Mettre en français les questions qu’on doit se poser pour élaborer une stratégie marketing. -Comment les consommateurs ressente et analyse un produit. Comment vont-ils procéder à leurs choix entre 2 produits ? -Comment, jusqu’à quel point les consommateurs sont influençable ? Dans quel domaine peut-on les influencer le mieux (culture, famille, média… ) -Le comportement des consommateurs dépend-il des groupes auquel ils appartiennent, au moment de l’achat ? Comment les consommateurs se comportent dans les magasins p g et dans les siteweb -Combien d’informati ‘acheter -Comment les conso -Est-ce que le proces doivent savoir avant r le produit ? me pour les consommateurs en fonction de leur groupe, style de vie… -Comment la campagne de marketing peut influencer au mieux les consommateurs 2) The objective is to create laws against the pressures of advertising and the vicious spiral of over-consumption.
So it’s better when there are more informations to help the consummer in his choice. For example, in 1965, there is a law to oblige the seatbelts 3) The best argument for me is the Anti-consumerism, because sometimes consummers spend money for items they don’t need, nd it’s dangerous for familie who have not a lot of money. This is superficial… Brand need to ajust the Price, put more sont recueillies dans les Code de commerce et ses propres juridictions nationales ou internationales.
Ayant d’autres finalités que de faire un profit, beaucoup d’activités économiques ou professionnelles comme l’éducation, la police, la culture, la médecine, la justice, l’architecture, la religion, etc. ne relèvent pas du domaine du commerce, mais des lois et des tribunaux civils ou administratif. Avec ses puissants relais d’opinion, l’Organisation mondiale du commerce s’efforce d’étendre sa compétence t ses principes de profitabilité sur toutes les activités non commerciales en leur contestant le droit d’avoir des législations et des valeurs désintéressées.
Il résulte du mouvement de spécialisation croissante qui affecte les sociétés humaines : division technique du travail à l’échelon des postes de travail ; division sociologique du travail à l’échelon des individus ou groupes d’individus ; division internationale du travail à l’échelon des territoires et/ou des pays. Le développement de ces spécialisations explique pourquoi — — les échanges et transactions se sont accrus : entre n retour individus, entre organisations, ou entre individus et organisations (associations ou entreprises) sur un même ou entre territoires/ pays.
Le commerce est le prolongement naturel de l’activité de production de biens et services qui peuvent ainsi trouver un débouché dans la commercialisation en direction des marchés et clients potentiellement intéressés. Par extension, le terme — un commerce — est utilisé en français pour désigner le lieu d’exercice ou l’organisation dans lesquels les participants de cette activité rati uent leur métier. 2 commerce 2 Commerce et droit 3 Commerce et économie . 1 Commerce, vente et management 3. Commerce international et commerce national 4 Le commerce comme lieu de distribution 5 Le commerce équitable 6 Notes et références 7 Voir aussi 7. 1 Articles connexes Histoire du commerce Drachme antique grecque ; L’invention des monnaies dans l’Antiquité a accompagné les achats de biens, de terre et d’esclaves, tout en favorisant la spéculation financière Viande, poissons et crustacés, sur un même étal (ici vers 1700), vu par le peintre Felice Boselll Article détaillé : Histoire du commerce.
Primitivement, le commerce renvoie à une réalité où les apports humains et les échanges économiques se déroulent essentiellement dans un cadre de voisinage géographique. Ultérieurement, le commerce désigne l’activité qui fait circuler les marchandises, à plus ou moins longue distance ( voir le commerce au long cours) et les propose à la vente sur les marchés ou les foires.
Il implique des transactions passées d’individu à individu, agissant pour compte propre ou représentant un tiers ou une entreprise, ainsi que toutes opérations utiles à la concrétisation de l’échange, comme l’appréciation de la valeur d’échange, ou le transfert matériel du bien ou service échangé. Le commerce est l’une des anciennes et Importantes inventions de l’humanité. Il a probablement accompagné l’apparition et les premiers développements de l’a riculture au Néolithique.
Certains le considèrent co des civilisations de 3 L’agriculture primitive aurait été une activité de subsistance, avec dans un premier temps des cultures d’auto-subsistances. puis, sous la pression démographique, les agriculteurs et éleveurs remplacent les chasseurs-cueilleurs. Cutilisation accrue de semences et animaux reproducteurs sélectionnés pour des caractéristiques recherchées, l’usage de la force animale, de ifférents amendements et engrais autorisent des rendements meilleurs et une production accrue sur de mêmes sols.
