Contrôle de gestion: Analyse des coûts

Les corrections démarre sur les mêmes bases. veau du résultat. s produits. ieux au 31 MARS ice n, ni le n+l qui Certaines charges comptabilisées ne représentent pas une valeur éco fiable. Amortissements et provisions Pour répondre à ces inconvénients nous deployons la comptabilité de gestion avec come principaux bras armés la compta ana pour les calculs et le contrôle de G pour l’analyse et le conseil. Toute décision doit être associée à un arbitrage permanent entre deux masses constitutives des coûts .

Coûts variables : totalement liés à Factivité Coûts fixes : Independent de l’activité mais ils peuvent évoluer sous 3 cas : -Augmentation des salaires aturée > augmentation par à-coups pour faire face à un surcroit d’activité. En cas de contexte économique difficile (manque de visibilité etc) il est préférable si cela est possible, de privilégier les CV au détriment des CF. Car les CF sont difficilement compressible court, voire à moyen terme. Chaque décision peut donc opérer un transfert de coût de l’un sur l’autre.

Section 2 : Les différentes méthodes d’approche de calculs de performances. 1 a La méthode du CV ou méthode du DCS (Direct costing simple) Dans cette approche l’appréciation de la rentabilité s’appréciera 1 seul niveau. Celui de la marge sur CV. Cette marge s’obtient par différence entre le CA et les CV. Pour le résultat global de l’entité on enlèvera du cumul sur marge sur CV, les CF généraux 20 Méthode du CF spécifiques (DCE – direct costing évolué) Dans cette approche l’appréciation de la rentabilité d’un projet d’une activité ou d’un produit s’effectuera à deux niveaux.

Marge sur CV (calcul identique du DCS) Marge sur coût spécifiques. Elle s’obtient par la différence entre la marge sur CV et les coûts fixes spé attachés au projet CFS : coût clairement identifié, sans ambigüité, comme étant ffecter au produit. En cas de suppression d’une activité les CFS disparaitrons ( moyen terme) sauf redéploiement des moyens sur d’autres activités e résultat global s’obtient par différence entre le cumul des marges sur CFS 2 Le résultat global s’obtient par différence entre le cumul des marges sur CFS et les CF Généraux.

CF globaux : Si les coût fixe représente plus de DCE Commentaire société MK&CIE 1) L’analyse qui permet de supprimer le market Int et de développer les deux autres activité s’avère catastrophique en terme de résultat. Plus aucune activité n’est rentable et le rés. lobal affiche une perte de plus de 102’000. Cela s’explique par le fait que la suppr du market int n’est pas entrainé de recul sur les CF glob- Cela peut s’expliquer par le besoin d’afficher un stabilité des moyens pour faire face à la progression des heures facturées. Les CFgIo ce sont donc trouvé réparti sur deux activités au lieu de 3.

Mais ces dernières n’ont pas pu absorber ce surcoût fixe. Cette situation est préoccupante car elle s’inscrit dans une prévision haute des progressions d’activité, +50% d’heures facturées pour les deux activités restante. Plus les prévisions de croissance sont dans des fourchettes haute, plus il est difficile de les atteindre face aux aléas du contexte. Cela signifie donc que si la tendu ne se produit pas 3 perte la plus lourde qui représente environ 65% de la perte global. La clef d’imputation (ici les CV) est responsable de cette situation.

En effet, désormais le market achat génère 783000 de CV soit 2/3 des CV totaux. On lui affecte donc les 2/3 des CF glob sans aucun réalisme particulier Ce n’est pas parce qu’une activité génère bcp de CV qu’elle consomme bcp de CF. Le lein de corrélation est loin d’être évident t le phénomène éco est même parfois inversé. 2) L’approche du DCS permet de constater que toutes les activités sont rentables car elles affichent toutes une marge monétaire largement positive. Y compris le Market Inter qui présente la plus forte marge monétaire.

On peut même dire ici que cette activité est la plus rentable car les taux de marge sont très élevés et se tiennent dans un intervalle de 5pts. C’est donc normal que sa suppression ait entrainé une dérive importante des résultats. La méthode du DCS est toutefois problématique Dans notre exemple, les CFGlob représentent de CG. Cette approche e les traitant pas au niveau de division, cela risque de fausser lourdement notre analyse de performance. 3) L’analyse de la situation permet de constater que le Market Opé est en difficulté alors que jusque-là aucune alerte particulaire n’avait été enclenchée sur cette activité.

