Fyvggcf gfrv L’Enfant sauvage

Présentation de rauteur : Biographie, ouvrages principaux (entre 5 et 10 lignes), courant littéraire ou caractéri 7 Guy de Maupassant ît p g qu’il n’a que 11 ans, il combat dans la guerr à Paris. ts divorcent alors alheureuse. Il étudie aussi le droit En 1880, le groupe d’écrivains naturalistes réuni autour de Zola dans sa maison de Médan publie un recueil, Les Soirées de Médan, auquel Guy de Maupassant participe avec sa nouvelle Boule de suif, qui rencontre un vif succès.

Dorigine normande, Maupassant, fonctionnaire à paris, mène une vie agitée après la guerre de 1870. Flaubert le forme, le présente à Zola et lui donne l’occasion de collaborer à divers journaux. Il publie son premier roman, Une vie, en 1883. Trois ans après Bel-Ami (1885), Maupassant place en exergue de Pierre et Jean un essai sur « Le roman », où il défend la nécessité de représenter le réel avec vérité mais aussi avec originalité. Son œuvre, d’une incroyable fécondité, lui assure rapidement célébrité et fortune. u large du Havre, réunit Monsieur Roland, sa femme et leurs deux fils, Pierre et Jean, qui rivalisent à la rame devant la jeune, belle et blonde veuve d’un riche capitaine de vaisseau, Mme Rosémilly. Le père Roland est un brave homme borné et commun, qui a laissé Paris et son modeste commerce de joaillier pour se consacrer à sa passion de la pêche qui lui fait passer ses journées sur la mer. Sa femme, « une économe bourgeoise un peu sentimentale », est la mère idéale qui ne vit que pour l’affection qu’elle porte à ses enfants.

Les deux frères, unis et opposés par « une fraternelle et inoffensive inimitié sont très différents sur le plan physique et moral. L’aîné, Pierre, près de la trentaine, brun, maigre et nerveux, tourmenté par de grands rojets et sujet à des découragements imprévus, après avoir commencé et abandonné diverses études, a enfin été reçu docteur en médecine. Jean, qui est de cinq ans plus jeune, gros, blond, placide, est docteur en droit et se prépare à exercer tranquillement la profession d’avocat. Le plus jeune, grâce à sa vie régulière, a constamment été proposé comme modèle à Pierre, l’indiscipliné.

Au retour, le soir même, la vie tranquille de la famille est bouleversée par la nouvelle de la mort de M. Maréchal, leur fidèle et Vieil ami. En effet, celui-ci a fait de Jean punique héritier de sa fortune considérable. Chapitre Il Venu sur le port réfléchir à cet événement, Pierre croise Jean et le félicite pour sa nouvelle fortune. Puis il rend Visite au pharmacien Marowsko, qui éveille un doute en son esprit jaloux à propos de l’héritage. l,’ visite au pharmacien Marowsko, qui éveille un doute en son esprit jaloux a propos de l’héritage.

Chapitre Ill Une anonyme et peu farouche « fille de brasserie » renforce le soupçon : « Ça n’est pas étonnant qu’il te ressemble SI peu Pierre trouble le repas où les siens, dans leur optimisme aveugle qui l’irrite, fêtent [‘heureux événement et commencent à faire des projets. Chapitre IV Sorti en mer, il est atrocement torturé par le soupçon éveillé par les phrases de ses amis, et il cherche avec acharnement la raison pour laquelle seul Jean a hérité de la fortune, alors que Maréchal le connaissait depuis qu’il était tout petit.

La brume l’oblige à rentrer. Il commence alors « une enquête minutieuse » et particulièrement pénible pour découvrir la vérité. Un souvenir lui revient : Maréchal, dont un portrait accroché au mur avait été enlevé après la naissance de Jean, « avait été blond, blond comme Jean. Il conclut de cette ressemblance que Jean est le fils de Maréchal. Chapitre V Il demande à sa mère où se trouve le portrait de Maréchal et lui fait ainsi comprendre qu’il sait tout. Mais il n’ose lui annoncer la vérité car il ne veut pas qu’elle meure de honte.

