Le pouvoir de la musique

Cette liaison de la musique dans sa réflexion sur ouvoir éditée en phénomène musical dans la revue Esprit e S. wp next page ppée par A Darré s et [les] enjeux de ects contrastés du de B. Sève publié Tous ces documents conduisent à se poser un certain nombre de questions : par-delà la place importante qu’elle tient dans nos sociétés, peut-on réellement parler d’un pouvoir de la musique ? Celui-ci est-il bénéfique ou maléfique ? La musique unit-elle ou sépare-t-elle ? Est-elle libératrice ou aliénante ? our répondre à ces interr Swige to next page interrogations, il s’agira tout d’abord de situer la réflexion dans l’histoire. uis seront mises en évidence les ambiguïtés de la musique, liées à ses influences complexes. Il sera alors possible de déterminer si elle est susceptible de s’affranchir des différents pouvoirs ou capable seulement de les servir. La musique est depuis qu’elle diffusé à grande échelle un élément essentiel de la vie quotidienne. Elle exerce une « puissance » sur l’être humain, une drogue.

On la retrouve quotidiennement dans les lieux qui nous entourent. « Elle est devenu incessante d’après l’essaie de P. QUIGNARD, saisissant quiconque passe dans son entourage. Elle envahit nos habitudes et même jusqu’ os corps. Cette attitude à se faufiler partout a créé différentes utilisation de cette musique. La mélodie apparaît de façon permanente à la foule, chaque réunion, rassemblement fait par d’émotion, souvent traduit dans un ensemble par cette musique. Cependant elle n’est pas toujours utilisée joyeusement, dans la gaité d’un rassemblement.

Comme le raconte P. QUIGNARD, la musique était utilisée comme une arme durant la Seconde guerre Mondiale. En plus d’être une arme factice, elle était une torture, la musique ne permettait aucunement un espoir pour ces prisonniers de guerre. Malgr 2 orture, la musique ne permettait aucunement un espoir pour ces prisonniers de guerre. Malgré des utilisations destructrices la musique reste un instrument populaire. La musique à un pouvoir complexe, elle unit, désunit, fascine, créé de la tyrannie. Pour le meilleur et pour le pire, la musique rassemble nombre de personne.

Comme il est présenter par Alain DARRE, la musique, bien qu’utilisée pour la destruction durant la guerre, elle était également un moyen de résistance et de soutient moral. La capacité de la musique de s’incruster dans les endroits les plus insolites lui permet de prendre le contrôle sur les corps. Elle transit de son but à son sujet. Elle traverse le corps humain pour l’entortiller, le faire bouger. Quelles réflexions avons-nous lorsque notre corps se déroule sous les mélodies onctueuses de la musique ?

Une parade sexuelle, un démarche sociétaire, la musique laisse à nos besoin les plus primaires. Cette musique suscite pourtant des résistances, un engagement, la révolution. La ségrégation est un exemple fournis par Alain DARRE. II parle de son rôle libérateur, de celui qui permet de lutter, de résistance. par la musique aborde son pouvoir pas son aspect « matériel pour ce qu’il est, un art. La musique à des pouvoir bien dissociatif c 3 matériel pour ce qu’il est, un art. La musique à des pouvoir bien dissociatif cependant quel est son but ?

La musique influence l’individu, elle le transcende, le transforme. La transformation, la mélodie entraine vers l’évolution. Elle offre un spectacle grandiose, les plus grandes périodes de notre histoire se son passé dans la musique, une mise en scène, triste comme avec la seconde guerre mondiale, ou heureuse. Enfin la musique est une source d’inspiration, elle a toujours été présente. Il sera toujours difficile de cerné les différents pouvoir u’elle exerce sur nous et de savoir dans quel contexte elle est utilisée.

Pour compléter la réflexion, on pourrait se demander s’il n’existe pas une dimension privée, personnelle, individuelle de la musique. Il serait également intéressant de se poser des questions sur la place et le rôle de l’enseignement musical dans le système scolaire : culture ou conditionnement, éducation ou dressage ? On peut de même s’interroger sur la représentation de la musique et des musiciens dans l’art, la littérature, au cinéma. On peut aussi élargir la perspective en évoquant le rôle de la musique dans les sociétés non occidentales.