Mode : Manière de s’habiller à un moment, à un endroit particulier. La mode dans la société . Dans le monde d’aujourd’hui, la mode revêt des significations très importantes, que ce soit sur le plan de l’identité, de l’expression et de la créativité. Ce n’est qu’en comprenant les motivations des créateurs de mode et de la nature du message qu’ils entendent faire passer que l’on peut apprécier pleinement leurs créations.
La société a donné aux vêtements et à la mode un sens qui dépasse largement sa fonction utilitaire, elle sert à définir ‘identité de celles et culture. L’industrie internatio mais elle a déjà conn l’indiquent les mots OF4 p g et leur place dans la ivement récente, ents. Comme ode a tout d’une coutume, ou dune habitude, à ceci près qu’elle ne valorise pas la tradition, mais au contraire la nouveauté, le « moderne ». C’est vers le milieu du XIXème siècle qu’elle fait ses premiers pas.
Charles Fréderic Worth, fabricant de tissus en Grande-Bretagne, s’installe et fais ses debut de la haute couture a Paris en 1845. Il ne lui faut pas longtemps pour persuader une riche clientèle ourgeoise et aristocratique que l’élégance vestimentaire est un bon moyen d’attirer l’attention et le respect. Il eu pour la première fois l’idée de faire défiler ses modèles sur des mannequins, appelée Swige to vie' » next page appelées autrefois « sosies ». L’objectif est de faire découvrir la mode aux dames de l’époque, via l’échange de ces figurines habillées.
Elles diffusent la mode parisienne. Vers le milieu du XXème siècle, la mode devient progressivement un phénomène de société incontournable. La mode masculine La mode masculine est influencée à partir des années 1780, par ‘Angleterre où de nombreux aristocrates vivent à la campagne et privilégient des vêtements pratiques comme la redingote le gilet court, les bottes de cuir. Les vêtements se simplifient sans pour autant cesser d’être ornés dans les fêtes officielles et à la Cour impériale. a mode masculine est toujours inspirée par le chic anglais sobriété des couleurs et des formes. Le pantalon, héritage de la Révolution, est généralement porté et la culotte est abandonnée petit à petit. On porte de grandes capes et le chapeau haut de orme devient l’accessoire indispensable de tout homme qui se respecte jusqu’à la première guerre mondiale. Le chapeau En plus du traditionnel haut de forme, le chapeau dit « claque » est inventé. Celui-ci contient d’abord un aspect pratique puisqu’il est possible de le plier et de le déplier à sa guise.
Ajoutons à cela le chapeau estival que l’on appelle aussi canotier qui lui est beaucoup plus simple et décontractée La bourgeoisie se distinguait des hommes plus modestes par des différences subtiles, comme la qualité des tissus et les accessoires : un revers e col brodé une chainette d une très haut 2 des tissus et les accessoires : un revers de col brodé une chainette d une très haute qualité, ou des gants de cuir qui faisait tracté. toute la différence.
La mode feminine es femmes adoptent les robes à la grecque c est a dire des robes à la taille haute remontée sous les seins et largement décolletée que couvre une veste courte appelée spencer ou un long châle de cachemire. Ces robes d’abord à longue traine, deviendront de plus en plus courtes et auront un corset qui adopte la forme d’un cône. Les manches deviennent de plus en lus bouffantes et pour les rendre encore plus volumineuses, on les double avec du carton, ce qui a l’avantage de rendre la taille encore plus mince se sera époque du style romantique.
En France, à la mort de Napoléon Ier en 1821 époque empire avec un style néo-classique qui nécessité de matière transparente est abandonné et la taille reprend peu à peu sa place normale car elle est beaucoup plus affinée et elle mettra en valeur le ventre. Sous Charles X (1825-1830), les jupes se raccourcissent à la cheville et gagnent en volume. De plus en plus les femmes vont ouloir se faire belle alors la tendance de I élégance va prendre le dessus ce qui va former un terme pour le raffinement : dandy.
Les chapeaux prennent des proportions gigantesques, couverts de plumes et de rubans. La robe à crinoline (milieu 19ème siècle)est une armature métallique sert à soutenir le jupon et le faire gonfler. La robe à tournure, ou faux-cul. fin 19 3 La robe à tournure, ou faux-cul. (fin 19eme) Cest à partir du XIXème siècle que l’on voit de nouveau du changement, à commencer chez les hommes. Leur costume devient de plus en plus sombre et sobre. Il faut souffrir pour être belle ».
Voici une expression qui caractérise à merveille les robes de ses dames durant l’IIIe République (1870-1945). L industrie textile fera des progrès notamment du cote des couleurs grâce au synthétique que la bourgeoisie adoptera vite. Au milieu du 19 eme siècle les vêtements de sport seront de plus en plus rependue même si auparavant ils existaient déjà car on les appelée des tailleurs (amazones). Au 19 eme siècle plusieurs styles se sont succédés comme la mode victorienne, la mode édouardienne, les tournures, les rinolines qui ont permis le volume des robes.
Jamais la mode n’a été autant à la mode qu’aujourd’hui ! Elle est partout : dans la rue, dans les vitrines, dans les magazines, à la télévision, sur Internet, portée par les stars de la musique, du sport et du cinéma. Éphémère, changeante et futile, la mode est aussi foisonnante, fascinante et profonde… Elle est un art, un artisanat et une industrie. Elle est l’expression d’une époque. Elle est aussi le reflet du rapport que nous entretenons avec notre apparence… « La mode est avant tout un art du changement. » John Galliano 4