DEVOIR 1 Culture générale et expression Thème: ces objets qui nous envahissent: objets cultes, culte des objets Première partie: synthèse de documents 1 – Analyse des documents Analyse du document 1 Ce premier document , «la nouvelle Citroen», est un extrait de 2 mythologies de Rola de la DS Citroen. A travers une analys de l’ironie. Swape v orrespond à la sortie rthès utilise le ton Dans un premier temps roland barthès tente de définir les rapports du public avec la voiture en génerale puis avec un modèle particulier d’automobile.
Tout d’abord l’auteur compare l’automobile de manière générale ux grandes cathédrales gothique. De son point de vue les concepteurs automobiles sont des artistes,il associe donc l’automobile à une œuvre d’art, consommée et conçue de la meme façon, comme un objet magique par la population. Roland Barthès introduit la nouvelle citroen comme étant un objet tombé du ciel, elle incarne un objet superlatif, cette dernière donc nous est présenté comme un miracle, une force supérieur. ar la suite l’auteur transforme ironiquement le nom donné à la voiture DS en déesse, ici la nouvelle citroen est décrite comme contemporaine. L’auteur emploi le terme « gourmandise de la conduite» : après la phase de vénération, après avoir «consommé l’automobile dans son image», le candidat automobiliste pouvait la «consommer dans son usage» Suscitant l’attente, la nouvelle citroen s’est faite désirée; avant d’etre découverte par le public, dans les halls d’exposition pour etre ensuite: touchés, palpés, essayés, caressés, pelotés, la «déesse» donc se « prostituait » et le client l’appréciait sensuellement.
Analyse du document 2 Introduction: Le second document, analyse sociologique, est extrait d’un article de blog, écrit par Emmanuel pages qui nvisage la voiture comme un objet symbole, émanant de la relation entre le conducteur et l’automobile. L’auteur abordera dans un premier temps l’aspect identitaire de la relation entre la voiture et son possesseur puis dans un seconds temps son aspect emotionnel.
Premier paragraphe: Dans cette partie Emmanuel Pages aborde l’aspect identitaire de la voiture. Tout dabord l’auteur affirme la dimension sociale de la voiture (lien social) qui permet de la manière la plus pratique qui soit d’assurer Il intégration dans la société, ce qui permet d’exister socialement quelque soit la atégorie socio-professionelle, et la classe sociale du citoyen.
Deuxième paragraphe: les jeunes de moins de 25 ans sont de plus en plus nombreux, à posséder une voiture, malgrès les couts que cela Implique, puisque le permis de conduire permet d’accéder à son indépendance, et de se déplacer librement sur les lieux qui permettent de s’integrer d ( lieu détude, de travail, 2 2 qui permettent de s’integrer dans la société ( lieu détude, de travail, de socialité, lieux de loisirs), passer le permis de conduire est donc ritualisé à l’entrée dans l’age adulte.
Troisième paragraphe : A l’image des rapport sociaux de classe, ou encore de la tenue vestimentaire,et de l’habitation,le statut social de l’individu est facilement identifiable en fonction de la valeur du véhicule. La voiture peux donc etre signe exterieur de richesse et donc ? l’inverse avec la commercialisation de véhicules fonctionnelles ? «bas cout » refléter une stature sociale plus modeste. Quatrième paragraphe: Ce paragraphe aborde l’aspect emotionnel de cet objet.
Le lien affectif entre la voiture et son possesseur se traduit par la relation fusionnelle exprimé par l’association que l’homme fait de lui eme à sa voiture jusqu’à parler à sa place, «Je SUIS en panne» l’homme et la voiture ne font plus qu’un, la voiture est alors personnifiée. Cinquième paragraphe De cette personnification nait une relation intime, ce qui explique les soins et l’attention particulière que l’homme affectionne à sa voiture.
La voiture de l’homme serait donc son reflet, son image et l’homme éprouve donc le besoin d’en prendre soin de la meme façon qu’il se lave ainsi si la voiture est propre il se sent lui meme plus performant. Sixième paragraphe: De cette fusion entre la voiture et son possesseur, on comprends ieux la difficulté du marché de la location de véhicule, qui malgrès les avantages économique qu’il propose manque de considération puisque l’homme a besoin de posseder son véhicule, afin de se positionner socialement. 30F 12 puisque l’homme a besoin de posseder son véhicule, afin de se positionner socialement.
Analyse du document 3: Ce troisième document offre un extrait de roman de dino buzzati. Le narrateur est l’ami de Stéphane. « Il y a 9 ans mon ami Stéphane I s’agit d’un narrateur interne, c’est-à-dire que celui qui raconte les événements est un personnage de l’histoire. L’auteur utilise e champ lexical de la maladie pour désigner l’obsession de Stéphane pour sa voiture : « Virus, symptômes, contaminé, terrible maladie ». Dino Buzzati n’hésite pas à aller encore plus loin lorsqu’il évoque la prise en main de Stéphane et sa conduite de l’automobile.
