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PK FO BOU G Bouger est une des clés pour prendre soin de sa santé, améliorer sa condition physique et rester en forme. Bouger plus, c’est mettre toutes les chances de son côté pour améliorer sa qualité de vie. Bouger aide à rester en forme Bouger, c’est aussi booster son moral pour mieux supporter le stress et certaines contrariétés. Il semblerait que l’activité physique ait un effet Bouger améliore aus a q org dépensé, on s’endort us Sni* to View souvent la nuit et on Bouger entretient le t la dépression. après s’être réveille moins e sommeil. Pratiquer une activité physique reguli re permet : ‘améliorer le fonctionnement du cœur et des poumons. Même après une courte marche, on sent son cœur battre, on respire mieux, on se sent plus détendu… ; d’entretenir la force musculaire, la souplesse, l’équilibre, la coordination et le tonus , d’augmenter son capital osseux, participant ainsi à la croissance des enfants et au bon vieillissement des adultes , d’augmenter la résistance à l’effort pour lutter plus efficacement contre la fatigue.

Bouger préserve la santé La pratique quotidienne d’une activité physique permet de diminuer le risque de développer certaines maladies (maladies ardio-vasculaires, hypertension artérielle, cancers, diabète de type 2, ostéoporose… ). L’activité physique est aussi u un moyen d’utiliser l’énergie consommée via les aliments ingérés : elle limite ainsi la prise de poids. Le fait de bouger notre corps en provoquant une dépense énergétique significative est une activité physique.

Mais bouger les doigts sur un clavier d’ordinateur ou de manettes ne provoque pas de dépenses énergétiques et ne peut pas être considérer comme une activité physique… ! Certains gestes quotidiens sont un début d’activités physiques onter les escaliers, marcher plus de 30 minutes, passer l’aspirateur, jardiner, etc. L’activité physique n’est pas seulement liée à la pratique d’un sport. pour tirer les bienfaits d’une activité physique, il faut – qu’elle soit régulière (au moins 3 fois par semaine pendant 1/2 heure au minimum, à une intensité au moins égale à de sa capacité maximale (z il faut faire un peu d’efforts ! qu’elle dure au moins 30 minutes d’affilées par jour si c’est de la marche. que son intensité et sa durée soient augmentées en fonction des progrès et de l’activité choisie. Pourquoi bouger ? C’est essentiel pour prendre soin de sa santé et garder la forme. C’est aussi un très bon moyen d’évacuer le stress et le trop plein d’énergie. Se dépenser chaque jour permet également de garder un poids stable en utilisant l’énergie apportée par les aliments : les apports et les dépenses s’équilibrent.

Quand on mange trop, on apporte un excès d’énergie à son corps : il faudra alors beaucoup se dépenser pour utiliser toute cette énergie, sinon e d’énergie à son corps : il faudra alors beaucoup se dépenser pour utiliser toute cette énergie, sinon elle est stockée par le corps sous forme de graisses. ? Bouger h, au même titre que « bien manger », est un facteur important pour protéger sa santé et sa qualité de vie. Tous les experts le confirment, l’activité physique est un élément déterminant en matière de santé, mais aussi pour la qualité de vie et le bien-être psychologique.

Or, notre mode de vie actuel fait que nous sommes de plus en plus sédentaires et avons moins Fopportunité d’être actif physiquement. Bouger, cela signifie lutter contre la sédentarité, mais pas forcément en faisant du sport de haut nlveau ! Il s’aglt simplement d’intégrer une activité physique dans notre vie quotidienne. ransit intestinal. Les organismes de santé publique recommandent de consommer au moins 5 fruits ou légumes par Jour. Pourquoi mangeons-nous ? 1. Manger pour se nourrir 2. Manger pour partager 3.

Manger pour se faire plaisir L’alimentation est un comportement vital. Se nourrir est en effet indispensable à la vie : nous n’avons pas le choix ! Sinon, nous mourrons. C’est à ce point vrai que les animaux et l’homme n’ont pas attendu l’arrivée des diététiciens et des nutritionnistes pour « savoir manger A dire vrai, le nouveau-né de beaucoup d’animaux sait repérer la tétine et en tirer le lait, sans jamais ‘avoir appris. Mieux, ils savent, dès les premières heures, s’arrêter de boire lorsqu’ils sont rassasiés.

Pour ce faire, ils se servent de signaux internes très nombreux et très complexes, qui sont situés au niveau du cerveau mais aussl au niveau du reste du corps, en particulier le foie, les muscles et le tissu adipeux. Pour autant, il ne faut pas oublier que notre comportement alimentaire est un ensemble encore plus complexe qui ne répond pas seulement à des besoins métaboliques (c’est à dire à des besoins de calories, de nutriments énergétiques, de vitamines… ). Pour autant qu’on le sache, manger a trois fonctions : 1. se nourrir, 2. partager 3. se faire plaisir.

