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Il Les déviance de facebook : Chyper connecté Les jeunes âgés de 15 à 18 ans ont grandi avec les technologies numériques et Internet dont ils se servent pour communiquer, partager et s’informer. Nés dans les années 1 990, ils n’ont jamais connu un monde sans Internet, sans téléphone mobile, ni réseaux sociaux, contrairement à la génération qui les précède. Ils sont donc prédisposés à devenir des « hyperconnectés ». Les hyper- connectés ne peuvent pas se passer du numérique et d’Internet, que ce soit pour la re leurs mails ou des ré L’afflux des nouvelles principalement Face g la consultation de le blogging. aux sociaux, en contact permanent avec leur entourage. Hier, les jeunes se faisaient passer des petits mots en classe pour communiquer, aujourd’hui il y a le texto. Ils découpaient et collaient des photos d’eux-mêmes sur leurs agendas et leurs casiers, aujourd’hui Facebook a pris le relais. Tout devient immatériel, tout est online, tout est consultable du moment qu’on a une connexion Internet. Les besoins fondamentaux de socialisation restent les mêmes malgré les changements dans les moyens de les assouvir.

Alors que les jeunes issus des anciennes énérations n’avaient d’autres choix que de faire le mur pour retrouver leurs amis, les adolescents d’aujourdhui n’ont qu’? allumer leur Smartphone ou ordinateur portable pour passer la nuit entre eux. de partager les moindres détails de leur quotidien et saisissent chaque opportunité de réagir sur des sujets aussi nombreux que variés. Cet hypercontact permanent s’explique par une plus grande difficulté à appréhender la solitude, en effet cette immersion numérique permanente empêche de voir le monde autrement que par la proximité et la disponibilité. Le harcèlement

Un nouveau mode de harcèlement est né avec les nouvelles technologies, le harcèlement en ligne (ou cyberharcèlement), fait de plus en plus parler de lui. Rien de nouveau par rapport au harcèlement « traditionnel » en terme de principe et de conséquence, sinon que les outils virtuels facilitent considérablement la prise de contact avec la personne visée. En ce qui concerne le cyberharcèlement, il peut se montrer de diverses manières : les intimidations, insultes, moqueries ou menaces la propagation de rumeurs le piratage de comptes la publication d’une photo ou d’une vidéo de la victime en auvaise posture.

Il touche les adolescents et les jeunes en premier lieu notamment à travers de réseau social comme Facebook. A ces formes de cyberharcèlement se rajoute parfois des mesures d’exclusion ? l’école ou autres lieux de socialisation. Parfois, les auteurs de ces messages demandent de l’argent pour que la situation cesse ou encore la communication d’informations privée. Le cyberharcèlement peut aboutir a des actes désespérés et terribles comme en témoigne l’histoire tragique d’une adolescente canadienne de 15 ans nommée Amanda Todd qui, suite a 3 ans de cyberharc inuel, s’est suicidée en continuel, s’est suicidée en septembre 2012.

Elle a fait une vidéo en noir et blanc racontant son histoire sans parler, le visage ? demi hors-champ, faisant défiler une série de notes écrites à la main sur des petit papier. ( le lien de la vidéo ici https://www. youtube. com/watch? v= vOHXGNx-E7E Soyez prévenu, la vidéo est émotionnellement dure. ) Des campagnes contre le harcèlement et cyberharcèlement sont mise en œuvre par le gouvernement français via leur site internet « agir contre le harcèlement à l’école » (http:// www. agircontreleharcelementalecole. gouv. fr/) ainsi que des ffiches exposées dans les collège et lycée.

Cette campagne a pour but de sensibiliser et prémunir les adolescents contre les risques liés a internet. Des lois ont aussi été votées contre le harcèlement moral (article 222-33-2 du Code pénal), la peine peut aller jusqu’à un an de prison et 15 000 € d’amende. Le meilleur moyen de limiter ce phénomène est d’informer les adolescents sur les conséquences de leurs actes et leurs post sur les réseaux sociaux, ainsi que pour les victimes harcèlement den parler à des personnes de confiance voire d’aller jusqu’à la police. Les « exclus » : 3