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Les caractéristiques psycho-sociales Le profil de la population exclue : Les hommes de 18 à 40 ans (75%) ; Le nombre de femmes seules avec des enfants augmentent (famille monoparentale) ; Les jeunes de 18/25 ans progressent ; Les chômeurs ; Les migrants. Les difficultés pour le changements de pub Le manque de place ; PACE 1 org to View ts liées à ces La cohabitation entre ces ditt rents publics demande une certaine adaptation plutôt difficile. Les différentes formes d’exclusion Lié au logement ; Lié à remplol Lié à la famille ; Lié à la santé.

La loi d’orientation du 29 juillet 1998 relative à la lutte contre l’exclusion . – L’accès à l’emploi : > Tout jeune ou adulte, chômeur de longue durée ou rencontrant des difficultés d’insertion professionnelle aura droit à un appui personnalisé en vue de créer avec lui les conditions de son accès seront développées, en priorité dans les zones défavorisées. – L’exercice de la citoyenneté Les personnes sans domicile fixe peuvent s’inscrire sur les listes électorales. Elles votent dans la commune où elles sont établies depuis au moins six mois.

La prévention et le traitement du surendettement ‘assurance pour chacun d’une aide minimale – L’accès au logement La politique de la ville : L’objectif est de lutter contre toutes les formes d’exclusion sociales et urbaines qui se développent dans les quartiers défavorisés où peuvent se concentrer tous les facteurs de l’exclusion. Le but est de réinsérer les populations défavorisées et les quartiers marginalisés. L’Etat est ainsi amené à mettre en place des actions en faveur de ces quartiers.

Exemple : Le principe de la discrimination positive (proposer es contrats aidés pour les jeunes de 18 à 25 ans en milieu défavorisés). Les problèmes Le taux de chômage est élevé ; Les difficultés pour se faire soigner (manque de ressources) ; Le niveau de qualification est faible ; Les transports sont mal desservis ; Les échecs scolaires sont nombreux Les habitats sont petits et pouvoirs publics que des lois ont été promulguées assurant la protection des locataires contre l’expulsion pendant l’hiver.

On parle de la trêve hivernale. Il a encouragé les pouvoirs publics à la contribution de logements sociaux. La loi BESSON du 31 mai 1990 créée un devoir de solidarité. Elle met en place le plan départemental pour les logements des personnes défavorisées. Elle créée le fond de solidarité logement (FSL). La loi DALO du 05 mars 2007 met en place le droit au logement opposable. Elle a pour but d’augmenter le nombre de logements sociaux ; Les communes de plus de 50 000 habitants doivent proposer au moins 20% de logements sociaux.

L’Etat est responsable de la mise en œuvre du droit au logement et de l’accueil en hébergement. « Toute personne qui a effectué une demande de logement et qui ‘a pas reçu de proposition adaptée à sa demande peut saisir une commission de médiation dans son département, puis exercer, dans certains cas, un recours devant le tribunal administratif au titre du droit au logement opposable. » LA PAUVRETE Les principaux indicateurs pour mesurer la pauvreté sont : Indicateur de pauvreté monétaire : Le seuil de pauvreté est fixé ? du niveau de vie médian en France et à en Europe.

Indicateur de pauvreté due aux conditions de vie : Les contraintes budgétaires (retard de paiement pour le loyer), restriction de onsommation. Indicateur de pauvreté mesuré ar les minimas sociaux : RSA/ de pouvoir d’achat. On a une approche de la pauvreté qui va se retrouver à travers un terme flou « le niveau de vie C’est un revenu net après déduction d’impôt. On considère que l’écart de perception du seuil de pauvreté en France est important (entre 500 et 1200€). En réalité il est à 817€ par mois pour une personne adulte seule.

La pauvreté de consommation = Toute consommation (revenu = consommation + épargne). La consommation alimentaire a un pourcentage élevé et la onsommation de loisir a un pourcentage faible. Les dépenses de santé peuvent-elles trahir la pauvreté ? Oui, il y a la présence de la CMI_J et de la CMI_J C. La pauvreté de patrimoine = Le patrimoine est l’ensemble des biens et des droits qu’une personne est susceptible de posséder (physique, financier et immatériel). En termes de patrimoine on peut refuser l’héritage à cause des dettes. En effet le surendettement des ménages est une forme de pauvreté.

Les différents facteurs de pauvreté : Le chômage On note une nouvelle situation de pauvreté dans la précarité de ’emploi, une nouvelle tranche de personne sont les travailleurs pauvres (CDD, stage… ). Le chômage et la précarité de masse sont les facteurs fondamentaux de la pauvreté dans les pays ? économie de marché. L’inflation Elle agit sur l’épargne. Les personnes avec des revenus fixes sont les plus touchées : retraités, salariés. On remarque un décalage entre la hausse des prix et celle des revenus. intergénérationnels Selon les enquêtes de l’INSEE la pauvreté s’hérite. Ex : Le patrimoine immobilier.

On sait que les parents propriétaires d’un ogement donne d’avantage la possibilité à leurs enfants d’y être ? leur tour et inversement pour les difficultés financières. Bourdieu parle d’héritage, de capital culturel, économique et social qui définit le concept d’habitus. Les traditions On parle de la reproduction sociale, il existe une fréquence de la transmission intergénérationnelle de tradition (maintien de structure traditionnelle). Absence de mobilité = facteur de mobilité. Absence de mobilité professionnelle. Absence de mobilité sociale. Ces facteurs peuvent s’avérer constitutif de pauvreté.

La conséquence de la pauvreté : D’après l’INSEE on peut dire que de la popu ation est dans le besoin (en zone rouge). On pointe le clivage riche/pauvre. Ce clivage a des incidences dans tous les domaines de la vie sociale, ils s’inscrivent en inégalités comme : Inégalités devant la mort : Cespérance de vie qui varie selon le degré de pauvreté. Elle est différente selon les milieux sociaux (10 ans d’écart entre les riches et les pauvres). Inégalités en terme de soins : Les ménages les plus pauvres ont des dépenses de santé le plus moindre. Exemple : Création de la CMLJ et de la CMD C