Les allusions sexuelles sont plutôt transparentes : «… il étreignait voluptueusement le cercle du volant, il caressait le pulpeux levier de changement de vitesse, son pied sur l’accélérateur allait et venait avec la tendresse de celui qui effleure un corps aimé. » . L’épouse se sentant rejetée, voyant que Stéphane s’intéresse lus a sa voiture qu’à elle même, le quitte mais stephane n »en faisait pas un drame puisque la voiture a remplacé sa femme et ce, dans tous ses rôles, elle est personnifiée.
Il ne lui manque que la parole. Derrière cet extrait Fauteur s’en prend à la société consommation. C’est donc une extrait critique. « Dans le monde d’aujourd’hui des milliers d’hommes sont contaminés par cette maladie ; leur souci n’est pas la sérénité d’une famille, un travail riche de satisfactions et rémunérateur, la conquête de l’aisance ou du pouvoir, un idéal d’art, un dépassement spirituel. » Cela dit, le narrateur se positionne de manière beaucoup plus neutre et évite de juger Stéph 4 2 spirituel. ? neutre et évite de juger Stéphane. « Était-ce un sentiment de vanité, puéril ou idiot ? Je ne saurais le dire. Je ne l’ai pas éprouvé. Et il est toujours téméraire de juger le cœur des autres. » Ce n’est pas un texte sans portée critique, mais ce n’est pas non plus un texte qui n’existe que pour défendre l’opinion de son auteur. Analyse du document 4 Ce dernier document est une image extraite d’un site, elle représente une affiche publicitaire pour une voiture de la marque Renault ainsi qu’un slogan.
Ici est mis en scène la renault 5 de manière disproportionnée, on lit un slogan juste au dessus de la voiture : «Au pays des merveilles». Aux pieds de la renaults 5 on voient des hommes qui paraissent minuscules face à cette voiture,c’est donc elle « gulliver » et nous les hommes les liliputiens, elle a le rôle du géant. La voiture ici est objet d’un veritable culte, puisqu’elle est reprenté superieur a l’homme et que l’on peux observer les passant l’admirer, la vénerer telle une déesse, ou encore faire la queue pour la visiter. -Tableau comparatif des quatres documents Document 3 4 Référence du document Roland Barthes «la nouvelle citroen»,Mythologles, 1957 Emmanuel pages, «l_a voiture: un objet symbole « article de blog juillet 2009 Dino Buzzati «Suicide au p 7 s 2 de blog, qui relate des faits sociologiques Extrait d’un roman qui relate l’histoire de Stephane homme obsédé par sa voiture. Publicité representant la renault 5 en géante ainsi qu’un slogan Position de l’auteur Roland Barthes tente de définir les rapports du public avec la voiture en general puis avec la DS.
On notera le jeu de mots DS/ Déesse. L »auteur associe la voiture à un objet divin et dénonce la ascination du public pour l’esthétique de l’objet, mais aussi pour ses pouvoirs. Incarne une tradition merveilleuse. L’auteur analyse la dimension sociale de la voiture qui facilite l’intégration dans la société et permet de definir le statut social de son possesseur. L’auteur aborde également l’aspect emotionnel qui se traduit par la relation fusionnelle entre la voiture et son possesseur et la façon dont l’objet est personnifié par l’homme.
L’auteur décrit l’addiction de son ami stephane pour sa voiture ainsi que le rapport affectif et intime que le possesseur entretiens avec son utombile. La voiture est personifiée, puisqu’elle finis par remplacée sa femme. Stephane est dominé, sous l’emprise de sa voiture. La publicité est une photographie de la Renault représentée de manière gigantesque Le slogan «Au pays des merveilles» prouve que la renault 5 à le rôle du Géant «Gulliver» et que les hommes sont les liliputiens.
Dans cette publicité l’objet fait preuve d’un veritable culte, puisqu’il domine l’homme Valeur sociale de la voiture capable de communiquer un statut social. La voiture facilite l’intégration dans la société, définit le statut social. 6 2 acilite l’intégration dans la société, définit le statut social. Valeur affective de la voiture La voiture est carressé, desiré. Le possesseur prends soins de la voiture comme il prends soin de La voiture est aimé au point de remplacer la femme.
Esthétisation Bel objet lisse et épuré Risques liés à la voiture: sacralisation Signification mystifiée: une exaltation, une « spiritualisation » de l’objet qui va au-delà de la voiture et la fait vendre, non seulement comme objet, mais comme sens. On note le jeu de mot déesse/DS L’homme prends grand soin de sa voiture,il la bichonne, la lave. Cette proximité pousse le conducteur a lui donner un statut particulier. La voiture est qualifiée de «surhumaine»de symbole de succée. Stephane devient esclave de cette voiture et ne vit plus que pour elle.