En fait, s’il est évident que manger répond à un besoin vital programmé bien avant la naissance et opérationnel dès les premières heures sur terre, en revanche la manière dont nous le faisons et opérationnel dès les premières heures sur terre, en revanche la manière dont nous le faisons et le comportement alimentaire que nous avons sont, eux, appris en presque totalité. Comme nous le verrons, il faut entendre le mot « apprentissage » ici non comme une volonté de savoir plus, mais comme des odifications induites à notre manière de manger en fonction des circonstances et de l’environnement.

Et ces modifications sont souvent inconscientes. Dès la naissance, l’enfant est capable de boire une quantité de lait bien définie avant de s’arrêter. Cette quantité répond précisément à ses besoins. Si l’on espace les biberons, il boit plus. plus tard, dès l’âge de 1 an 14, l’enfant va manger plus, en réponse à une croissance qui s’accélère. Si l’on dilue de moitié la consistance de la bouillie, il en mangera deux fois plus. Si l’heure du repas arrive, son horloge interne le sait. Si enfin on présente ? un enfant de 3 ans différents aliments, il va manger à peu près ce dont il a besoin d’un point de vue calorique.

L’explication est simple : le corps a besoin pour fonctionner et renouveler ses cellules de divers nutriments, les uns énergétiques (caloriques), les autres utilltaires (minéraux. vltamines, oligo- éléments). Ces nutriments, il ne sait pas les fabriquer : il ne peut donc les extraire que du dehors. Il doit donc prendre au dehors ce dont il a besoin dedans. L’acte de manger répond à cette réalité. La « machine à manger » est donc une L’acte de manger répond à cette réalité. La « machine à manger » est donc une machine à survivre. Il faut donc qu’elle soit programmée.

Donc tous les animaux sont programmés pour savoir manger : chercher et prendre des choses allmentaires (? la naissance, le sein), les mettre à la bouche, déglutir et digérer. De même, face à un nouvel environnement alimentaire, l’homme sait manger en fonction de ses besoins et selon les ressources ? disposition. Ainsi, si quelqu’un sait qu’il y aura du dessert et que ce dernier sera riche en calories, il anticipe sur les phases précédentes du epas. Si quelqu’un a trop mangé sur 2 ou 3 repas, il réduira la quantité mangée ensuite, jusqu’à équivalence… et sans connaître la diététique.

L’homme est un animal qui vit en groupe. Il a donc élaboré, comme tous les animaux qui vivent ensemble, des stratégies pour « souder » le groupe. Dans un troupeau d’herbivores, les animaux ne mangent pas n’importe où ni avec n’importe qui. Dans certaines espèces, notamment les grands carnivores et les primates, il existe une hiérarchie pour commencer à manger : les animaux dominants mangent les premiers, puis les animaux de ème rang et ainsi de suite. Le groupe, intuitivement, définit la hiérarchie : si les animaux dominants commencent… c’est pour rester dominants. Et si les dominés mangent en dernier… u pas… c’est pour rester dominés. Sans le savoir (on ne reconnaît pas d’intelligence à ces animaux), ils savent ceci ! Peut-être qu’une Sans le savoir (on ne reconnaît pas d’intelligence à ces animaux), ils savent ceci ! Peut-être qu’une partie de la pensée inconsciente qui sommeille en chaque malade anorexique revient à ceci : ne pas manger pour rester dominé ! Ou bien ne pas manger pour ne as prendre sa place, de peur de ne pas pouvoir l’assumer ! Une chose est certaine, c’est que la nature a prévu que diverses fonctions vitales seraient pilotées, favorisées en tout cas, par une sensation de plaisir.

II en est ainsi de la fonction de reproduction, mais aussi des fonctions d’excrétion (uriner, déféquer). Une satisfaction y est attachée. De même, l’alimentation, vitale, repose sur un principe de plaisir. Ce n’est pas un hasard : dans un environnement où il étalt plutôt difficile de chercher et de trouver à manger, de tuer éventuellement pour ce faire (chez les arnassiers et autres omnivores), il était très utile d’associer un acte aussi vital que manger à la notion de plaisir.

Au demeurant, si l’on veut bien regarder cette hypothèse, il est intéressant de noter que ce qui est jugé bon est souvent calorique : ce que nous aimons le plus, souvent, est aussi ce qui est le plus énergétique : le sucré, énergie immédiatement disponible, et le gras (énergie facilement stockable). En d’autres termes, pour vouloir « se battre » pour manger, il faut aimer ça ! Manger devient alors un acte complexe, tripartite, entre nourrir, faire société et tirer du plaisir. J’ai bien exprès oubl