Criminologie

Criminologie premium Criminologie La criminologie te n’est du droit. une certaine conception de la crlmlnologle no a plutôt s’orienter vers l’étude des comportements déviant, fait de ne pas se comporter en société normalement…. Ha irstore. r Premium Produits et matériel de coiffure pour particullers Numéro I en Europe Mobilier – Sèches Cheveux – Accessoires – Colorations – Lisseurs Tondeuses – Beauté et Spa – Coiffants – Soins – Shampooings Sophie CATALA – L 3 CV I – Droit de l’information et de la communication PLAN Du COURS – INTRODUCTION; Genèse du droit de l’information et de la ommunication – CHAPITRE I : LE DROIT A L’INFORMATION COMMUNICATION l] La Déontologie de l’information Communication Pluralisme et honnêtet„.

Nicolas canteloup NICOLAS CANTEl_aup LE CONNAITRE ET OECHIFFRER SON HUMOUR Introduction Nous allons naus Intéresser un nouvel as de la carlcature, le vous présente Nicolas Canteloup et ses imitations saisissantes de personnes Eco financiere Économie Financière : Mardi 3 février On appréhende la monnaie par ses fonctions ; – dest d’abord un instrument de mesure – un instrument d’échange de réserve Mouton en latin pecus On repère ensuite la Dissertation Free Faits et Statistique Fmplacement L’Furnpe du sud-ouest, bardant la Baie de Biscay, Mer Méditerranée. le Nard L’Océan atlantique. t Montagnes de Pyrénées, le sud-ouest de France Capitale Madrid Cllmat modéré ; les étés cl. Projet de code de la famille du mali qui sont contraires à la loi. Actuellement, par exemple l’internement psychiatrique est soumis à une audience devant le juge de la liberté et de la détention. Autre aspect critique, l’homme politique demande SI la criminologie permet un traitement efficace de la délinquance. L’intérêt de la criminologie, du point de vue intellectuel, c’est ‘avoir un regard sur la réalité des choses pour apprécier le fonctionnement du système juridique.

Ily a une appréciation de nature criminologique de ce qui a fait que la personne poursuivie a commis une infraction. Aspect historique. On parle de l’ancienne personnalité qui est Beccaria qui, vers 1760, fait un traité des délits et des peines et qui critique le système pénal de ce qu’on pourrait appeler l’ancien régime en général, au nom de considérations criminologique. pour lui la personne a un choix entre le fait de commettre ou non l’infraction, choix qui est fait en fonction des avantages et des nconvénients qu’elle peut en retirer.

D’ou une politique pénale qui consiste à créer des sanctions dissuasives, pour Beccaria la réalité de la crainte du châtiment ce n’est pas la rigueur de la peine c’est sa certitude. La science née en France et en Belgique au début du 19ème siècle. Rationalité dans la définition des personnes à étudier, les délinquants. Premier aspect, on a un code pénal, deuxième aspect on a un budget donc le fonctionnement de ministère de la justice est contrôlé donc on fait des statistiques pénales, à partir de là on a de la matière pour une étude scientifique. Voir Quételet (1).

Ensuite on va commencer à travailler sur les aspects médicaux avec Lombroso en 1 Quételet (1 Ensuite on va commencer à travailler sur les aspects médicaux avec Lombroso en 1 876 (2), qui se fonde sur la phrénologie, c’est-à-dire l’étude des crânes. Ensuite, on va avoir l’aspect sociologique, avec Ferri (3) en 1881. Tout ça aboutit en 1885 avec l’invention du mot « criminologie » de Garofalo (4), même si le terme est né de Topinard Ensuite étude de l’objet : (6). Faits que le droit pénal ne veut pas traiter (7). Criminologie autour de deux idées, science du délinquant et science du délit (8).

