DISSERTATION FABLES

DISSERTATION La fable est un genre littéraire très ancien. Elle contient des formes narratives plutôt brèves, et délivre un enseignement. Elle a pour but de distraire le lecteur tout en l’instruisant. Tout d’abord, dans chaque fable il y a une expérience transmise par l’apologue, l’enseignement est le plus souvent dans la morale. Ce que dénonce l’auteur fait apprendre en effet on peut ressentir les injustices ou simplement la pensée de ce dernier.

Les morales peuvent être logiques, correctes et peuvent être cependant peu Swipe Lo nexL page orale par exemple la Fontaine nous insi « le loup et l’agneau justifier le fait qu’il va des arguments logiq PACE 1 Snipe to next la lionne » Jean de e cas de la fable ents et cherche ? au au contraire a 2 Premier vers on connait déjà la fin de l’histoire.

En second lieu, le registre satirique permet à La Fontaine d’enseigner sur la cour mais également de la dénoncer et de se moquer en exagérant et en utilisant des termes dévalorisants par exemple dans « les obsèques de la lionne » il fait la caricature des courtisans qui sont selon lui hypocrites (ils e contentent d’avoir les mêmes émotions, sentiments que le lion) : ce sont des « caméléons », des « singes » et de « simples ressorts Il utilise des hyperboles et métaphores pour exagérer « Miracle !

Apothéose ! » . Il met en scène des animaux et fait une animalisation des hommes pour mieux comprendre ce qu’il se passe dans la réalité. Puis, le registre didactique est presque toujours présent dans les fables, il vise à enseigner, à transmettre un savoir, soit théorique, soit pratique. II se caractérise par des explications, es éclaircissements et des conseils.

Dans « le pouvoir des fables il y a une mise en abyme, La Fontaine raconte l’histoire de Démosthène afin de convaincre M. de Barillon de trouver un moyen de convaincre le roi. Et ce dernier arrête son discours et raconte l’histoire de Cérès, de l’anguille et de l’hirondelle, pour interpeller ses auditeurs, ce qui amuse l’assemblée. Enfin, les fables veulent « instruire et plaire » ; le moraliste peut alors délivrer, sans être pesant, une leçon de vie par sa morale ou par son récit.