Le corps des marchands réunis. Description avers : sept personnages portant à bout de bras le globe terrestre. Description revers : une ruche posée sur un trépied entourée d’essaim d’abeilles. Le commerce est ainsi facilité (par le fait que les récoltes dépassent le seuil de subsistance). Le surplus produit et stocké va favoriser : les échanges qui fournissent l’occasion de troquer avec d’autres le surplus de produit non nécessaire. a spécialisation des tâches, dans la mesure où il n’est lus nécessaire que l’ensemble de la société se consacre l’agriculture. Ainsi une partie de la population est en mesure de se spécialiser dans d’autres domaines, tels que la la poterie ou la métallurgie (du fer, du bronze, de l’argent, du plomb qui permettront aussi l’apparition de la monnaie-métal… ). La révolution industrielle, les progrès des transports et de la chaine du froid et des conserves ainsi que la mondialisation des échanges permettent un commerce international plus étendu et rapide.
Enfin, plus récemment, une tendance (qui fait l’objet de vives polémiques notamment de la part des ONG et des pays auvres3,4) apparait aux États-Unis à la fin du XXe siècle visant à intégrer les services publics voire les services écosystémiques dans une approche comm ragée pa 4 les services écosystémiques dans une approche commerciale, encouragée par un « Accord général sur le commerce des services Avec le brevetage d’espèces vivantes (variétés agricoles et d’élevage) et la spéculation sur les propriétés pharmaceutiques (ou pour la chimie verte de plantes et d’autres espèces, éventuellement transgéniques, certains parlent de marchandisation du vivant, y compris du génome humain5 Commerce et droit Du point de vue juridique, le commerce est tout acte qualifié de commercial par la loi. Ainsi, est commerçant en droit commercial (code commercial) toute personne qui fait profession des actes qualifiés de commerciaux par la loi ; ces actes dépendent de chaque nation. En France, pour qu’il y ait acte de commerce au sens juridique, il faut qu’au moins l’une des parties, appelé « commerçant » exerce habituellement l’activité d’achat et de revente. En conséquence, quand un particulier vend d’occasion sa voiture à un autre, cela est du ressort du droit civil et non du droit commercial. Commerce et économie
Le commerce a pour moteur la satisfaction des multiples besoins de l’homme. Les connaissances, la force physique et le temps dont dispose celui-ci ne lui permettent pas de produire seul tout ce dont il a besoin pour vivre. La solution consiste pour lui organiser et diviser le travail : soit d’une part de produire ce qu’il peut et d’autre part d’échanger ce qu’il produit contre ce dont il a besoin et qu’il ne produit pas lui-même. L’échange de marchandises implique naturellement leur transport : voie maritime, voie terrestre, voie aérienne. Chacun de ces modes présente des avantages et des limites sur le plan du élai, du coût et du risque.
Stockaee en amont de l’ex S stribution en aval Stockage en amont de l’expédition et distribution en aval complètent les opérations de transport dans le cadre de l’ensemble des opérations de logistique. L’assurance, quant à elle, offre des solutions financières de protection de la marchandise pendant ces opérations d’acheminement où les risques de détérioration accidentelle, de perte ou de vol existent. Commerce, vente et management Les méthodes, organisations et performances commerciales sont améliorables: le marketing apporte ses méthodes pour l’analyse de la cible t les orientations générales situant et cadrant l’effort de commercialisation (marketing-mix, Diffusion numérique, Diffusion valeur… la réflexion sur la politique de distribution s’attache aux décisions prises en matière de canaux de distribution et de relation avec les intermédiaires professionnels intervenant dans la distribution du produit le merchandising fournit les orientations pour optimiser le rendement des points de vente (depuis l’implantation générale du magasin jusqu’à la mise en scène de chaque linéaire) Enfin la qualité du commerce ne peut faire l’impasse sur les ompétences à la vente ou au négoce des commerciaux. Commerce international et commerce national À l’échelle de la nation : Le solde commercial est la représentation du commerce au niveau national. Ce commerce est négocié entre nations par l’organisation mondiale du commerce. Un Commerce équitable peut être envisagé. l’échelle de l’organisation : Le commerce international est s écifique en matière de droit (propriété intellectuelle… ) S nt. En France, Les distribution Exemple d’urbanisme commercial et de « quartier commercial » : « Commercial District » de Liverpool Centre commercial Article détaillé : Commerce de détail. Vente à distance Commerce électronique (en ligne) Vente privée Le commerce équitable Logo (ici suédois) du commerce équitable (Fair-trade) e commerce équitable (Fair-trade) qui se développe depuis la fin du XXe siècle, Introduit une dimension éthique, solidaire et responsable au commerce, et un lien nouveau entre l’acheteur et le producteur, qui dans cette approche doit être correctement payé pour son travail.