Il faut citer De Greef, qui est un médecin, qui est un peu le père de la criminologie clinique. Est ce que l’acte qui a définit le délit est légitime, et cette question doit être posée. Il faut citer les théoriciens de l’anti-criminologie (9) ça permet d’analyser des comportements d’une société particulière, propre au délinquant, qui s’oppose à la société en général, vision d’une société qui peut varier dune société à l’autre. On peut aussi se pencher sur l’origine de l’acte criminel, causalité à rechercher chez le délinquant en lui même et du passage à l’acte (10).

Le ontrôle social issu de la déviance. Donc des études sur est ce que le droit pénal est nécessaire voir utile ? (11). Il a des termes pour examiner cette question de la disparition du doit pénal, comme la décriminalisation, c’est-à-dire faire disparaître des infractions, effet rétroactif de la loi pénale. Ensuite, dépénalisation, c’est faut il recourir au droit pénal pour combattre tel type de phénomène déviant, parce que le droit pénal est une machine lourde, exemple des chèques sans provision (12).

On a cherché plusieurs méthodes, la pre machine lourde, exemple des chèques sans provision (12). On a cherché plusieurs méthodes, la première a été de contraventionnaliser, puis en 1975 on est arriver au système de dépénaliser l’émission de chèque sans provlsion en mettant en place la sanction de l’interdiction d’émettre des chèques mis en œuvre par des établissements bancaires, et la découverte que le chèque est virtuellement un titre exécutoire.

L’analyse de la personnalité criminelle, du passage à l’acte, a un intérêt en ce qui concerne le traitement de l’acte et de la personne. La criminologie doit pouvoir servir à modifier la personnalité pour que l’acte ‘ait pas lieu, mais aussi la criminologie doit pouvoir servir dans le cadre de la criminalistique, c’est-à-dire la découverte du délinquant. Quelques problèmes internes à la crimnologie (13). Débat avec expression académique très fort, même au Dalloz, parce que sous le quinquennat précédant, et sans nul doute ? la suite du conseil d’Alain Bauer.

Criminologie comme discipline en elle même et pas comme un aspect d’autre chose, et ce qui caractérise une discipline scientifique c’est quelle caractérise une fonction du CNIJ, allait on créer une 76 section de criminologie ? Le Conseil National des universités est un organe collégial d’universitaires, soit élus soit nommés, qui a une grande mission qui est de qualifié les personnes susceptibles d’être recrutés par la suite et de suivre les perspectives de carrière. Ce qui suppose une appréciation des qualités scientifiques de la personne, ce qui inclue une catégorie de sciences criminelles.

Est ce que la criminologie relève d’une science pure et dur ou d’une de sciences criminelles. Est ce que la criminologie relève d’une science pure et dur ou d’une science appliquée ? Elle relève des ciences de l’homme qui se définissent par des critères d’analyse, avec une démarche scientifique. Mals il y a un autre aspect de la définition de ce qui est scientifique ou pas à la suite des travaux de Karl Popper, pour qui la psychanalyse n’est pas scientifique Il faut faire en sorte que la criminologie soit susceptible de réfutation.

Cest pour ça que certains aspects peuvent paraître anormaux mais qui ont leur importance. La criminologie n’est donc pas fixe. Mais il y a deux grands pôles d’études (14). Chapitre introductif : Les méthodes de la criminologie 1 : Les méthodes globales d’analyse Section SI : Les statistiques Cest un indice de mesure de criminalité. On a les statistiques judiciaires, pénitentiaire, et policière. Ces statistiques ne donnent qu’un aspect du phénomène de la délinquance, puisque tout le monde n’est pas concerné par ces chiffres.

Technique du classement sans suite de l’administration. L’idéal serait un traitement en temps réel à 1 00%, ce qui est impossible pour les juridictions, donc méthodes alternatives à la justice pénale. C’est comme ça que, suivant l’importance de la délinquance, on aura un taux de réponse judiciaire plus ou moins important et un taux e méthode alternative plus ou moins important. Pour les statistiques policières, tout n’est pas non plus dénoncé et la police ne fait pas nécessairement de procès verbal.

