Image de l’autre

‘image des « noirs » dans le cinéma. — da A travers le temps, I l’esclave de « race » i discriminée. Cette vis cinématographique. leurs premières appa gé, passant de e humaine non l’industrie caricaturés lors de passant de rôles des ennemis des personnages principaux (blancs) aux premiers rôles de films connus dans le monde entier. L’étude portera sur l’évolution du point de vue du noir dans le cinéma.

Dans cette étude, nous allons voir quatre films qui expriment parfaitement cette évolution : deux film plutôt anciens dans lesquels le noir joue, soit le rôle du « méchant l’ennemi du ? gentil blanc » dans La naissance d’une nation, soit un second rôle avec Pulp fiction. Puis, dans un deuxième temps, nous verrons des films récents, dans lesquels le noir a un rôle prédominent. C’est un héros dans Je suis une légende ou alors dans une rétrospective des années 1960 au sud des États-Unis avec des domestiques noires qui se rebellent dans La couleur des sentiments. our finir, nous ferons une synthèse de ces quatre films en démontrant que l’image du noir a énormément évolué ces sorti cinquante ans après la fin de la Guerre de Sécession. Il est considéré comme le premier long métrage de l’histoire du inéma. Dans ce long-métrage, deux familles sont de points de vue opposés : les Cameron, sudistes favorables à l’esclavage, et les Stoneman, nordistes étant en faveur de l’abolition de l’esclavage, dans le cadre de la Guerre de Sécession.

Un jour, la maison de la famille Cameron est mise à sac par une milice constituée de soldats noirs et d’un officier blanc. La famille est secourue par un groupe de soldats confédéré. Entre temps, deux fils de la famille Cameron meurent à la guerre, et le seul fils restant, Ben Cameron, ayant été inspiré par des enfants blancs ffrayant des noirs en se déguisant en fantômes, invente le Ku Klux Klan, pour inverser l’ « impuissance des blancs Entre- temps, Gus, un ancien esclave noir, propose d’épouser une des filles Cameron, Flora.

Celle-ci refuse, et effrayée, s’enfuit dans une forêt, pourchassée par le noir. Ben décide d’agir avec le Ku Klux Klan et tue celui-ci. Dans ce film, le Ku Klux Klan est mis en valeur, en tant que justicier et protecteur des innocents sudistes maltraités par la menace « noire On peut voir sur l’affiche de cette œuvre, le chevalier du Ku Klux Klan, présenté en tant que sauveur contre ‘ennemi venant du Nord. Ce film provoqua d’ailleurs la renaissance de ce groupe, qui avait disparu avant la sortie de ce long métrage.

Les noirs sont donc désignés en tant qu’opportunistes, de vandales et de barbares alliés aux nordistes. Le réalisateur mon 2 tant qu’opportunistes, de vandales et de barbares alliés aux nordistes. Le réalisateur montre clairement son point de vue ici, en indiquant son adhérence au Ku Klux Klan et à l’esclavage. Celui-ci essaya de défendre son film et son point de vue devant la justice, sans succès. Ce film a été très critiqué pour ses références racistes, ce qui rovoquera son interdiction dans plusieurs villes des Etats-Unis.

Cela incita Griffith à réaliser un autre film au titre explicite : « Intolérance Pulp fiction est un film sorti en 1 994 et réalisé par Quentin Tarentino. C’est un film de gangsters ayant connu un succès énorme. Ce film présente 3 histoires entremêlées dont les personnages sont des membres de la pègre de Los Angeles: « The Bonnie Situation », « Vincent Vega & Marsellus Wallace’s Wife »et « The Gold Watch’ Il présente un style récurent du réalisateur, la violence, le jeu des couleur assez limité et les différentes histoires qui se rejoignent ; Ce film mélange la violence à quelques touches d’humour.

Il présente un casting digne des meilleurs films Hollywoodiens avec Bruce Willis et Uma Thurman, John Travolta et Samuel L. Jackson qui est un acteur noir qui fera l’objet de ce travail sur le film. Le personnage incarné par Samuel L Jackson est Jules Winnfield un bandit. Dans le film, cet acteur n’occupe pas le rôle principal de l’hisoire (The Bonnie Situation), il agit plutôt comme l’homme de main, le faire-valoir du son compagnon de crime: Vincent Vega ( John Travolta) Ceci peut nous amener à réfléchir sur la pla 3 compagnon de crime: Vincent Vega (John Travolta)

Ceci peut nous amener à réfléchir sur la place de l’acteur noir dans les films des années 90′. Jules Winnfield n’est qu’un acolyte, qui assiste Vincent Vega « Le blanc » . Il n’est qu’un homme à tout faire, il ne donne pas les ordres, ce n’est qu’un gangster de bas étage. Sans son supérieur, il ne peut rien faire. Samuel Jackson dans ce film représente une sorte de stéréotype du « noir » dans ces années 90′. Il porte une barbe et des cheveux semi longs et bouclés, et porte un costume très classique.

Ce film est un exemple du rôle de l’acteur noir dans le cinéma , encore dans les années 1990, l’image donnée du noir n’est pas rès positive, il est représenté comme un méchant, peu intelligent (comme le « buck », la brute dans Naissance d’une nation en 191 5) . Il n’est pas montré comme un héros dans le monde du banditisme. On ne peut pas dire qu’il soit montré comme l’esclave du blanc mais l’idée n’est pas très éloignée (comme le « Tom » qui est le « bon nègre » des premiers films ou apparaissaient des acteurs noirs) .

