Vingt-Quatre heures de la vie d’une femme Stefan Zweig Vers 1904, dans une pension à la Riviera (une dépendance d’un luxueux hôtel), séjournent un couple d’Allemands (faire des photos), un couple d’Italiens (sorties à Monte Carlo), un Danois (pêche), une dame Anglaise (lecture) et le narrateur (paresser). Normalement, dans leur monde bourgeois, on parle paisiblement sans profondeur. Mais ce soir la discussion éclate presque en dispute et en bagarre due au fait que la veille, il ya eu un scandale à l’hôtel : Un jeune homme français a pris une chambre avec vue sur la mer (chère).
Elégant, discret, beau, sociable. Il jouait tennis avec les filles du gros promenait le soir ave dominos. Il part à la avec le gros Lyonnais soir, le narrateur le tr m or 15 to View me Henriette. Il se son mari jouait aux I discute politique me Henriette. Le çais s’excuse de devoir partir, mais il annonce qu’il revient dans deux jours. La nuit, le narrateur est alerté par des cris. Le gros industriel Lyonnais pense que sa femme a eu un accident car elle n’est pas revenue de sa promenade de nuit. Tout le monde se met à sa recherche mais soudain, le mari dit de tout arrêter.
Il a trouvé une lettre de Mme Henriette qui annonce que sa femme l’a quitté. Il rentre dans le salon et s’effondre en pleurs. Tout le monde regagne leur Swipe to View next page chambre. C’est parce que femme de ménage a lu la lettre, jetée parterre, que Mme Henriette était partie avec le jeune Français. Ils s’étonnent du fait que deux heures de promenade et une heure de café puissent avoir suffi pour qu’une femme mariée de 33 ans, irréprochable à abandonner son mari et ses enfants pour on total étranger. d’où la discussion furieuse.
Vu que pour tout le monde c’était impossible, ils étaient tous d’avis qu’ils devaient se connaitre déjà depuis plus longtemps et ue leur séjour à l’hôtel était juste pour conclure. Le narrateur dit que après de longues années de mariage, déceptions et ennuie, une femme peut tout à fait être prête à devenir la proie de toute homme qui fait attention à elle. Cette opposition rend la discussion vivante. Les deux couples refusent bien sur cette possibilité d’un « coup de foudre » et que cela ne puisse jamais arriver à leurs femmes ‘dignes de ce nom’.
Le narrateur devient agressif et dit qu’une femme peut parfois suivre son instinct, plus fort que sa volonté ou son intelligence. Il estime même plus honnête de suivre librement cet instinct au lieu de romper son mari en cachette. Plus que tout le monde attaquait Mme Henriette, plus que le narrateur la défendait. Le Danois demandait de nous calmer mais le ton remonte et juste avant de finir par des coups, Mrs C, la dame anglaise de 67 ans, prend la parole. Elle regarde le narrateur et lui demande de confirmer qu’une femme peut sans l’avoir voulu se précipiter dans une aventure.
Le narrateur conf 15 de confirmer qu’une femme peut sans l’avoir voulu se précipiter dans une aventure. Le narrateur confirme. (Elle lui demande pourquoi il y a alors des tribunaux, si la passion est une excuse pour chaque crlme Le narrateur répond que les ribunaux doivent juger et condamner pour protéger la société, mais lui en tant que simple particulier, il préfère comprendre les gens au lieu de juger. ) Le narrateur ajoute qu’il pense qu’elle a simplement eu un coup de foudre et qu’elle sera certainement malheureuse à cause du fait d’être partie comme ça. Mais que sa conduite n’a rien eu de vil ni de bas.