Les coûts fixes spé du market opé sont responsables de cette situation. Ils absorbent totalement I 4 coûts fixes spé du market opé sont responsables de cette situation. Ils absorbent totalement la totalité du CA. Peut-on redresser une activité ? Pour répondre à cette question il convient de poser le postulat de ‘équilibrage. C. -à-d. d’une marge sur CF spé = O. Il faudrait donc générer le calcul suivant 4001000 de marge sur CV – 4001000 de CF spé, ce qui revient réduire les CFS de 200’000 soit 1/3 de CFS totaux de l’activité.

Nous sommes dans le domaine du conseil et nous savons que les CF de chaque activité sont dominée par les salaires versés au collaborateur. Il faudrait donc envisager de se passer 1/3 de l’effectif travaillant sur le market opé. On ne peut pas penser que cette réduction drastique d’affectif ne se fasse dans attaquer frontalement l’activité en nbr d’h facturées. Ce qui entrainera automatiquement une chute du CA, et l’équilibre prévu se transformera alors en nouvelles pertes, rendant ainsi impossible le redressement de l’activité.

Il faudra donc se résigner à fermer le market Opé- La marketing inter reste rentable assez largement mais perd se place de leader au profit du market achat qui cumul la plus forte marge monétaire et le plus fort taux de marge. La faiblesse du résultat global peut interpeler, moins de du CA. On pourrait donc penser que les frais généraux sont responsables de cette situation. Ils absorbent en effet environ 86% de la marge globale. On pourrait penser qu S responsables de cette situation. Ils absorbent en effet environ de la marge globale. On pourrait penser que ce cabinet vie au-dessus de ses moyens.

Pour confirmer ou infirmer ce raisonnement il convient de mesurer le pond des frais généraux par rapport au CA. Ce poids est de 12%. Ce que semble largement acceptable au regard des normes professionnel en vigueur (entre 10 et 15% du CA). Ce n’est donc pas tant l’importance des frais généraux qui pose problème mais plutôt la faiblesse de la marge globale pilonnée par les difficultés du Market Opé. ) Simulation de la suppression de l’activité sans développer les deux autres. e résultat global augment bien de 200 000 car il n’y a plus la perde du 200’000 du market opé.

Les frais généraux ne bouge pas bien sûr 5) L’analyse de ce rés au niveau global peut laisser penser que la strat peut être validé dans son intégralité. En effet le rés global progresse de 80%. Cependant, à y regarder de plus près on devra afficher une réserve. Le M achat qui a bénéficié d’un soutien budgétaire massif (doublement de CF) recul sur l’ensemble de ses niveaux de perf 2 500 de marge monétaire, – de taux de marge sur CFS. On ne pourra justifier un tel décrochage auprès des actionnaires car cest eux qui financent.

Enfin le M Inter pourra manifester son mécontentement. En effet, c’est lui qui apporte l’ensemble de la perf global et ce, sans moyen s moyen suppl. Ils pourraient donc solliciter une partie de ces moyens pour lever la pression exercée sur ses équipes. La dir. G est donc orientée négativement sur le déblocage des 300’000 € sollicités pas la M achat 6) L’analyse met en évidence que le concurrent est destructeur de perf. Le rés global recul de 609E. Il est inquiétant car il s’établi face à un recul de CA limité à 30%. L’élasticité du rés par rapport au CA est donc très forte.

Car le rés recul 2 fois plus vite. La structure des couts est responsable de cette situation avec une domination des cout fixes qui a pour effet une accélération du recul de rés face à un contexte éco plus difficile que prévu. Si dans cette situation de difficulté on renforce les CF le recul du Rés s’accélère encore renforçant ainsi sa volatilité. L’injection nouvelle de CF est responsable de cette situation puisque par définition les CF estent incompressible à court-moyen terme. 7) 8) Le cas NOI montre incontestablement une situation inconfortable.

Le point mort est atteint très tardivement, trop tardivement pour permettre à Pentr. de se mettre à l’abris d’aléas éco internes ou externes. Le cas N02 montre une nette amélioration le point mort gagne 2 mois et redonne à l’entr. un ballon d’oxygène certain pour activer un plan de réaction en cas de contexte éco plus défavorable que prévu. Cette certain pour activer un plan de réaction en cas de contexte éco plus défavorable que prévu. Cette amélioration s’est faite par la éduction relativement lourd de CFGlob.

Le cas N03 montre un nouvelle amélioration du point mort, il gagne encore 20j et se situe alors dans le position la meilleur de l’ensemble de cas. Cette amélioration a été réalisée alors que les CFGlob progressent. Mais cette progression c’est réalisée dans un contexte éco favorable ce qui a permis d’éviter d’attaquer frontalement le point Mort. Dans le cas N04 il y une dégradation du contexte éco. L’entr- essaie d’anticiper, elle fait donc reculer ses couts fixes. Mais ce recul n’est pas suffisant pour épargner un impact dégradant le Point Mort.