Sujet : De nos jours, les intellectuels africains expliquent le sous-développement des pays par le manque de ressources financières. Il suffit, à les écouter, d’injecter des capitaux dans ces pays pour amorcer leur développement. Discutez cet avis Tel un grabataire, le continent africain se voit devenir l’objet de toutes les attentions qui apporteraient remède efficace ? son sous-développement, ce mal qui le ronge et qui fait de lui une proie facile pour les prédateurs de tous ordres.
Des nombreuses formules lui ont été appliquées mais jusqu’à présent, la solution miracle se fait toujours attendre. Cest alors que les ntellectuels de ce continent, ceux sur qui reposent justement les espoirs de tout ce peuple, semblent avoir trouvé l’origine du Mal. Pour eux, cette I de ressources financi seul un apport financ du développement. L t-il à une question de Swp next page t liée au manque ils estiment que ttra sur les rails frique se résume- Il conviendra donc de se demander ce que l’argent peut apporter au juste au développement des Etats.
Aussi, il serait bon de voir si cet argent si convoité n’est pas plutôt un moyen parmi tant d’autres pour sortir l’Afrique de la tourmente. L’argent, les ressources financières dont manque cruellement le ontinent africain peut constituer une véri ShAipe to Wew next page véritable bouffée d’air pour les différents pays, une aide qui pourrait permettre une véritable émergence à plusieurs égards. En effet, tout développement étant basée sur les ressources humaines, il faut que cette ressource soit formée afin dé permettre la mise en œuvre des programmes de développement conçus.
Et il est connu de tous qu’une formation efficace, est une formation rigoureuse qui exige d’énormes investissements tant en matériels de formation qu’en personnel enseignant qualifié. Aujourd’hui, la plupart des pays africains , par manque e laboratoires équipés sont contraints d’envoyer leurs étudiants se former à l’étranger ; Cela réduit du même coup le nombre de personnes à former alors que l’on souhaiterait avoir ces laboratoires en Afrique pour former plus d’étudiants. Aussi, l’efficacité de la ressource financière dépend de son état de santé.
Cela suppose que la santé des populations doit être une priorité pour les Etats. Mais, les ressources limitées de ces pays font que les fonds alloués à la santé ne peuvent assurer la couverture sanitaire des populations. une population malade c’est indubitablement un pays et un continent malade. La réalité est très palpable lorsqu’on se rend compte aujourd’hui que des maladies comme le paludisme et l’onchocercose invalident des braves personnes dans les campagnes surtout parce qu’elles n’ont pas accès aux soins adéquats, on peut imaginer le déficit que cela peut créer au niveau des productions agricoles.
Enfin, un dévelo 2 OF s imaginer le déficit que cela peut créer au niveau des productions agricoles. Enfin, un développement s’appuie sur des projets élaborés par les concepteurs africains ou internationaux. Mais quelle que soit la pertinence du projet, sa mise en œuvre est une question de oyens et souvent des moyens que les petits budgets de nos Etats ne peuvent supporter. Il faut alors faire appel à des fonds extérieurs pour en venir à bout.
Ainsi, rares sont les chantiers de constructions à travers nos villes qui ne portent pas la marque des pays comme le canada, la France, la Chine Taiwan ou des institutions comme la Banque Mondiale ou Le Fmi qui viennent en appui. Mais apparemment, ces financements n’ont pas encore atteint le niveau souhaité par les intellectuels africains. Comme nous pouvons le constater, le développement auquel aspire l’Afrique pout avoir sa solution dans un financement onséquent de la part de l’extérieur.
Mais, vu un certains nombre de constats, il est à se demander si ces fonds à eux seuls peuvent produire leur effet s’ils ne sont pas soutenus par des mentalités sérieuses. La responsabilité des africains semble tout aussi grande dans le processus de développement qu’ils veulent entreprendre. Ce n’est plus un secret pour personne que le continent noir est longtemps soutenu, mais le mode de gouvernance fait que rien de satisfaisant ne sort de tous les efforts consentis par les amis de l’Afrique. Les Africains sont passés maitres dans l’art de tordre le cou à toutes les 3 OF s