Le calme est revenu grâce à l’intervention de Mrs C. et la vie à l’hôtel reprend. pendant que tout le monde devient un peu plus distant, Mrs C si discrète auparavant, se rapproche du narrateur. Ils parlent chaque fois de Mme Henriette. Quand le narrateur annonce qu’il part le surlendemain, elle lui écrit une lettre dans laquelle elle demande de lui accorder une heure pour parler d’un ancien épisode de sa vie qui l’occupe toujours. II accepte sa demande et lui dit de raconter cet épisode avec une entière vérité, à lui comme à elle Le soir il va dans sa chambre et écoute .
Elle dit que cette histoire lui est difficile à raconter. Bizarre qu’elle décide de le dire à un inconnu. Mais depuis cet événement, pas un seul jour est passée sans qu’elle y pense. Et pourtant, cet événement n’a duré que vingt-quatre heures. Depuis tout ce emps elle s’accuse elle-même de ces 24 heures de « folie ». Elle pense qu’elle p Depuis tout ce temps elle s’accuse elle-même de ces 24 heures de « folie Elle pense qu’elle pourrait donner cela une place si elle pouvait en parler librement avec quelqu’un (religion anglicane C] pas de confesslon comme les catholiques donc elle a toujours gardé ça pour elle).
Elle prend le narrateur comme confident et elle se « confesse » : A dix-huit ans elle rencontre un homme avec qui elle se mari aussitôt. Ils ont deux fils et la belle vie. Quand elle a quarante ans, son mari meurt. Ses fils sont déjà grands et elle ne peut pas ester dans la maison familiale. Elle songe au suicide et elle décide de voyager pour chasser Pennuie. Elle va à Paris, puis à Monte Carlo. Pour retourner dans les anciennes habitudes de son mari, elle vislte le Caslno. [Elle s’amuse à regarder les gens d’une « façon spéciale » (les mains).
Les personnes qui jouent des jeux de hasard ont appris à maitriser l’expression de leur visage mais ils oublient leurs mains. Les mains font des mouvements imposés par Pinstinct primitif. Regarder des mains est plus passionnant que le théâtre ou la musique Les mains vous démasquent. (Sauf les croupiers ui fonctionnent objectivement comme si elles portaient un uniforme). ) Ce soir-là, elle voit des mains comme elle n’en a jamals vu. une beauté rare, longues, minces avec une expression passionnée. Elle était comme hypnotisée par ces mains.
Quand l’homme perd, ses mains ressemblent à deux animaux frappés par une balle. Puis une entre elles se relève péniblement et crache un je 5 ressemblent à deux animaux frappes par une balle. Puis une entre elles se relève péniblement et crache un jeton. Puis en attendant frémissantes comme des dents qui claquent dans le frlsson de la fièvre. Ces mains avaient une expression extraordinaire. Elle a ensuite regardé son visage qui avait la même expression et la même beauté que les mains. C’était un jeune homme de vingt-quatre ans environ.
Son visage, plein de passion, si bestiale. Comme hypnotisée, elle ne pouvait regarder que cet homme et ses gestes et son visage qui changent selon le fait qu’il gagne ou qu’il perd. Puis les mains bondissent et retombent sur la table. Elles cherchent dans les poches mais L’homme se lève brusquement. Elle comprend que restent vides. l’homme a perdu tout son argent et qu’il part se suicider. Et là, contre sa volonté, c’était plus fort qu’elle, elle part vers la sortie pour suivre l’homme. Mme C insiste qu’elle n’a pas suivi l’homme par amour .. on, c’était son instinct pour le sauver. ) L’homme se laisse tomber sur un banc, l’aspect d’un fusillé. Son corps exprimait le désespoir. Elle ne savait plus quoi faire secourir mais retenue par sa timidité Quand elle veut abandonner son plan, il se met à pleuvoir. L’homme reste assis, immobile sous la pluie. Elle le prend par les bras et lui dit de venir avec elle s’abriter sous le kiosk pour le protéger. Elle ne savait plus quoi faire donc elle se dit qu’il faut qu’elle le ramène chez lui puis elle peut rentrer chez elle. Elle demande « où habite PAGF s 5