Dés OF4 de l’inconscient. next page b) on ne peut pas rej r sifa – Ma conscience n’es conscience comme d uler une intention e fatalité es états de ts qui viennent l’esprit. Cela revient donc à dire que chaque sujet possède un inconscient et l’on ne peut pas contester le caractère fataliste de son existence. – Selon Nietzsche, la plus grande partie de mon activité psychique est d’ailleurs inconsciente, ma conscience n’étant qu’un organe secondaire se perdant dans l’activité organique du corps. La conscience n’est pas maître de tout , en effet quand je fais un lapsus, je ne sais pas pourquoi, c’est-à-dire que je ne sais pas ce qui me pousse à dire tel mot plutôt qu’un autre, ou quand je rêve , je ne sais pas ce qui me pousse à rêver d’un objet ou d’une personne. Or pour Freud, il n’y a pas d’actes innocents ou anodins.. Je n’ai pas conscience et je ne contrôle pas une bonne part de ce qui se passe en moi-même. c) Nous sommes victime de notre inconscient. Cinconscient est ce qui reste à comprendre de l’homme . Nous cherchons à savoir comment elle agi , pourquoi . II parrait impossible au sujet de pouvoir controler cette inconscience. Vu que nous ne la controlons pas , elle peut parfois intervenir sur nos actions , et peut changer notre futur proche. En effet elle peut changer notre futur en nous offriant une autre alternative différente de ce que notre futur aurait eu si nous agissions eulement avec notre conscience.
On 2 seulement avec notre conscience. On peut donc dire que notre conscience est une forme de fatalité interieur qui entraine un changement en nous -La fatalité peut donc etre entrainer par la notion d’une certaines « inconscience meme si toutefois l’idée de liberté n’existe pas vraiment. L’inconscient va agir sur l’individu en prenant une voie detourné. L’homme est donc est un être bien impuissant dont l’inconscient conduit irréprochablement à la fatalité.
L’homme est impuissant face à l’inconscient. -Nous sommes en quelques sorte victime de notre inconscient ar comme nous ne pouvons pas la controler elle peut agir sur nous. Vu que qu’une partie de notre psychisme est inconscient et influe sur notre comportement, par conséquent , ses actions agissent indépendament de nous. Nous sommes donc victime de notre inconscient Il) Llinscient n’introduit pas la fatalité dans la vie de l’homme. ) L’inconscient c’est moi -Avec Descartes, le sujet se défini d’abord et surtout par la conscience qu’il a de lui même « Je pense donc je suis » , si je peux penser , j’existe . Ainsi, je suis conscient de tout ce qui se passe en moi. De même, dans sa critique adressée à Freud, Sartre fait emarquer que la conscience 3 même, dans sa critique adressée à Freud, Sartre fait remarquer que la conscience connait ce qu’elle refoule. La fatalité n’est soumise à l’homme que lorsqu’il n’a aucune conscience de son inconscient. Ainsi, savoir qu’il existe, permet à Ihomme de s’en séparer un peu afin de pouvoir vivre une vie dont il croit être le maitre b) On peut se libérer de ses pulsions. -on ne peut réduire l’inconscient au déterminisme car grâce à la cure psychanalytique de Freud, l’inconscient peut devenir conscient. En effet les pulsion liées a l’inconscience peuvent etre supprimé grace a la psychanalyse.
Lhomme prend conscience de ses conflits inconscients, de son déterminisme psychique, de ce fait il guérit de la névrose -Le sujet devient ainsi libre, autonome car lucide, il est maitre de lui-même . il sera donc conscient luter contre la fatalité . c) La liberté contre le déterminisme inconscient. – l’idee de fatalité = mauvaise fois( acte par lequel la conscience se ment elle meme) selon Sarte. Cest les actes qui definissent l’homme pas le determinisme.