Chapitre 5 : L’investissement Sectionl : définition L’investissement ‘investissement est la création de bien de production, c’est l’engagement du capital dans le processus de production. Investissement de capacité et investissement de productivité A) l’investissement de capacité (ou d’extension) Il est destiné à l’accroissement de la production en ajoutant du capital supplémentaire à l’équipement déjà existant B) il est d’abord destiné a la réduction du coup de production et il est lié au phénomène de substitution du capitale au travail Cinvestissement de r l’investissement net A) investissement de _
Swipe laview nextp g le remplacement de l’investissement, ce s maintenir la valeur initiale du capital fixe issement, issement : le fixe est ents destinés ? B) l’investissement net : se sont des investissement qui permettent l’accroissement de la capacité de production de l’entreprise C) l’investissement brut : c’est la somme de l’investissement net et de l’investissement de remplacement. Cz A+B soit FBCF Investissement en capitale circulant et investissement en capital fixe A) Investissement en capital circulant : Cest l’utilisation de biens intermédiaires qui sont totalement incorporés au processus e production d’une seule période.
Pour certain auteur comme Ricardo le travail (les salaires) font partis du capital circulant. pour Smith la réponse est non valeur des biens qui disparait lors de chaque période est la consommation de capital fixe. ‘investissement productif et l’investissement improductif A) Les investissements productifs : ils sont directement liés ? l’activité de production des entreprises (privé) ces investissement ont une incidence certaine sur la production et l’emploi ce sont les entreprises privé qui réalisent les investissement productifs
B) Les investissement improductifs : ils correspondent ? la production de services non marchand effectués par les administrations publiques. L’investissement immatériel Il jouerait un rôle important dans l’économie et représenterait plus du tiers de l’investissement physique. II est composé des dépenses de recherche et développement, de la formation (réalisé par le secteur privé), les logiciels et le marketing Section 2 :l_’investissement et la demande prévu, la variation du revenue et le multiplicateur d’investissement RF Kahn en 1931 créateur du multiplicateur puis Keynes en 1936
Variation 1 0 variation PO variation R 1) Le multiplicateur statique : on fait croitre dune valeur de no donc le revenu R va croitre d’une valeur de vo R On veut faire apparaitre seulement OR Rechercher sur internet. 2) l’accélérateur Mentor Bouniatian a été le premier à énoncer le principe de l’accélération. En France c’est Affalions qui en 1909, a publié deux articles qui présentent l’accélérateur. Et en 1917 John Maurice Clark va en faire ion la plus connue.
L’effet 2 proportionnel, c’est à dire accélérer de la demande des biens d’investissement ; on l’appelle aussi principe d’amplification de a demande dérivée car la demande des biens d’investissement dérive de la demande des biens de consommation (on parle ici d’investissement induit, par la demande réelle) A. le modèle de l’accélérateur On suppose que les capacités de production sont totalement utilisées. On suppose qu’il y a du chômage.
Il en résulte que l’accroissement de la production est limité par les seules capacités de production donc l’accroissement de la production n’est possible que s’il y a accroissement des capacités de production. On constate une variation de la demande finale OD, dont DZ – Dl ce qui implique une variation de la production u même montant D p = P2 Pl = n D (P : production) Pour produire ces biens de consommation il faut du capital (K), donc il faut investir (I).
I = K2- Kl Pour connaître la valeur de l, il faut savoir quelle quantité de capital (K) est nécessaire pour produire (P) une unité de bien de consommation Le coefficient moyen de capital alpha= KIP donne une réponse Ex : pour produire une unité de P, il faut 5 unités de capital donc alpha= 5 alpha— 5/1 = 5 L’investissement net est égal à la variation du capital donc I = K2 — Kl L’accélérateur et les différentes formes de capital • nvestissement net ou capital nouveau l’amortissement ou capitale de remplacement Cinvestissement brut ou demande totale de capital est égal à : L’investissement net égal à alpha (P2 — Pl) L’investissement de remplacement par période, la demande de remplacement dr = (valeur totale de la D. R) / (nombre de périodes correspondantes à la durée de vie du capital Cdt)) alpha( 3 OF s de périodes correspondantes à la durée de vie du capital Cdt)) alpha(P2 – Pl) dr B. les critiques Les critiques adressées généralement à l’accélérateur sont les suivantes : on peut dans certains cas douter que l’accélérateur oit un phénomène macroéconomique.
On peut desserrer les contraintes de départ tout en constatant que l’accélérateur peut fonctionner ; ex : lorsqu’il y a progrès technique, les entreprises peuvent décider d’augmenter leurs investissements même si leur capacité de production sont en partie inutilisés et cela pour répondre à une demande de produit de meilleur qualité. Dans beaucoup de cas les investissements se font par blocs et donc lorsque la demande augmente faiblement les entreprises pourraient ne pas être incitées à augmenter leurs investissement mais d’autres hypothèses peuvent intervenir. L’oscillateur a été créé dans les années 40 par Paul Anthony Samuelson, il conjugue le multiplicateur et l’accélérateur et prétend expliquer la croissance.
Augmentation de l’I provoque, augmentation des revenus, puis de la consommation, puis de l’investissement. Section 3 : La décision d’investir est le calcul de la rentabilité des investissements (en avenir certain) L’entrepreneur doit se poser l’une des questions suivantes dans son activité de production : faut il utilisé les fonds dont je dispose pour accroitre mon stock de capital donc pour investir ? Est-il préférable de consacrer ces fonds à des placements tels que ‘achat d’obligation ou d’action ? Est-il opportun d’emprunter les fonds nécessaires pour réaliser le projet d’investissement souhaité ? 1) es hypothèses du raisonnement ?
Centrepreneur dispose de fonds qu’il peut utiliser soit pour réaliser son investissement soit IO et a 4 OF S réaliser son investissement soit IO et ainsi accroitre son stock de capital (+ de machine) soit pour acquérir un actif comme une obligation lui rapportant un intérêt (i sera le taux d’intérêt du marché). L’entrepreneur le coût de l’investissement V que l’on appelle D ainsi que le flux de recette net actualisé autrement it la valeur actuelle net de la série de bénéfices générés par l’investissement IO pendant n périodes. Pour faire les calculs de l’actualisation des bénéfices on utilise la formule suivante de l’actualisation : voir spiral On dispose de deux outils pour calculer la rentabilité des investissements : la Valeur Actuelle Nette et le Taux de Rentabilité Interne.
La VAN est la somme des bénéfices nets actualisés provoqués par un investissement VAN : Ex : V (cout de 100 31 = 80 et 82 = 70 Donc VAN = -100 + + 70/ = -100 + 72,83 30,58 Taux de rentabilité : 30,58 / 100 30,58 % Une VAN positive signifie que le projet est acceptable et c’est le projet d’investissement ayant la VAN la plus élevée qui sera préférable aux autres. Si les projets n’ont pas la même valeur ; pour comparer leur rentabilité il faut diviser la valeur de la VAN par la valeur de l’investissement. – Le TRI est le taux d’actualisation pour lequel la VAN est nulle, Donc V = somme des (bénéfices / ( 1+ taux d’actualisation)At Si le TRI est positif l’investissement est jugé rentable économiquement, mais en général l’entrepreneur n’investit que si le taux d’actualisation est supérieur au taux d’intérêt. S OF s