Brésil

Laaouine Selma Cl IB Vendredi 28 Novembre OF S. v. p page Dossier Support E41 Etude et Veille des Marchés Etrangers Fiche sectorielle modèle familial qui se traduit notamment par l’augmentation de la proportion de personnes vivant seules, des couples sans enfant ou des femmes sans conjoint et avec enfants. Autant de paramètres qui influencent aussi grandement les habitudes de consommation de la population brésilienne, en grande majorité urbaine. Entre 1990 et 2010, le rapport produits « in natura »/ produits industrialisés, est passée de 30/70 à 15/85. Consommation par région

On remarque que les régions qui consomment le plus de biscuits sont les régions si situant au sud et à l’est en 2013, donc les régions plus pauvres se situent au nord et à l’ouest. Catégories de biscuits vendus La population brésilienne est une très grande consommatrice de biscuits et possèdent de nombreuses catégories tels que des crackers, les biscuits fourr its secs et sucrés qui sont Peps Sociétés brésiliennes Piraque Adria Bauducco Santa Edwiges Panco Marilan Le principal concurrent dans ce marché est l’Allemand Jules Destrooper qui est présent dans la quasi-totalité des supermarchés, c’est le leader du marché au

Au niveau du gouvernement fédéral, de nombreux organismes et plusieurs ministères se partagent les compétences pour ssurer la sécurité de l’approvisionnement alimentaire au Brésil et la réglementation des importations de produits agricoles et alimentaires. Cependant, le Ministère de l’agriculture, de l’élevage, et de l’Alimentation (MAPA) et le Ministère de la Santé (MS) – par le biais de son Agence nationale de vigilance sanitaire (ANVISA) – sont les principaux régulateurs de produits agricoles. s procédures d’accès au marché Les barrières non tarifaires L’importation d’un grand nombre de produits est soumise une demande de licence préalable auprès du SECEX (Secrétariat au Commerce Extérieur), qui est seul habilité à délivrer cette icence. Valable 60 jours a compter de la date d’expédition des marchandises (parfois, à com ter de la date de la demande de licence). Cette période ne oneée et est souvent réglementations douanières. l est nécessaire de se référer aux nombreuses réglementations sanitaires en vigueur avant toute importation. Les procédures d’importation Certains aspects du cadre de réglementation demeurent problématiques pour les exportateurs européens, en particulier les lois brésiliennes en matière d’importation. Il incombe l’importateur de remplir les conditions locales particulières en matière d’importation. Ce dernier confie habituellement le traitement des documents administratifs nécessaires un courtier en douane.

Toutefois, il est préférable que les exportateurs comprennent le processus et les règlements concernés, car l’inobservation de ces derniers peut entrainer des retards coûteux. En règle générale, les importations au Brésil de produits alimentaires (tous produits) font l’objet d’un contrôle sanitaire, qui peut être effectué soit par le Ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de l’Approvisionnement (MAPA) soit par l’ANVlSA (Ministère de la Santé).

Taxes brésiliennes Parmi les taxes intérieures qui concernent les exportateurs, on note les « Impostos de Importaçao (Il) » (droits d’importation) et les taxes de vente : la « Imposto sobre Produtos Industrializados (IPI) » (taxe sur les produits industriels) et la « Imposto sobre Circulaçao de Mercadorias e Serviços (ICMS) » (taxe sur la distribution des biens et services).

Le PIS, (taxe fédérale prélevée sur les recettes brutes des ventes intérieures de biens et services), et la Cofins, contribution pour le financement de la sécurité sociale (taxe de sécurité sociale perçue sur la plupart des recettes brutes) sont égal e en ligne de compte. étrangères destinées à la consommation intérieure et varient selon la nature et le degré de nécessité des produits. L’IPI est une taxe fédérale perçue sur la fabrication locale de produits et sur l’importation de produits étrangers. L’ICMS est une taxe dÉtat. Les fabricants et/ou les négociants sont responsables du paiement de IIICMS.

Le calcul du montant est basé sur la valeur ajoutée. Elle est identique à l’IPl en ce qui a trait à la méthode d’imposition, de détermination et de perception de la taxe, l’établissement des documents fiscaux et aussi parce que cette axe n’est pas cumulative. L’ICMS varie entre 7 % et 25 % d’un État à l’autre. Les taux les plus habituels s’établissent à 18 % (dans les États de Sao Paulo, de Rio de Janeiro, de Minas Gerais et de Rio Grande do Sul) et à 17 % dans le district fédéral et les autres États. Le PIS et la Cofins, ont des répercussions sur les biens et services importés.

Taxes à l’importation Code douanier NCM pour les biscuits: 1905. 31 . OO 1*1. (Taxe d’importation) : du CIF Pl (Taxe sur la production industrielle : du (CIF + 1. 1. ) cumulatif. ICMS (taxe sur la valeur ajoutée) qui dépend de l’état d’entrée des archandises. Pour l’état de Sao Paulo il est de 18% du (CIF + 1. 1. + IPI) cumulatif. PIS : du CIF COFINS: du CIF Conclusion Après cette étude sectorielle du marché des biscuits au Brésil, quelques conseils pour exporter les roduits de Pentreprise Michel & Augustin : 6 0 Jules Destrooper, présent dans la majorité des magasins.

Etiquetage des produits alimentaires Selon Anvisa (Agence de vigilance sanitaire), les emballages alimentaires Werre, plastique, carton… ) doivent contenir une étiquette générale, une étiquette nutritionnelle et les informations nutritionnelles complémentaires si nécessaire. Etiquetage général Tous les biens de consommation importés doivent comporter une étiquette en portugais, indiquant le contenu du produit, insi que le nom, l’adresse et le numéro de téléphone de l’importateur. es étiquettes de produits alimentaires devront également mentionner en caractères parfaitement lisibles : 1.

La qualité, la nature et le type d’aliment, en respectant la définition, la description et la classification établie dans le modèle respectif d’identité et de qualité ou sur l’étiquette répertoriée par l’organe compétent du ministère de la santé, dans le cas d’aliments de fantaisie ou artificiels[l] ou d’aliments non répertoriés ; 2. Nom et/ou marque de l’aliment ; 3. Nom du fabricant ou du producteur ; 4. Siège de l’usine ou du local de production 5. Numéro de registre de faliment auprès de l’organe régulateur ; 6.

Indication de l’emploi d’additif intentionnel ; soit mentionné en toutes lettres, soit en indi uant le code d’identification correspondant avec la spé lasse auquel il production et la date de validité sont également exigées Les aliments étiquetés au Brésil, dont les étiquettes contiennent des mots dans une langue étrangère, devront présenter la traduction respective, sauf en cas de dénomination universellement consacrée. es étiquettes d’aliments destitués, totalement ou partiellement, e un ou plusieurs de ses composants normaux, devront mentionner paltération autorisée.

Les noms scientifiques qui seront inscrits sur les étiquettes des aliments devront, tant que possible, être accompagnés de la dénomination commune correspondante. Etiquetage nutritionnel Cétiquetage nutritionnel des aliments et boissons est obligatoire. L’étiquette nutritionnelle doit déclarer les éléments suivants valeur énergétique, hydrates de carbone, protéines, graisses totales, graisses saturées, graisses trans (acides gras libres), fibres alimentaires et sodium. La disposition et l’ordre de l’information nutritionnelle doivent suivre le modèle exposé en annexe.