AXE PSYCHOLOGIE – PSYCHANALYSE Questions or 10 Barème Sni* to View 1) Montrez en quoi « à vivre en société. prépare un individu 2) Développer : « qu’est ce qui fonce les règles de notre conduite aujourd’hui ? » 15 3) A part de l’énoncé « parler pour guérir développer ce que « parler » veut dire 4) Quelle place la parole dans le travail dans le travail social peut-elle tenir ? De quelle parole s’agit-il ? Comment prendre en compte la question de la culture d’origine ? (relation à trois qui fait référence à l’œdipe).
Puis le second point, être effectivement seul, c’est-à-dire être eul intérieurement et non être seul physiquement. D’après Winnicott, « Cette étape est la base à partir de laquelle s’élabore la solitude h. Ensuite l’enfant passe par l’état de Paradoxe, il s’agit ici d’être seul en présence de quelqu’un. Prenons l’exemple de la mère/nourrisson, le nourrisson doit vivre cet état de solitude en présence de sa mère et même si sa mère n’est pas présente physiquement, l’enfant pourra vivre cette expérience en représentant la présence de sa mere en intériorisant le « support du moi » de sa mère.
Après ce point vient le bon objet intériorisé, ‘enfant qui à eu de très bons soins maternels développera chez lui une confiance dans le présent et l’avenir, il atteindra une la maturité nécessaire. Etre seul à un stade d’immaturité, étant à un stade dit primitif donc le nourrisson ne pourras être réellement seul que s’il vit cette expérience en présence d’un individu. Après ça le nourrisson sera réellement un point essentiel de ce phénomène, je suis seul ce terme sera divisé en trois parties « JE » en effet, le sujet aura complètements intégrer son état d’individu. ? JE SUIS » prouvera que le sujet aura acquit une forme e vie, cependant le « JE SUIS » représente un état de vulnérabilité qui montrera au nourrisson qu’il dispose d’un environnement (la mère) sécurisant de protection. ‘enfant perçois sa mère ce qui le rassurera et lui permettra de passer au stade du « JE SUIS Ensuite, il y a la relation au Moi, c’est seulement lorsque l’enfant 10 passer au stade du « JE SUIS Ensuite, il y a la relation au Moi, c’est seulement lorsque l’enfant est seul qu’il pourra découvrir sa vie personnelle, il sera alors capable de parvenir à un état de non intégration sans aucune orientation.
Cet état va le préparer ? ivre une expérience instinctuelle, qui donnera lieu d’expérience personnelle et sans la présence dun individu renfant ne pourra aboutir à cette expérience. Dans cette relation, l’acmé représente le point le plus intense de la relation au Moi, si la mère n’est pas suffisamment bonne, le nourrisson va trouver d’autres solutions afin de ressentir une sécurité interne. L’expérience instinctuelle suppose que l’enfant ait intégré les limites du corps de rautre et de son propre corps.
En effet, l’enfant devra valider tout les points précédents afin d’atteindre la maturité nécessaire pour être capable de vivre ‘expérience à être seul. En somme « la capacité à être seul » est un signe de maturité affective, c’est un phénomène primordial dans la constitution de la maturité chez le nourrisson. Une fois cette maturité atteinte, l’individu aura un bon développement personnel et sera capable de vivre en société.
Cette procédure psychologique doit se développer correctement, c’est-à-dire que si le nourrisson viendrait à ne pas réaliser tout les points de cette expérience, cela pourrait lui être négatif, il pourrait être insociable et donc ne pourra pas vivre en société. Pour conclure, nous devons retenir principalement que le bon déroulement du phénomène de « la capacité à être seul » est primordial pour la vie sociale future primordial pour la VIe sociale future de l’enfant et dans son développement personnel.
La capacité à être seul prépare l’indivldu à vivre en société puisqu’elle représente les bases fondamentales de la vie en collectivité chez le nourrisson. Il. Qu’est ce qui fonde les règles de notre bonne conduite aujourd’hui ? Aujourd’hui les réseaux sociaux on prit une place importante dans la vie des citoyens, ces réseaux sociaux sont régis par des normes xigeantes : montrer qu’on a une vie sociale attractive, avoir un certains nombres d’amis…
Nous constatons que le progrès culturel à mené l’instance paternelle à disparaitre, pour autant nous verrons si nous avons moins de code, de prescriptions à suivre ? Et pour finir pourquoi l’exigence de cette société à mené l’individu à adopter un comportement dit « Normal » ? a) Disparition de l’instance paternelle grâce aux progrès culturel » : Le « progrès culturel » signifie pour Charles MELMAN, une forme de progrès social dans des pays développés ou industrialisés.
