Et les marques françaises ne sont S. v. p next page pas les seuls acteurs Valenciennes (59) ou produisent égalemen es véritablement ces au u mal construites ? ta avec la Yaris rtwo à Hambach (57) s. Mais que valent res ? Sont-elles bien is à part, acheter ces modèles est-il au final un choix judicieux ? Exemple : La future Clio IV produite à Flins coûtera 1. 300 euros de plus que la même fabriquée en Turquie.
A l’heure où les politiques en mal de démagogie (ré)inventent un prétendu patriotisme économique – fièvre électorale oblige Renault assène la brutalité des chiffres. « La future Renault Clio IV produite à Flins coûtera 1. 300 euros de plus que son homologue fabriquée en Turquie », a affirmé ce mercredi Carlos Tavares, irecteur délégué de Renault, lors d’une rencontre avec quelques journalistes. Et ce, pour un modèle livré… dans I’Hexagone! Ce différentiel inclut donc les coûts de transport. Le verdict apparait donc sans appel.
Le futur modèle phare de Renault verra sa production démarrer en juillet, simultanément à Flins en région parisienne et à Bursa (Turquie), pour une commercialisation début octobre. La version break, prévue pour 2013, sera, elle, exclusivement assemblée en Turquie. Le constructeur vise 350 400. 000 Clio IV par an. L’industrialisation de la Clio IV avait fait l’objet dune vive olémique, début 2010, entre le constructeur et les pouvoirs publics français. Renault avait en effet envisagé initialement de produire quasi-exclusivement sa Clio IV hors de France.
Tancé par le chef de l’Etat Nicolas Sarkozy, Calors Ghosn, double PDG de Renault et Nissan, avait alors pris l’engagement d’en assembler une partie dans I’Hexagone. Renault « assemble aujourd’hui un quart de ses véhicules en France et y fabrique de ses ensembles mécaniques », reconnaît Carlos Tavares. pas beaucoup. Le pourcentage est très inférieur à celui de PSA, de Fiat en Italie ou des constructeurs germaniques en Allemagne! Le dirigeant se défend toutefois de se désengager du territoire français. Ce que nous faisons, c’est améliorer notre compétitivité en générant des profits récurrents qui, seuls, assurent la pérennité de l’entreprise », précise Carlos Tavares. « La France a besoin d’un grand champion automobile comme Renault » en bonne santé. Carlos Tavares a d’ailleurs mis en relief la forme (relative) de Renault… par rapport à PSA, « en graves dificultés financières, qui a dû faire appel à des socités étrangères pour l’aider à se maintenir à flots »… A bon entendeur. des investissements réalisés en France MODE Marinière !