Le premier document est la main courante. On a classiquement une expression pour la dlscordance entre la délinquance réelle et celle courante. On a classiquement une expression pour la discordance entre la délinquance réelle et celle statistiquement constatée, on parle du chiffre noir. Ceci a amené, notamment sous l’impulsion de Mr Bauer, à rechercher d’autres méthodes statistiques avec l’idée de question pour savoir si une personne a été ou non ictime, donc le ressenti chez les citoyens de la condition de victime.

Effectivement, il y a un organisme qui essaye de donner des statistiques établies de cette façon là. Il y a maintenant un fichier spécialisé, le STIC, et un observatoire national de la délinquance. Mais tout n’est pas si simple, et en réalité on se trouve dans le problème classique, mais qui est aussi un phénomène de la physique nucléaire, à savoir que l’observation n’est pas neutre dans la description du phénomène. fait d’observer et de donner des chiffre peut modifier la criminalité en elle même: les incendies de voitures au 31 écembres: sous la présidence précédente on avait donné des stat dans un premier temps et après on en donne pas parce qu’alimente une sorte de compétition entre différent quartier donc diffuser ce chiffre c’est une façon d’alimenter cette compétition et donc d’augmenter le nombre de voiture volée. Cette année M. Vals a donné les chiffres. Autre exemple: les radars pédagogique: on voit a combien on roule et on augmente la vitesse et donc on augmente la délinquance.

Donc on voit bien que dans certain cas le fait de diffuser des statistiques trop précises peut avoir des effets néfastes, ceci étant il faut faire des tat pour pouvoir après mener une politique. L’autre aspect des stat surtout des stat policiere 5 rif 114 L’autre aspect des stat surtout des stat policière c’est qu’en réalité on peut se débrouiller pour qu’elles donnent un résultat politiquement favorable ou pas c’est à dire qu’il y a des comportements des autorités policières et de gendarmerie qui feront que les infractions sont enregistré ou pas et donc la stat et faussée.

Si on est dans une politique ou on privilégie l’apaisement dans le quartier cela amènera a ne pas faire trop entré de chose dans les stars, au contraire si on est dans un système ou tout est asé sur la stat et ou il faut pour justifier le maintien de tel service dans tel endroit il y a suffisamment d’infraction constaté on va se mettre a multiplier les constatations. Donc a partir du moment où on juge un service sur le nombre de PV qu’il dresse on va avoir des choix de poursuite différent et en ce sens les statistiques sont bien loin de la vérité réelle.

Dans Le Monde du 21 décembre on a « délinquance: derrière l’augmentation des chiffres les pratiques des gendarmes ». En réalité, d’après l’article, on a créé l’observatoire de la délinquance t de la réponse pénale et selon cette organisme le nouveau logiciel informatique de la gendarmerie « pulsar » serait très largement responsable de l’explosion des crlmes et délits dénoncé le 18 décembre par le Figaro.

L’observatoire relève que l’augmentation de la délinquance ne concerne que les zones gendarmerie et que depuis juin: 24,3% de plus que pendant la même période alors qu’en zone police c’est moins. Cest pour cela que le ministre a dit qu’il allait mettre fin au stat et au tentation de les arranger. Le Mo de les arranger. Le Monde ne manque pas de rappelé qu’en eptembre 2011 le patron des gendarmes avait demandé que ses troupes lève le pied sur les plaintes afin de viser « un bilan favorable de l’évolution de la délinquance en 2011 ».

Donc, a partir du moment où la stat devient non seulement une constatation mais un enjeu, politique au sens général, pour les acteurs de la police et de la gendarmerie, cela aboutit à des transformations de l’enregistrement et a une certaine incertitude sur ses statistiques qui ne sont pas une vérité scientifique totale.

Malgré tout ces statistiques elles sont quand même utile, même si elle présente des défauts, et elles font apparaitre des ?volutions qul sont quelque fois forte inquiétante, on a pour les statistiques judiciaire un appareil judiciaire classique qui ne peut absorber qu’une partie de la délinquance donc on aura toujours une relative stabilité du nombre de jugement de ribunaux correctionnelles ce qui veut dire que l’écart entre la criminalité réel et la criminalité constaté judiciairement il augmente chaque fois que la criminalité réel augmente pas suite de cette circonstance.