Cette forme de progrès social pousse Plndividu à se détacher de cette instance paternelle. Nous pouvons prendre comme exemple de progrès dans ces pays : le progrès de la science, aujourd’hui nous avons la possibilité de choisir notre période de fécondation et très bientôt nous aurons aussi le choix du sexe de notre futur enfant. Tout ces progrès on supprimés l’instance paternelle qui était organisatrice de notre conduite, sans l’avoir voulu. L’instance paternelle est innée en nous mais en grandissant l’enfant va décou 0 voulu. ‘enfant va découvrir que cette force autoritaire qui est censé uider notre conduite tout au long de notre vie va s’effacer pour laisser place aux nouvelles normes de conduites. b) une société et des individus exigeants, donnent plus de normes à suivre : La société actuelle et ces individus régissent de nouvelles normes de conduites. Une norme se définit comme une sorte de règle ? suivre. En effet, il suffit simplement d’allumer sa télévision pou découvrir une nouvelle norme qui est les médias, nous sommes effectivement confronté en permanence par ces informations qui nous dicte la « bonne conduite » à adopter.
La société est exigeante puisqu’elle fabrique les pensées des ndividus par le biais des médias et montrent aussi aux personnes quel comportement adopter face à certaine situation. Les individus sont face à une société où il y a beaucoup d’image. Nous pouvons prendre l’exemple de la mode pour certaines femmes, il sera primordial de peser un certain poids parce qu’elles ont comme exemple la photo d’un mannequin, d’une actrice ou d’une personne connu et la prennent pour modèle et c’est ainsi qu’elles créent une nouvelle norme à suivre. ) Pourquoi l’exigence de cette société à mené l’individu ? adopter un comportement dit « Normal » ? Nous avons abordé précédemment la norme qui se définit comme une règle à suivre et une fois que l’individu suit cette règle, nous pouvons dire qu’il est dans la « Normativité » c’est- à-dire, qu’il rentre dans le cadre de la norme. Ainsi la personne s’assimile à un groupe d’apparte PAGF s 0 c’est-à-dire, qu’il rentre dans le cadre de la norme. Ainsi la personne s’assimile à un groupe d’appartenance en essayant de reproduire ce que fait ce groupe pour être aperçu comme « normal » et se faire accepter.
En somme, nous pouvons dire que « les règles de notre bonne onduite aujourd’hui » on changés et ont laissés place aux normes de conduite pour supprimer l’instance paternelle. Dans les pays industrialisés comme la France, les règles de conduite sont définit par des normes ou la morale qu’on peut trouver à l’école durant notre scolarité Contrairement au pays en voie de développement comme l’Inde, la culture et la tradition vont régir les règles de bonne conduite. arfols dans la tradition le respect de fautorlté paternelle a son importance et ainsi l’instance paternelle ne disparait pas. Ill) « Parler pour guérir » développement de ce que « parler » veut ire La parole est le langage articulé symbolique humain destiné ? communiquer la pensee, est à distinguer des communications orales diverses, comme les cris, les alertes les gémissements… La parole est le langage incarnée de l’homme elle est singulière et opere un acte de langage qui s’adresse à un interlocuteur ou à un support par l’écrit par exemple.
La parole permet d’exprimer des besoins, pensés, sentiments, souffrances, aspirations… La parole peut aussi constituer une observation plus ou moins subjective des faits, ou encore être la formulation d’une demande. On ourra prendre comme exemple la voix ou la pulsion invoquante, le bébé cris pour exprimer ces besoins (faim, froid, inconfort… ). La dimension de la 6 0 invoquante, le bébé cris pour exprimer ces besoins (faim, froid, inconfort… ). La dimension de la parole est très importante.
Dans le traitement des maladies mentales, la parole est d’emblée un outil privilégié, les psychanalystes par exemple utillsent principalement cet outil. En l’occurrence Freud utilisait la parole comme outil avec ces patientes (la cure de la parole) en effet, c’est avec la parole qu’il découvre que les symptômes des emmes « hystériques » disparaissent. Il conversé avec elles tout en leur posant une série de questions, elles y répondaient et il découvrit leur mal être.
En somme c’est à travers la parole que ces femmes « hystériques » ont réussit à s’exprimer, ? communiquer et on pu « guéri r » de leurs souffrances. Dans cette exemple « parler » à constitué le développement de leur pensés et d’exprimer ce qui n’allait pas. La parole ne s’arrête pas au langage proprement dit, on peut également distinguer la parole de l’esprit c’est-à-dire : parler avec le regard, la gestuelle ou le silence.
Dans un premier temps le regard : un indicateur de qualité de la relation précoce avec le nourrisson, par exemple WINNICOTT affirme que quand le bébé regarde sa mère c’est en faite lui- même qu’il regarde (il se mire) et c’est grâce a cette relation qu’il va pouvoir se développer et se construire une identité. Aussi, FREUD s’aperçoit que le regard à son importance dans la parole, il va donc « baisser » le regard car il pense que celui-ci major les symptômes des patients. Il inverse les rôles c’est le patient qui dirige la conversation et le professionnel qui écoute. Dans 7 0