SA ca Grange du Périgord (LGDP) Émetteur : Assistantes Destinataire(s) : Didier Lejeune Responsable service Exportations Périgueux, le 10 février 2015 Objet : Rapport d’info Pièces(s) jointe(s) : A Monsieur Lejeune, Swape nextp g blés LGDP souhaitant développer ses ventes à l’étranger, et ainsi assurer le développement de l’entreprise à l’exportation, voici le dossier électronique qui permettra de s’informer au mieux des deux pays ciblés pour le projet « Gagner à l’export ».
Afin de bien s’informer sur les deux pays ciblés à savoir, l’Arabie Saoudite et l’Italie, les sources utilisées pour la réalisation du ossier ne sont autres que le dossier « Documentation » ainsi que les services économiques du Ministère de Péconomie, dont le site Internet est : www. tresor. economie. gouv. fr/se/ ainsi que le site internet suivant : http://vw. w. ats-sea. agr. gc. ca/afr/4631-fra. htm possibilités dans le secteur et le marché- 3 – c. Réglementation des importations- 5 Ill. Critères relatifs au domaine -5 – Italie- 6 I. Critères géographiques- 6 – a. Politiques urbaines en Italie -6 b.
Les relations franco-italiennes – 6- Il. Critères sectoriels- 7 – Ill. Critères relatifs au domaine – 7 Conclusion -8 – Arabie Saoudite I. Critères géographiques L’Arabie Saoudite est un marché ouvert sur rextérieur qui importe près de 60 milliards D’USD par an. Cependant, plusieurs règles doivent être respectées. En effet, les expéditions à destination de l’Arabie Saoudite doivent être accompagnées de plusieurs documents tels que : – facture commerciale , – certificat d’origine (phytosanitaire) ; – certificat de non contamination radioactive ; – certificat d’abattage halal ; – certificat de vente.
CArabie saoudite exiee qu 2 rigine soit inscrit sur dollars. En moyenne, 80 % des aliments consommés par les Saoudiens sont importés. Les quatre produits alimentaires principaux comptent pour 40 % des importations. L’orge, l’agneau, le ri4 le poulet et le blé sont les principales importations agroalimentaires saoudiennes. Le pays s’approvisionne principalement au Brésil, en Inde, en Ukraine, en Australie et au Canada. b.
Difficultés et possibilités dans le secteur et le marché De nombreux Saoudiens continuent d’acheter une grande partie des aliments qu’ils consomment dans des commerces de gros, mais ils fréquentent de plus en plus les supermarchés. Les aliments prêts à servir et les aliments emballés font l’objet ‘une demande accrue. L’évolution des styles de vie, notamment l’arrivée des femmes sur le marché du travail et les campagnes de marketing vigoureuses de la part des entreprises alimentaires ont créé une demande dans ce segment de marché.
Les adolescents constituent environ 70 % de la population de l’Arabie saoudite et leur préférence pour les aliments occidentaux, contrairement à la génération de leurs parents, favorise l’expansion de chaînes internationales de restauration rapide comme Poulet Frit Kentucky, Burger King, McDonald’s, Fuddruckers, Taco Bell, Pizza Rut, Dominos, de même que de haînes locales comme Herfy, Al-Back, Tazaj, Dajen et Kudu, qui sont établies dans les grands centres urbains.
Les chaînes internationales de restauration rapide et quelques chaines locales, dont Herfry et Kudu, importent une grande partie des ingrédients dont elles se servent et ont besoin de produits alimentaires vendus en grand format. L’augmentation du nombre de pèlerins étrangers qui se 3 L’augmentation du nombre de pèlerins étrangers qui se rendent dans les villes saintes de La Mecque et Médine contribue également à la demande de produits alimentaires de grand format. xpansion du marché a amené de nombreuses sociétés internationales comme Kraft/General Foods, Del Monte, Pepsi, Coca-Cola et Danone à conclure des contrats de licence avec des fabricants locaux. L’Arabie saoudite abrite le plus grand troupeau intégré de bovins laitiers du monde, et la production d’œufs, de volaille, ainsi que de certains fruits et légumes suffit à répondre aux besoins de la population. Généralement, pour accéder au marché, les entreprises font affaire avec un agent ou un distributeur local.
Certains grands supermarchés s’approvisionnent directement auprès de ournisseurs étrangers et de groupeurs. II est recommandé de se rendre régulièrement sur place, car dans ce pays, les relations d’affaires sont fondées sur la confiance et sur les relations interpersonnelles. Les Saoudiens sont de plus en plus réceptifs à la publicité de masse; la publicité est donc un moyen essentiel d’attirer les consommateurs. De grands importateurs saoudiens sont prêts à commercialiser de nouveaux produits dans le cadre de projets pilotes, à condition de pouvoir les vendre sous leur propre marque si l’essai est concluant.
Les marques maison sont de lus en plus courantes en Arabie saoudite. Certaines entreprises saoudiennes ont créé des marques qui plaisent aux Saoudiens et aux autres Arabes; elles utilisent des noms à consonance arabe, même si la majorité des produits sont étrangers. 4 la majorité des produits sont étrangers. Les Saoudiens sont des consommateurs exigeants, mais ils sont ouverts aux nouveaux produits alimentaires et recherchent la bonne affaire. Ils portent une attention particulière à la qualité, ? la valeur nutritionnelle, au prix et à l’emballage.