Le desir de stephane est assouvi par la voiture. Objet utilitaires exposés comme une œuvres d’art disproportionnée La voiture domine l’homme. Risques liées à la voiture: Dématérialisation de la voiture Perte de la fontion utlitai 2 spiritualisation de la DS est soulignée par le document 1 : elle devient ici à la fois plus spirituelle et plus objective. -Dans le document 2 la voiture prend valeur de signe. Elle est le marqueur du statut social de l’individu. Elle est associée à un signe extérieur de richesse comme les habits, l’habitation», l’homme s’identifie donc à sa voiture,.
Aussi est-il fréquent que la voiture s’exprime par notre bouche » -Dans le Document 3 La voiture n’a aucune fonction utilitaire c » » est une voiture de race, symbole de succès, de depassement de soi. Elle incarne le bonheur. – Dans le Document 4 cette « sublimation de la voiture » est évidente car la voiture incarne le géant Gulliver. 2 : Sacralisation -Le document 1 établit d’ « ’emblée ce caractère sacré de l » ‘objet oderne :l’automobile est aujourd’hui l’équivalent assez exact des grandes cathédrales gothiques.
On notera le jeu de mots DS / Déesse : La « Déesse » a tous les caractères d’un de ces objets descendus d’un autre univers. -Document 2 : Le lien intime entre la voiture et son possesseur «tant d’attentions envers cet objet, telle une seconde peau que l’on revêt. C’est ainsi que « ‘on peut comprendre le fait de laver sa voiture et de la bichonner comme une façon de prendre soin de soi et par extension de son image et de son rayonnement » -Dans le document 3 : L’objet désirable à donc tout remplacé, ême sa femme, et ce, dans tous ses rôles,l »objet est desirable est le centre d ‘attention de Stephane II ne lui manque que la parole. Dans le document 4 la photographie de la renault 5 a quelque chose en effet de cette totémisat B2 photographie de la renault5 a quelque chose en effet de cette totémisation de l’ objet offert à l’adoration du public. Synthèse : On peut s’aviser de considérer la voiture comme signe, c’est-à- dire comme mythe. Les quatre documents évoquent une totémisation de l’objet, où se manifestent imaginaire et spiritualité, voire névrose. Les quatre documents proposés abordent ce thème selon des modes de réflexion différents.
Dans le premier, c’est en sociologue que Roland Barthes tente de définir les rapports du public avec la voiture en général, puis avec un modèle particulier d’automobile. e document 2 tiré d’un article de blog est une analyse sociologique d’ Emmanuel Pagès qui aborde l’aspect identitaire et emotionnel de la voiture. Le document 3 est un extrait du roman « sucide au parc » de Dino Buzzati qui raconte la nevrose de stephane, addict à sa voiture. Enfin une publicité dans le document 4 une affiche publiciatire de a Renault 5 représente la voiture dominant l’homme.
Roland Barthès décrit une évolution très nette, amorcée dès la sortie de la DS. dans les années 50, qui s’est produite dans l’attitude du public à l’égard de l’automobile. Lorsque la D. S. est parue, l’automobile n’était pas à la portée de toutes les bourses ; seuls les privilégiés avaient accès à son usage ; mais elle était «consommée dans son image, sinon dans son usage, par un peuple entier». Quelle image le grand public se faisait-il de cet objet ? Roland Barthes la décrit avec un certain humour dans les deux premiers aragraphes de la page pro osée.
L’automobile était considérée comme un «obiet magiqu le publi la page proposée. L’automobile était considérée comme un «objet magique», surnaturel, le public étant ignorant des modalités de sa création. Elle incarnait une tradition merveilleuse («La nouvelle Citroën tombe manifestement du ciel»). Barthes transforme ironiquement le nom donné à la voiture, D. S. en «déesse» pour dénoncer la fascination du public à l’égard de la nouvelle voiture. Cette fascination tenait d’abord à l’esthétique de l’objet (la ligne de la O. S. ??tait particulièrement étudiée et originale), mais aussi ? ses pouvoirs («La voiture superlative tenait plutôt du bestiaire de la puissance »). La comparaison entre le tableau de bord de la D. S. et l’établi dune cuisine amène la mention de la «gourmandise de la conduite» : après la phase de vénération, après avoir «consommé l’automobile dans son image», le candidat automobiliste pouvait la «consommer dans son usage». la «déesse» se «prostituait» et le client l’appréciait sensuellement (noter la progression des adjectifs employés dans le dernier alinéa : touchés, palpés, ssayés, caressés, pelotés).
Dix ans ans après la sortie de la DS, la ligne d’une voiture est devenu son premier, sinon son principal attrait aux yeux de l’acheteur éventuel ainsi qu’en témoigne la publicité de la nouvelle Renault 5 , qui se presente sous une perspective flatteuse, occupant une bonne moitié de la page. Le texte accompagnant le cliché prouve que les publicitaires entretiennent cette «fascination. Le désir est crée, en invitant à visiter l’interieur de la voiture afin de s’abandonner à la «séduction» de la voiture. Au départ la voiture à une fonction utilitaire. En effet dans le docum 0 2