abonnés internet de BT aux 24,5 millions d’abonnées de téléphonies mobile de EE. Dans le cadre de cette opération, Orange et Deutsche Telekom prennent respectivement une participation de 12 % et 4 % dans BT30. Convergence s 9