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MOTS-CLÉS : Management par la qualité totale (TQM), performance, innovation, innovativité, capacité à innover.

Démarche qualité La qualité totale est un ensemble de principes, de méthodes et d’outils organises en stratégie globale de progrès de l’entreprise La qualité totale vise à : la satisfaction du client, la rentabilité de l’entreprise par sa compétitivité, la satisfaction du per afin d’assurer la pére continue des ses pro direction et de tout or7 sua – une amélioration ation forte de la Entreprise Missions Conseils vous apporte tout son savoir-faire dans l’élaboration de otre politique qualité totale en vous accompagnant dans les différentes étapes par des actions d’audit, de conseil et de formation: Satisfaction du client Compétitivité Satisfaction du personnel Démarche processus les niveaux de l’entreprise. Ces actions ont un seul but : satisfaire la clientèle. Pour qu’une entreprise atteigne la qualité totale, elle a deux approches : Une approche systémique : l’entreprise et sa gestion sont considérées comme des systèmes, Une approche statistique : par l’analyse du fonctionnement et des résultats de l’entreprise.

La qualité totale est une approche globale qui a besoin de la participation de tous les employés pour obtenir de meilleurs résultats et donc une amélioration continue. Les méthodes de la qualité total Le TQM, Total Quality Management Le TQM, Total Quality Management, est l’ensemble des moyens mis en œuvre par une entreprise pour tendre vers la qualité totale. Parmi ces moyens, on retrouve : la réduction du gaspillage, l’excellente gestion des stocks, l’optimisation du temps de travail et des conditions de travail, l’amélioration constante des produits ou des services commercialisés. Le TPM, Total Productive Management Le TPM, Total productive Management, est une démarche d’amélioration des performances.

La mise en place d’un TPM, total productive management passe par : le constat d’aléas et de dysfonctionnements, la création d’opérations correctives, l’optimisation de l’organisation et la productivité de l’entreprise. Enjeux de la qualité totale et de la sous-traitance L’APPROCHE qualité est une préoccupation qui, de plus en plus, affecte le tissu industriel marocain. C’est l’axe moteur qui devrait constituer, dans les prochaines années, le pilier du développ PAG » rif 7 marocain. Cest l’axe moteur qui devrait constituer, dans les prochaines années, le pilier du développement de l’industrie nationale. C’est peut-être même l’unique solution pour éviter l’asphixie si l’on envisage le développement par rapport à l’export.

Après avoir ainsi situé les enjeux de la qualité, M. Ouriaghly, président de liAlEM et Directeur de la SCIE a précisé que cette approche qualité doit nécessairement être associée à un certain nombre de barrières qui seront principalement basées sur des problèmes de certification et de normalisation. Lorsqu’on parle aujourd’hui de démarche qualité d’une entreprise, il faut insister, selon M. Rachid Benmokhtar, usur le fait que cette démarche est une approche totale et non pas, comme c’est souvent le cas pour nombre d’entreprises, une approche partielle qui consiste à essayer de résoudre un certain nombre de problèmes de manière isolée».

Une approche globale conduit les responsables à se poser les questions relatives à la qualité en s’intéressant à leur système d’organisation, à leur système d’information, à leurs méthodes de gestion et bien sûr aux ressources humaines. La création de la richesse d’une entreprise passe d’abord par sa production et la gestion de celle-ci. « Or, cette gestion de la production, rappelle M. Benmokhtar, apparaît, depuis quelque temps, comme un élément essentiel de l’augmentation de la productivité des entreprises». Cependant, ajoute-il, ces approches sont extrêmement différentes et variées si l’on veut aborder les problèmes de PAGF3C,F7 approches sont extrêmement différentes et variées si l’on veut aborder les problèmes de gestion de la production liés à la qualité. M.

Vilon, Directeur industriel à GIAT-lndustries Euromobilité epuis trois mois et anciennement Directeur industriel d’Aérospatiale, et qui a mis et met en oeuvre les techniques de production dans le domaine de la réalisation de l’armement terrestre, prône les mêmes principes. M. Vilon précise «qu’à un certain moment, les industries françaises ont en eu marre de japoniser, d’américaniser, de germaniser. « Pour être performant, dit-il, il faut un matériel issu d’une technologie moderne, un personnel spécialisé et surtout investir dans le savoir des hommes qui vont utiliser ce matériel». Aérospatiale réserve un budget de de son C. A. à la formation, à la communication et à la technologie. Si un message doit être transmis, selon M. Vilon, c’est celui de la spécialisation.

Ce message est déduit de l’expérience qu’a vécue M. Vilon chez Aérospatiale. Ainsi la mécanique lourde est restée ? Nantes et la Tôlerie confiée à l’usine de Sant Nazaire. Le même schéma a été suivi par GIAT-lndustries Euromobilité pour l’unité spécialisée dans la mécanique générale. LJne entreprise de production vit avant tout de son savoir-faire. Mais il y a lieu d’encourager vivement l’accord de partenariat our la sous-traitance car note M. Vilon «on ne se sépare pas impunément d’une partie de ce qui sert à la production». Même si, pour les cas précités, les unités spécialisées sont devenues indépend production».

Même si, pour les cas précités, les unités spécialisées sont devenues indépendantes et s’auto-suffisent, il faut nécessairement une trame commune. Ansi les logiciels utilisés sont identiques car qui dit communication dit G. P. A. O commune. par conséquent le message de spécialisation est assorti d’un message de communication. Cette communication se fait en nterne mais aussi en externe. Ainsi Aérospatiale a 400 sous-traitants à qui des ordres sont adressés. M. Vilon à ce propos souligne qu’une entreprise doit avoir un nombre restreint d’interlocuteurs fiables pour pouvoir pérenniser les relations dans le temps. Il ne recommande pas le recours à une multitude d’interlocuteurs pour des opérations ponctuelles sans lendemain.

Le TQM et la qualité totale Définition de la qualité Depuis qu’elle est normalisée, la notion de qualité au sens de l’entreprise et du management moderne est présentée comme un parcours aux étapes bien identifiées. Dans cet esprit, une modélisation de type systémique balisent les 3 stades successifs matérialisant le chemin à parcourir depuis un niveau de qualité « acceptable » formalisé par exemple par les normes ISO 9000 jusqu’à la tant espérée « Qualité Totale », le TQM otal Quality Management. Le « chemin’ vers la qualité 1 er stade Les processus et procédures sont en ordre, qualifiés et à niveaux. Ils sont audités régulièrement. Les produits sont conformes au référentiel. L’objectif est la conformité mais le système est ouvert. 2ème stade L’entreprise évalue ses process