Le trouble de sa mère à propos du portrait, ajouté à la ressemblance, transforme le doute en « intolérable certitude Elle perd à ses yeux tout son charme serein de femme aux pures affections. Chapitre VI Malheureux, torturé par « l’infâme secret » et par le remord qui le rend honteux de lui-même, il persécute sa mère. À roccaslon d’une sortie sur la plage de Saint-Jouin, Jean se déclare à Mme Ros persécute sa mère. l’occasion d’une sortie sur la plage de Saint- Jouin, Jean se déclare à Mme Rosémilly, adroite en amour comme à la pêche, et, avec le prestige de sa récente richesse, il obtient d’elle une promesse.

Chapitre VII Dans le nouvel appartement de Jean, convoité par rainé, les deux frères se disputent. Pierre, sous le coup de la fureur, ne résiste plus et lui révèle sa découverte, insoucieux de sa mère qui, certainement, les entend de la chambre à côté : « Tu es le fils d’un homme qui t’as laissé sa fortune. » Jean, bouleversé, obtient peu après la confirmation de la vérité de la bouche de sa mère « Tu ‘es pas le fils de Roland. b. Elle veut partir à tout jamais, mais il la supplie de rester et ils se réconcilient dans le même amour. Chapitre VIII Le caractère placide et positif de Jean prend rapidement le dessus.

Il dédommagera son frère en renonçant en sa faveur au petit patrimoine de la famille. En attendant, puisque Pierre n’a plus envie de vivre à la maison, il facilitera son embarquement comme médecin de bord sur un transatlantique. Chapitre IX M. Roland accepte tout, sans soupçonner le moins du monde la récente tragédie, tandis que sa femme est moins torturée. Enfin, e groupe du début, moins Pierre, est réuni dans la même barque, pour saluer le départ de « La Lorraine à bord de laquelle Pierre commence une nouvelle « vie de forçat vagabond CHAPITRE I Le roman s’ouvre sur une partie de pêche en mer.

Le père Roland a invité sa femme et une amie, Madame Rosémilly, l’accompagner pour cette sortie en mer. Sont aussi présents s 4 OF l,’ et une amie, Madame Rosémllly, à l’accompagner pour cette sortie en mer. Sont aussi présents sur le bateau leurs deux fils : Pierre, l’aîné et Jean. Ceux-ci sont tous deux attirés par Mme Rosémilly mais elle semble accorder sa préférence à Jean. D’ailleurs, ce dernier est aussi le préféré de la famille, jugé plus posé et plus stable que son aîné.

Lorsqu’ils rentrent dans leur maison du Havre, ils apprennent que le notaire va leur rendre visite dans la soirée. Celui-ci se présente après avoir suscité de nombreuses interrogations sur les motifs de sa venue, et leur apprend que Jean est l’héritier d’un des amis de la famille qui vient de mourir. e père Roland se réjouit, les deux frères vont faire un tour, tandis que la mère constate que Pierre est lésé dans cette affaire. CHAPITRE Il Pierre se promène dans les rues du Havre, indécis. Arrivé sur e port, il croise Jean à qui il dit qu’il est content pour lui et qu’il l’aime.

Jean, ému, le remercie. Puis Pierre continue sa promenade, il est las et ne sait pas vraiment où aller. Il décide de rendre visite à un vieil ami pharmacien. Après avoir bu un verre de liqueur avec lui, il lui annonce la nouvelle de l’héritage. Son ami paraît surpris et fâché, il répète plusieurs fois : « ça ne fera pas un bon effet » CHAPITRE III Pierre décide de faire fortune en travaillant. Il cherche à louer un appartement qui lui sen’irait de cabinet pour recevoir ses patients (il est médecin).

