Dans cet extrait il s’interroge sur l’influence réelle ou supposé d’Internet sur le plan politique. Le deuxième est un article du d’un autre sociologue, Fabien Granjon, intitulé Le Web fait-il les révolutions ? . A travers cet article, l’auteur va synthétiser les recherches faites sur Internet et sur son rôle lors des mouvements de contestation politique récents. Le dernier document est la chanson Revolutiin. com du groupe No One. Ce groupe souligne, à travers cette chanson, le problème de l’engagement politique dans un univers virtuel.
Nous pouvons donc nous demander quelles sont comment ‘engagement virtuel s’exprime dans une ère de numérique. Ils révèlent tous les caractéristiques d’internet, un endroit ou l’information circuler librement mais aussi le fait qu’internet est le nouveau royaume de l’engagement politique et qu’il est utile pour la diffusion des pensées collectives. une des principales caractéristiques d’internet est que la circulation des informations et des données et que Péchange sont complètement libres.
Les informations y circulent en continue et sans interruptions. On retrouve cette idée dans les deux premiers documents. Dans le premier extrait de Pierre Mecklé, on y retrouve l’idée de circulation libre des informations. Aujourd’hui les informations circulent librement sur internet, chacun peut s’exprimer et donner son avis alors qu’il y a quelques années seules les personnes « expertes » avaient le monopole de la circulation des informations. Aujourd’hui ce n’est plus le cas, tout le monde peut faire circuler des informations.
Dans le deuxième document, l’article de Fabien Granjon, l’auteur dit que l’Etat et le medias de masse interdisent « l’auto-organisation politique de la société » t refusent la circulation « d’opinions critiques autonomes ». Pour l’Etat et les médias de masse, l’univers virtuel privé est indissociable de l’univers virtuel public. D’autre part, grâce aux documents de Pierre Mercklé et Fabien Granjon nous voyons qu’il y a un risque de diffusion des échanges effectués sur Internet, dans l’extrait de Sociologie des réseaux sociaux, l’auteur dit que des risques de diffusion d’un message privé existent.
En effet, nous diffusons des données privées sur un support public (le réseau social). Nous passons 2 ffet, nous diffusons des données privées sur un support public (le réseau social). Nous passons donc d’une conversation privée à une conversation publique. Ils existent aussi des risques lorsque les internautes expriment leur avis sur Internet, il y aura obligatoirement des débats entre internautes qui peuvent mener à des points de vue divergents et donc des injures.
Cependant nous avons déjà vu le cas contraire (Cass Sunstein il y a 10 ans). Dans l’extrait de Fabien Granjon, nous voyons que la diffusion des idées sur les réseaux sociaux se fait très rapidement. Cependant il xiste toujours des exemples de cas où les idées divergent Nous avons donc vu donc vu que grâce à internet, les citoyens peuvent consulter une quantité d’informations qui circule librement et en continu, cependant il existe un problème de confidentialité, l’information privées peuvent rapidement être diffusées librement.
Ensuite, nous pouvons dire qu’Internet facilite grandement notre possibilité de s’exprimer et de prendre parti. Il permet notre engagement politique, de manière virtuelle bien sûr. C’est l’idée qui est retenue par Fabien Granjon dans son article en parlant des révolutions arabes. Lors du « printemps arabe », les réseaux sociaux Facebook et Twitter ont permis une grande mobilisation contre les mouvements dictatoriaux. Ici, Fauteur souligne un aspect bénéfique pour la société : grâce à Internet, les gens peuvent prendre part à une cause et à une opinion commune.
A travers l’extrait la chanson du groupe No One nous voy 3 part à une cause et à une opinion commune. A travers l’extrait la chanson du groupe No One nous voyons que les foules peuvent être facilement attirées par le fait qu’internet est facile d’utilisation et en profitent pour décrire leur oint de vue et s’engager, politiquement la plupart du temps. Cependant les chanteurs dénoncent le fait que beaucoup de citoyens prennent parti politiquement sans ne jamais agir « on voudrait que ça gronde sans agiter ses ailes ».
Les utilisateurs d’internet veulent que les choses changent mais ne font pas ce qu’il faut pour. A travers la phrase « La souris se déplace, elle livre à ta place », ce groupe dénonce la passivité des utilisateurs d’internet. Nous avons donc vu qu’Internet nous permet facilement de nous exprimer et de pendre parti politiquement mais que nos actions t nos volontés de changer les choses ne restent que virtuelles. Notre engagement est purement virtuel, il n’a souvent aucune incidence sur la vie réelle.