La couleur des sentiments est une belle illustration du changement de l’image du noir dans le cinéma. Dans ce film, le noir n’est pas considéré comme un héro au sens propre, ce film s’apparenterait plus à une sorte de documentaire visant ? ermettre aux gens de ne pas oublier les horreurs qui ont été faites aux noirs jusque dans les années 1960 I s’agit en fait de la réadaptation d’un livre au cinéma. Il raconte l’histoire de trois domestiques noires qui s 4 réadaptation d’un livre au cinéma.

II raconte Ihistoire de trois domestiques noires qui s’occupent de la maison et d’enfants de femmes blanches, des femmes mondaines sans emplois qui préfèrent jouer au bridge plutôt que d’élever leurs enfants. Ces femmes font preuve d’un racisme sans équivoque à l’égard de ces femmes noires qui élèvent pourtant leurs enfants. L’une es domestiques dit d’ailleurs « quand les enfants ont 5 ans, je change de maison car c’est à ce moment qu’ils se rendent compte que je SUIS noire. » Cette phrase a clairement pour but de montrer que l’on ne naît pas raciste, on le devient.

Nous sommes pourtant dans une Amérique qui n’est plus raciste, -elle est censée l’être du moins- dans les années 1960, l’esclavage est aboli depuis 1865 mais cependant, il a Vite été remplacé par la ségrégation raciste. Pendant cette ségrégation raciste, noir et blancs sont théoriquement égaux, mais dans la pratique, ils sont toujours séparés. Les familles blanches font par exemple construire des toilettes spécialement pour leurs domestiques noires pour ne pas attraper leurs microbes, les microbes de ces mêmes femmes qui élèvent leurs enfants.

Cependant, et c’est en cela que le film est vraiment intéressant, ces femmes vont se rebeller. Elles vont montrer qu’elles ne sont pas inférieures aux blanches, mais elles sont d’autant plus habiles qu’elles ne se révoltent pas par la force ! Réelle preuve d’intelligence. Elles vont, à l’aide d’une jeune femme journaliste, écrire un livre afin de dénoncer cette situation, de faire savoir ? S jeune femme journaliste, écrire un livre afin de dénoncer cette situation, de faire savoir à la population du nord des États-Unis où cette pratique n’existe plus, qu’elle est encore présente dans le sud.

Dans ce livre, elle vont non seulement dénoncer les injustices qu’elles subissent mais elles vont aussi se moquer des femmes blanches avec des anecdotes assez drôles. Je suis une légende a été réalisé par Francis Lawrence en 2007 . C’est un film américain de science-fiction racontant la vie de Robert Neville -interprété par Will Smith- un scientifique mondialement reconnu. Ce film a reçu un énorme succès en France près de 3 millions avec d’entrées et un bénéfice de 584 millions de dollars au box office mondiale pour un coût de 150 millions .

Il a été nommé à 5 reprises et a reçu 3 prix dont le prix du meilleur Film d’Horreur/ Triller et pour Will Smith le prix du meilleur acteur et du meilleur acteur dans un film d’HorreuMTriIler. Caction se passe dans un New-York post-apocalyptique à cause d’un virus qui a eu pour conséquence de transformer les humains en une espèce de zombie, seul Robert Neville est immunisé pour une raison inconnue. Durant toute la durée du film il tente de rouver un remède contre cette maladie et fini même par se sacrifier pour protéger son remède et donc sauver l’humanité.

Ce film montre bien révolution du noir au cinéma du fait que dans ce film Will Smith est l’acteur principal et est même considéré comme un héros voire même une légende . Tout ceci a été possible grâce à Malcom X et Martin Luthe considéré comme un héros voire même une légende . Tout ceci a été possible grâce à Malcom X et Martin Luther King qui ont donné énormément de droit au noirs. Mais Will Smith n’est pas le seul acteur noir connu il y aussi Samuel . Jackson, Morgan Freeman, Denzel Washington, Martin Lawrence et Eddie Murphy .

On a pu voir à travers ces quatre films que l’image du noir a énormément changé depuis le début du YO<è siècle dans le cinéma. Ces films nous ont permis de constater que le « noir » est passé d'une image négative, d'un second rôle, à un personnage clé dans la majorité des films, surtout dans les films américains dont Je suis une légende est un très bon exemple. En effet, ces films étaient inimaginables il y a quelques années, mais c'était sans compter sur de grands hommes comme Martin Luther King, Barack Obama...

Ils ont, par leurs actions fait que les personnes « noires » soient aujourdhui aussi populaires et importantes que les personnes blanches . Cela se traduit par exemple par l’attribution à des acteurs noirs des premiers rôles de cinéma mais également leurs places en général dans les films. Ils ne jouent plus automatiquement le rôle du « méchant » ou du « second » du personnage blanc. Cependant, ce changement d’image n’est pas une exclusivité du cinéma, c’est le reflet de notre société, société qui, on le voit, a énormément évolué. Le racisme est toujours présent mais de moins en moins, et il finira bien par s’estomper.