Il en trouve un mais n’a pas l’argent nécessaire our verser le premier loyer. Il se dit qu’il va demander à son frère de lui en prêter. Puis, i frère de lui en prêter. puis, il pense aux bénéfices de fréquenter une femme et il décide d’aller retrouver la serveuse qu’il voit de temps en temps. Il lui raconte que son frère -qu’elle connaît de vue- vient d’hériter. Etonnée, la jeune fille lui dit qu’il n’est pas étonnant que Pierre n’ait rien eu vu comme il ressemble si peu son frère.

Pierre se souvient alors de la remarque de son ami pharmacien et, comprenant que son père n’est pas celui de Jean, il imagine le scandale que cet héritage va causer. Lorsqu’il rentre chez lui pour déjeuner, il trouve tout le monde table, ayant commencé le repas sans l’attendre. II souhaite parler à son frère pour l’avertir de ses soupçons. Il n’y parvient pas et se montre très irrité avec les autres (particulièrement avec son père). Il apprend à la fin du repas que Maréchal (le donateur) était un « fidèle ami ».

CHAPITRE IV Pierre continue à se demander si Maréchal est le père de Jean, il ne sait que penser et alterne les doutes et les certitudes. En rentrant chez lui, il apprend que sa mère a loué pour Jean l’appartement qu’il avait repéré pour en faire son cabinet de édecin. Cela le met en colère. Il sort faire une promenade en barque et continue à réfléchir. Il cherche à obtenir des preuves dans ses souvenirs. Finalement, indécis, il rêve de quitter la France sur un des bateaux qu’il voit dans le port mais se résigne rester, sans argent pour s’offrir le voyage.

CHAPITRE V Pendant la nuit, Pierre est réveillé par ses angoisses. Le lendemain matin, il déc 6 OF l,’ voyage. lendemain matin, il décide d’aller passer la journée à Trouville. II se souvient d’un petit médaillon représentant Maréchal qui était auparavant exposé dans le salon et décide d’aller demander à sa ère si elle sait où il se trouve. Avant de partir pour la journée, il lui rend visite dans sa chambre et lui demande de lui donner l’objet afin de l’offrir à Jean en souvenir de Maréchal. Celle-ci indique qu’elle ne sait plus exactement où il se trouve.

Le soir, quand il rentre après une excursion pendant laquelle il n’a cessé de rêvasser, il demande à sa mère si elle a retrouvé le médaillon. Celle-ci lui répond que non, et le père Roland lui indique qu’il est dans le secrétaire – meuble dans lequel, selon lui, elle l’a laissé quelques jours plus tôt. Gênée, elle va chercher le portrait et le tend à son fils. II y voit quelques traits de ressemblance avec Jean. Sa mère comprend qu’il a des soupçons, surtout quand elle le voit cacher le médaillon à l’annonce de la venue de Mme Romilly (il a peur qu’elle découvre l’air de famille).

Quand la jeune femme arrive, Pierre quitte la pièce. CHAPITRE VI Mme Roland est souvent prise de malaises et elle semble aller de plus en plus mal. Pierre n’est pas en forme non plus et il ne voit sa famille qu’au moment des repas. Jean est presque installé dans son appartement. Pour fêter son nouveau logement, il organise une partie de campagne. Alors qu’ils sont partis pêcher dans les oches, Jean déclare son amour à Mme Rosémilly et lui fait sa demande en pêcher dans les roches, Jean déclare son amour à Mme Rosémilly et lui fait sa demande en mariage.

Elle accepte et il s’empresse d’aller l’annoncer à sa mère qui est restée à l’écart avec Pierre ( la mère et le fils ont d’ailleurs eu un échange de paroles désagréables : Pierre ne peut plus être aimable avec sa mère et cette dernière a peur de lui). CHAPITRE VII A leur retour de promenade, ils se retrouvent chez Jean dans son nouvel appartement. Il tient à leur faire découvrir les lieux qui ont été aménagés luxueusement. Tout le monde est émerveillé sauf Pierre qui ne décolère pas.