On a ensuite voulu faire d’avantage coïncider le traitement judiciaire des infractions de leur constatation, c’est à dire ugmenter le taux de réponse pénale, on ne pouvait pas le faire si on en était resté au règle de procédure pénale classique devant le tribunal correctionnelle de même qu’on ne pouvait pas le faire avec les procès d’assise, une cour d’assise sachant qu’un procès c’est 3 jour: ne peut rendre que 100 décisions par a d’assise, une cour d’assise sachant qu’un procès c’est 3 jour: ne peut rendre que 100 décisions par an et par exemple dans le Nord 2 Cours d’Assises, donc limité.

Donc là on a eu très vite la pratique de la correctionnalisation judiciaire, façon de trouver une réponse pénale et sans bloquer complètement le onctionnement. Liautre aspect pour décharger les tribunaux correctionnels, ce sont toutes les alternatives: médiation pénale, composition pénale. On a tout eu une monté en gamme de cela jusqu’à la CRPC qui est censé aller plus vite que le système classique. Donc on a développé des systèmes qui permettent d’aligner la pénale a la constatation des infractions.

Maintenant, il faut avoir une vision globale de ce qui se passe, quelque fois l’indicateur statistiques fait peur, on a pas attendu l’observatoire nationale de la délinquance et de la violence pénale pour faire des tatistiques fines sur les violences urbaine, un premier système a été créé en 1990 qui fait apparaitre ceci: en 1992; l’évolution des violences urbaines faisait apparaitre 3000 incidents sur l’année sur 106 points chauds, en 1999 on avait 29 000 incidents sur 118 points chaud, donc on fait un nouvel indicateur: c’est l’INVU: 110 206 incidents sur 900 points chauds.

On a tous les ans l’exercice de l’année de l’appréciation de l’évolution globale de la délinquance: Le Monde 19 janvier: zone police infraction sexuelle: stable en 2007: 16 049 fait, en 2012: 15 557, donc égère iminution mais pas significative, augmentation de presque pour violence physique non crapuleuse. En zone gendarmerie évolution partout mais à l’inverse on a des évolutions cl non crapuleuse.

En zone gendarmerie évolution partout mais à l’inverse on a des évolutions classiques: on a supprimer la politique du chiffre donc les infractions à la législation des étrangers a dlminuer de chez les policiers et de 7% chez les gendarmes. Deux phénomènes: la délinquance en zone gendarmerie commence à se rapprocher de la délinquance en zone policière: notamment les cambriolages, l’écart se réduit considérablement. Donc évolution certaine de la délinquance: a quoi est elle due?

La zone gendarmerie classiquement, c’est une zone théoriquement considéré comme rurale et en fait, premièrement la campagne n’est plus ce qu’elle était: elle est de plus en plus dépendante de l’habitat urbain et il y a un déplacement des véhicules automobile qui permettent au délinquant de se déplacer donc rapprochement. Deuxième idée: on s’aperçoit aussi que sur l’évolution, phénomène nouveaux, il y a plus d’augmentation sur les cambriolages que sur les violences physiques, donc augmentation en générale mais plus sur les cambriolages sans iolences physiques, que se soit en zone police ou gendarmerie.

Enjeux de la stat qui peuvent modifier, autre problème: classifications des infractions dans la stat: vole avec violence: vol et violence les deux à la fois quel est l’importance de l’un par rapport a l’autre avec cet idée que quelque fois on considérera pas de la même façon, il y a aussi, des phénomène notamment sur les infractions sexuelles qui font qu’à certains moment certain types de comportement quoique pénalement répréhensible ne soit pas jugé suffisamment rave pour faire l’objet d’une dénonciation. Donc parfois pas d’au PAGF ID OF lu