Les importateurs sont toujours à l’affût de nouveaux produits et ils demandent ouvent le soutien des fournisseurs pour la promotion. À la suite de la détection de cas de maladie de la vache folle au Canada, l’Arabie saoudite a interdit l’importation de bœuf, de produits du bœuf et de bovins sur pied en provenance du Canada. Après d’importantes négociations, l’importation de viande de bœuf désossé provenant de bêtes âgées de moins de 30 mois a de nouveau été autorisée en février 2009. . Réglementation des importations – Les étiquettes des aliments préemballés doivent être rédigées en arabe ou inclure une traduction en arabe. – Les cargaisons de viande et de volaille doivent être ccompagnées d’un certificat d’abattage halal délivré par un centre islamique du pays d’origine. – Il faut également une mention indiquant que les animaux n’ont pas été nourris avec des protéines animales provenant de ruminants et qu’ils n’ont pas reçu d’hormones de croissance. En février 2001, le ministère du Commerce a émis une directive en vertu de laquelle il faut mentionner la présence d’organismes végétaux génétiquement modifiés dans un produit. L’importation de produits contenant des OGM d’origine animale est interdite en Arabie saoudite. Ill. Critères relatifs au domaine En ce qui a trait aux produits de base en 2009, le gouvernement saoudien a réduit sa produ S ce qui a trait aux produits de base, en 2009, le gouvernement saoudien a réduit sa production locale de blé de 12 % et continuera de la réduire chaque année, en prévision d’une cessation complète de la production d’ici 2016.
En Arabie saoudite, environ 2,6 millions de tonnes (Mt) de blé sont consommées annuellement, et cette consommation devrait augmenter et s’élever à 3 Mt d’ici 2016. Pour éliminer les menaces à la sécurité alimentaire locale, l’Arabie saoudite cible des pays voisins pour l’investissement dans le ecteur agroalimentaire. Les principaux produits visés par l’investissement saoudien sont le riz, le mais (plante et grain), l’orge, le blé, le sucre et le fourrage, de même que la volaille, le poisson et les animaux d’élevage.
Les sommes à investir visent notamment l’achat de terres pour la culture des produits de base susmentionnés ainsi que l’infrastructure, les moulins, les ports et d’autres aspects de la logistique ayant pour but de faciliter le transport des produits récoltés. Italie l. Critères géographiques a. Politiques urbaines en Italie Les villes sont un maillon essentiel de l’organisation territoriale talienne, dont le développement, assez peu maitrisé, reflète la dualité nord/sud du pays.
De récentes mesures remettent la ville au cœur des politiques de relance : – Le lancement d’un Plan national pour les villes – La création d’un Comité interministériel pour les politiques urbaines (CIPU) – L’Agenda numérique afin r le haut débit et réduire S 8 franco-italiennes Le système bancaire français est le premier créditeur de l’Italie. En effet, la France est le premier ou deuxième investisseur en Italie suivant les classements. Plus de 1200 entreprises ? participation française sont présentes sur le territoire italien et mploient 239 000 salariés pour un chiffre d’affaires total de 100 milliards d’euros en 2010.
En excluant le Luxembourg et les Pays-Bas qui constituent des plates-formes d’investissements étrangers, l’Italie figure au septième rang des investisseurs en France en termes de stocks, qui s’élevaient à 13,3 milliards d’euros en 2011. La part de marché de la France continue à s’effriter, malgré une reprise des échanges depuis 2010. Ainsi les échanges totaux de biens entre la France et Pltalie ont poursuivi leur hausse l’an dernier et ont atteint 70,6 milliards d’euros sans toutefois retrouver leur niveau d’avant-crise.
Cltalie demeure au deuxième rang des clients de la France avec des exportations françaises mondiales, derrière l’Allemagne (16,5%) et devant l’Espagne puis la Belgique. Elle se positionne également désormais comme le quatrième fournisseur de la France avec une part de marché de derrière l’Allemagne la Chine et la Belgique La France maintient son rang de deuxième fournisseur de l’Italie. Il. Critères sectoriels Les animaux importés sont soit des animaux de race pure, soit des croisés, moins chers ? importer des quantités croissantes de viandes bovines. La France premier fournisseur de l’Italie
L’Italie a modifié en bonne partie ses circuits dimportations traditionnels en provenance des pays de l’Est pour se tourner vers le seul pays capable de lui fournir la « matière première animaux vivants » : la France. Le consommateur italien recherche une viande claire, peu grasse provenant d’animaux jeunes. Cependant, la part de marché de la France régresse au profit essentiellement de la RFA Les races à viandes françaises et croisées commencent à être bien connues en Italie et si elles sont appréciées pour leurs performances, en revanche elles sont considérées comme chères parfois sujettes à des problèmes anitaires.
Les entreprises se tournent vers l’international pour faire face à la crise du secteur au niveau national. L’Italie est importatrice de viandes bovines (500 000 T ; Cela représente un marché de 12 milliards de FRF) et de viandes porcines (environ 6,3 milliards de FRF). L’Italie demeure le principal débouché de la France, elle absorbe près de 95% de nos exportations d’animaux et de nos exportations de viandes bovines fraîches. Les importations de viandes ont atteint en Italie des volumes très importants qui représentent actuellement plus de de la consommation italienne. 8