Un peu plus tard, alors que le père Roland et Mme Rosémilly sont repartis, les deux frères se mettent à se disputer. Pierre annonce brutalement à Jean qui est son véritable père. puis, il quitte les lieux. Abasourdi, Jean se rend dans la pièce où sa mère est restée ( elle a tout entendu). Celle-ci lui avoue qu’il est bien le fils de Maréchal et qu’elle a aimé cet homme pendant plus de dix ans. Honteuse, elle ajoute qu’elle va partir. Il le lui interdit et lui promet de la protéger, plus particulièrement de l’hostilité de Pierre.

Elle rentre chez elle au milieu de la nuit. CHAPITRE VIII Jean cherche des solutions aux nouveaux problèmes auxquels il est confronté. Tout d’abord, il décide d’accepter l’héritage de Maréchal – qu’il avait envisagé de refuser – et de laisser l’intégralité de celui du père Roland (y compris sa part). Puis, il cherche un moyen d’éloigner Pierre et le trouve : à table, il évoque la possibilité d’embarquer sur un transatlantique pendant deux ans en tant que médec table, il évoque la possibilité dembarquer sur un transatlantique pendant deux ans en tant que médecin.

Le poste est bien rémunéré. Son aîné saisit l’occasion et décide de partir le mois suivant ( il doit auparavant être recommandé). Jean et sa mère rendent visite à Mme Rosémilly et le couple lui annonce leur mariage qui est prévu pour dans six semaines. La mère de Jean offre le médaillon de Maréchal à son fils. CHAPITRE IX Pierre a obtenu les recommandations nécessaires pour partir. Mélancolique, il se prépare au voyage.

La date de son départ arrive, sa famille vient lui faire ses adieux dans sa cabine et embarque à bord de la barque de Roland pour accompagner le transatlantique lors de son départ. Pierre et sa mère sont tristes. Sur le chemin du retour, la mère de Jean annonce a son mari qui Jean va épouser Mme Rosémilly. Il trouve que c’est une bonne idée. Résumé de chaque chapitre Chapitre l. Gérôme Roland chef de la famille Roland qui avait de la passion pour la pêche a laissé son petit commerce de joaillier qu’il tenait à Paris pour se réfugier dans sa ville natale du Havre et s’adonner à la pêche.

Lors d’une partie de pêche en famille, les deux frères Roland, Pierre et Jean, se livrent à une rivalité la rame devant la jeune et belle veuve d’un riche capitaine de vaisseau, Mme Rosémllly âgée de 23 ans. Les deux frères bien u’unis, entretiennent également une inimitié que personne ne laisse transparaître. Le frère aîné, Pierre, âgé de 30 ans, brun, maigre et nerveux, ambitieux et pourtant sujet à se décourager aisément, est diplômé en médecine nerveux. mbitieux et pourtant suet à se décourager aisément, est diplômé en médecine malgré sa réputation notoire d’élève indiscipliné, est tout le contraire de son frère cadet, Jean, âgé de cinq ans de moins, gros, blond, calme et posé, diplômé en droit. Dès le retour de la famille de cette partie de pêche, leur vie apparemment tranquille va être bouleversée par l’annonce de la ort d’un certain Maréchal, fidèle et vieil ami de la famille, mais encore plus par l’annonce peu commune qui accompagne cette nouvelle.

En effet, la famille apprend que ce dernier aurait légué toute sa fortune considérable au cadet des fils Roland, Jean. Chapitre II. L’intrigue s’aiguise suite à l’annonce de cette nouvelle. En effet, Pierre qui se rend seul au port pour essayer de cogiter sur cet événement peu commun, rencontre son frère et lui adresse ses félicitation pour son héritage inattendu, puis, en discutant avec Marrowsko, le pharmacien polonais installé dans a ville, commence à avoir des soupçons quant à la respectabilité de sa mère, Louise Roland, femme économe, bourgeoise, un peu sentimentale et âgée de 48 ans.