Les racines du ciel

Cet extrait est un passage du roman de Romain Gary, Les Racines du ciel, écrit après la Seconde guerre mondiale, le 5 octobre 1956. Suit à l’édition de ce roman, Romain Gary a reçut le prix Goncourt. Le passage etudié est le huitieme chapitre de ce roman, c’est le moment où le héros se bat contre l’extermination des élephants. Par la suite, nous allons nous demander en quoi la lutte du héros est elle percue de façon défavorable par le narrateur. Pour cela, nous étudierons dans un premier temps la lutte du héros, puis dans un deuxième temps nous verrons le egard que porte le narrateur sur la lutte du héros.

Le passage étudié est basé sur la lutte contre l’extermination des éléphants, du hé Tout d’abord, le héro parce qu’il ne trouve s éléphants pour en fai cette exterminations, t -Tit ‘Vipe View next page tion des éléphants, e trente mille Pour lutter contre s  » et sa serviette bourrée de toute pétitions, de tous les manifestes que vous pouvez Imaglner.  » Il  » fait des pieds et des mains  » pour que cette extermination cesse. Ensuite, le but précis de cette lutte est de tout d’abord mettre au courant le monde, de prouver aux personnes que ce qu’ils se asse est grave.  » Cest que les gens ne sont pas au courant. ‘ Le héros ShAipe to Wew next page se révolte aussi pour informer les personnes car à plusieurs on est plus fort, il se démnène seul alors que les autres sont égoistes et il lutte aussi pour ça.  » de faire faire ses devoirs de l’humanité. ‘ Sur le côté politique  » Ce sont là des choses qui font tomber un gouvernement. le héros pense sûrement que SI tout le monde se révolte peu être que cela fera réagir plus de monde. Enfin le sens métaphorique de cette lutte pour le héros et de rotéger la nature, de proteger la vie donc il fait ça pour l’honneur de l’humanité.

Puis quand la vérité est découverte cela n’est plus une  » opinion publique  » mais une opinion personnel car quand l’on sait ce qui se passe on réagit, et on se forges notre propre opinion contrairement quand l’ont ignore ce qu’il se passe on ne peut rien faire et donc on à l’opinion des autres.  » il faut que le peuple le sache. Cette lutte que le héros pense être un bon choix et pense réussir n’est pas l’avis de tous les personnages. Nous allons maintenant etudier comment le narrateur voit le éros et sa lutte.

Tout d’abord, le narrateur voit le héros tel qu’une personne avec une belle assurance avec une  » bonne mine  » comme une personne franche et  » sans une trace de cynisme mais ce moment là le héros n’avait rien dit, mais quand le narrateur rencontre pour de vrai le héros il fut déçut.  » et j’avais été déçu  » car il s’attendait à rencontrer  » un homme d 2 de vrai le héros il fut déçut.  » et j’avais été déçu  » car il s’attendait à rencontrer  » un homme digne de sa légende Il s’attendait quelqu’un de bien physiquement et finalement c’était le contraire.

Cela montre que pour être un héros il ne faut pas être une belle personne physiquement. Ensuite, le narrateur est admiratif envers le héros.  » je restais là, muet, à l’admirer  » Il est amiratif car le héros à une volonté énorme de lutter contre l’extermination des éléphants. Il a aussi de très bon arguments pour réussir à convaincre les personnes qui l’entoure.  » c’était un malade dangereusement contagieux. ‘ Cependant, le narrateur porte un regard négatif envers le héros, tout d’abord lors de leur première rencontre où le narrateur fut éçu  » décu pas sa simplicité. Mais aussi il trouve que le héros et naif, car il veut se battre contre quelque chose où peu de personne s’investisse. Et comme c’est un héros personne n’ose lui dire la vérité.  » je n’osais rien lui dire.  » pour conclure, la lutte du héros est percue de façon défavorable par le narrateur, car la société dans laquelle vit le héros ne se préoccupe pas de l’extermination des éléphants parce qu’ils ont dautre problèmes. Ce passage est similaure à La Peste, d’Albert Camus où le Docteur Rieux lui aussi lutte, mais contre la peste.