géographie

Sources : « La démocratie » & « Clivages et partis » Fondation Roi Baudouin, CRISP, 2008, Bruxelles Questionnaire A – La démocratie 1) Quelles sont les trois grandes composantes de tout régime démocratique ? 1/ Le respect de droits fondamentaux des citoyens, aussi appelés droits de l’homme qui consacrent un certain nombre de libertés individuelles et collectives. / Le recours au suff libres qui permet à I op. Ripe next page politiques ou pour pe directement ses déci dre d’élections ses responsables de prendre 3/ Le recours, pour prendre les décisions politique à la règle de la ajorité Ces trois composantes reposent elles-mêmes sur deux principes • l’égalité entre les êtres humains et la liberté individuelle. 2) Qu’est-ce que la démocratie ? Développez. ? La démocratie reconnaît la diversité des individus et des groupes, le pluralisme de leurs valeurs et de leurs intérêts, et démocratie des régimes autoritaires, des pouvoirs héréditaires et des théocraties reposent sur un principe fondamental : le pluralisme, la reconnaissance de la diversité de groupes qui composent la société et de la diversité des idées défendues par es citoyens ou par les organisations qui regroupent des citoyens. 3) Qu’est ce que le pluralisme ? ? Il n’y a pas de démocratie sans diversité… Les caractéristiques qui distinguent la démocratie des régimes autoritaires, des pouvoirs héréditaires et des théocraties reposent sur un principe fondamental : le pluralisme, la reconnaissance de la diversité de groupes qui composent la société et de la diversité des idées défendues par les citoyens ou par les organisations qui regroupent des citoyens. » 4) A l’aide de la page 101, remplissez le tableau ci-dessous afin de éfinir les différents types de gouvernements.

Lettre 6 11 2 000 électeurs sur 6 069 321 habitants = % (1890) 1893 > suffrage universel masculin, avec vote plural, 25 ans minimum 1 370 687 électeurs sur 6 341 958 habitants = 21,6 % (1894) 191 9 (loi) — 1921 (Constitution) > suffrage universel masculin, 21 ans minimum 2 102 710 électeurs sur 7 401 353 habitants = 28,4 % (1919) 1948 > suffrage universel élargi aux femmes, 21 ans minimum 5 635 452 électeurs sur 8 625 084 habitants = 65,3 % (1949) 1981 > âge minimum abaissé à 18 ans 877 466 électeurs sur 9 854 589 habitants = 69,8 % (1981) 1998 > droit de vote des Belges établis à l’étranger 8 Belges établis à l’étranger inscrits lors de la première application (1999) après réforme de la loi de 1998, environ 120 000 inscrits établis à l’étranger Le corps électoral s’est encore élargi après cette dernière réforme, mais à un degré bien supérieur aux conséquences engendrées par l’octroi du droit de vote aux Belges de l’étranger . e sont des évolutions démographiques qui jouent, ainsi que l’assouplissement des règles d’acquisition ou d’octroi de la ationalité belge. À la dernière élection de la Chambre, il y avait 7 721 322 électeurs sur 10 584 534 habitants, soit 72,9 % (2007). Annexe – Extraits de la Déclaration Universelle de la démocratie : 3 n’imaginait avoir besoin d’organisations telles que les partis pour mettre les procédures électorales en œuvre, et notamment pour sélectionner des candidats, animer les campagnes et mobiliser les électeurs. 7) Quels sont les partis des trois grandes tendances politiques traditionnelles en Belgique ? A quelles dates voient-elles le jour ?

Le suffrage universel est instauré, par étapes, à partir de 1893, alors que le parti libéral est créé en 1846, qu’une première forme d’organisation d’un parti catholique s’opère en 1884 et que le POB (Parti ouvrier belge) naît en 1885. Les partis représentant les trois tendances politiques traditionnelles en Belgique, et qui sont les ancêtres directs de formations toujours actives aujourd’hui, sont donc antérieurs à Finstauration du suffrage universel 8) Donnez la définition d’un clivage. Le terme de clivage désigne une division profonde à l’intérieur ‘une société, qui se traduit par des tensions persistantes, ainsi que par la création de groupes et de partis qui s’opposent les uns aux autres sur l’objet du conflit. n clivage est donc, par excellence, une réalité historique, qui apparaît à un moment et à un endroit donnés, et qui est susceptible d’évoluer, voire de disparaitre. 4 prééminence de l’Église aux tenants d’un État neutre et laïque, notamment quant à leur rôle respectif en matière d’enseignement, d’assistance et d’éthique. 2/ Le clivage possédants/travailleurs, qui oppose les bénéficiaires e l’industrialisation et de la propriété privée des capitaux aux prolétaires et aux salariés. 3/ Le clivage industrie/agriculture ou ville/ campagne, qui oppose les défenseurs des intérêts industriels et urbains aux défenseurs des intérêts agricoles et ruraux. / Le clivage centre/périphérie, qui oppose les tenants d’un État unitaire, voire centralisé, aux tenants d’une autonomie des régions périphériques ou du respect des langues régionales ou minoritaires, autonomie et respect qui peuvent passer par un cadre fédéral. 1 1) De manière générale, comment naissent ces clivages ? Les clivages naissent de situations de domination ou de déséquilibre vécues comme inacceptables par ceux qui estiment en être victimes et qui finiront par s’organiser au sein de partis politiques pour corriger cet état de fait. 12) Quel est le rôle des questions éthiques dans les programmes des partis politiques ? Donnez trois exemples. S sont les trois décisions fondatrices très contestées et à la base de l’idée d’une unité nationale ? 15) Qu’est-ce que le clivage « communautaire », de quand date-t- il, et quelle en sont les deux moteurs ?