monologue. Ce com les sentiments d’Arn he jalousie. Tout d’abord Molière Commentaire École des femmes Molière Premium By Suisse5 1 Oeapan9 28, 2015 a pages D’une pièce de théâtre le monologue est une scène où un personnage, seul, se parle à lui même. Généralement son rôle est de montrer le bouleversement de l’âme, il révèle les tourments d’un personnage en exprimant ses sentiments. Nous allons nous tourner sur un monologue à fonction dramaturgique qui sert ? souligner l’importance d’une décision prise par un personnage.
Ici Arnolphe dans L’École des femmes de Molière, comédie eprésenter pour la premiere fois au théâtre du Palais Royal ? Paris le 26 décembre 1662. Dans l’acte 4, scène 1 il exprime son amour, sa colère ainsi que sa jalousie. Nous nous demanderons comment le personnage exprime ses sentiments à travers le p g ux parties analysera la colère et la ur exprimer l’amour d’Arnolphe envers Agnès. En effet, il se fait « mille soucis » (V. 1009) et « [son] esprit s’embarrasse » (V. 1009), le personnage éprouve un amour fort. Plus [il] la voyais tranquille plus [il] sentais en lui s’échauffer une bile » (V. 1016). On voit ici une a aphone qui vient enforcer le sentiment amoureux grandissant de Arnolphe. Son « coeur’ (V. 1018) « s’enflamme » (V. 1018), cette hyperbole insiste une nivelle fois sur l’amour éprouvé. Arnolphe est « aigri, fâché, désespéré » (V. 1020) pourtant « jamais ses yeux aux [siens] Swile to Wew next page [siens] n’ont paru si perçant, jamais [il] n’eu[t] pour eux de désirs si pressants » (V. 1022-1023). Jamais » et « si » sont répété deux fois et on observe un parallélisme entre « perçants » et « pressants », cela renforce ce que dit Arnolphe. Le personnage se rend compte au fur et à mesure de son monologue que plus Agnès est nnacesible et plus il l’aime. Il veut « crever » (V. 1024) si il n’arrive pas à la « mariée » (V. 1034). Cette tournure hyperbolique ainsi qu’une rime plate entre « crève » (V. 1024) et « s’achève » (V. 1025) appuie sur la force de l’amour qu’il éprouve, il est prêt à tout pour elle.
On comprend donc bien comment le personnage exprime son amour et on constatera donc que ce monologue rempli très bien son rôle. On peut ensuite analyser deux autres sentiments dominants chez le personnage principal : la colère et la jalousie. En effet, après une première partie de dix huit ligne sur l’amour on observe un hangement de sentiment orienté sur la colère et la jalousie. Ce changement est marqué par la question rhétorique « quoi (V. 032),Arnolphe revient à la réalité. Il réalise que « la traîtresse » (V. 101 2) met à plat tout ces efforts. Il a « dirigé son éducation » (V. 1026) avec « tendresse » (V. 1027) et « precautlon » (V. 1 027), il l’a adopté « dès son enfance » (V. 1028) et « chérie la plus tendre espérance » (V. 1029). Tout cela pour qu’un « jeune fou » (V. 1032) don’t Agnès « s’amourache » (V. 1032) lui enlève sa bien aimé « sous la moustache » (V. 1034). On comprend la colère d’Arnolphe 2