De père inconnu, il est abandonné par sa mère quelques mois après sa naissance et connaît une enfance difficile. Jean Genet devient un enfant de to Wen « ext l’assistance publique. fre une éducation c L’écrivain en devenir Ses premiers émois ans, il est accusé de Swipe not p g u Morvan qui lui enfance heureuse. êmement réservé. ette époque. A IO érer un immense bouleversement dans la vie du jeune garçon. Il revendique alors une existence antisociale et commence ses innombrables fugues. A 13 ans, Jean Genet est placé d’office hors de sa famille d’accueil À force de fugues, il se retrouve en colonie pénitent pénitentiaire. A 18 ans, il s’engage dans la Légion étrangère.
Il écouvre alors l’Afrique, continent qui ne cessera de le hanter. Il déserte l’armée en 1938 pour rentrer à Paris où il vit d’errance et de menus larcins. Il passe de fréquents séjours en prison. Autodidacte, Jean Genet écrit son premier poème à la prison de Fresnes, « Le Condamné à mort », imprimé à ses frais. Il écrit la même année son premier roman, « Notre Dame des fleurs ». Jean Genet est libéré de prison grâce à l’intervention de Cocteau.
Ses premiers romans comme « Querelle de Brest » ou « Journal du oleur » sont censurés pour pornographie et distribués sous le manteau. Encensé par Cocteau et Sartre, Genet fréquente les milieux artistiques parisiens et devient dramaturge. Sa pièce la plus célèbre reste « Les Bonnes ». Jean Genet passe ensuite la fin de sa vie à combattre les minorités. Grand défenseur de la cause palestinienne, il combat en faveur de l’homosexualité et des anticolonialistes.