LA CIRCUL DS VAISSEAUX SG cours 2 LA CIRCUIATION DANS LES VAISSEAUX SANGUINS La circulation est assurée par l’appareil cardiovasculaire, comprenant la fois le cœur et les vaisseaux sanguins. II existe trois grandes catégories de vaisseaux sanguins les artères Travaux De Fin o Exercice Premium 3- L’ Inventalre comptable A- Enregistrement des écritures d’ Inventaire (travaux de régularlsanan) Enregistrement des écritures de régularisation des comptes d’ImmoblIlsanans corporelles et Incorporelles A-1-1 Les amortisse…
Exposé Thème I : La France Entre Guerre et Paix Sujet Le plan Vigipirate Créé n 1 97E sous la présidence de Valéry Giscard d’Estaing. le plan Vigipirate peut se définir comme un dispositif de sécurité français visant a prévenir les menaces „ Recueil données Prem lum FTAT CIVIL Prénom : Sexe : F Née le Domicile de la mère : Autorité parentale platement en crèche était désiré la personnes habilitées à reprendre l’enfant : Adaptation à la crèche Autorisation de sortie hors de VACCINATION Principes Et strat Gies Module IV 1 LA VACCINATION Pr. Jaafar HEIKEL Msc. PhD. MBA ( sources OMS, Agence Canadienne Pour la santé MS. INVS) 2015 IMPORTANCE A l’exception de l’eau otable. il n’y a rien d’autre, méme pas les antibiotiques, qui ait eu un effet si Loi2janvier2002 vascularisés par un vaisseau afférent et un vaisseau efférent, sauf le foie. Le foie, en plus d’un vaisseau afférent (artère hépatique, apportant du sang hématosé), est irrigué par la veine porte hépatique, qui amène du sang non hématosé (riche en nutriments, provenant de l’intestin). Système porte : réseau veineux reliant les capillaires de l’intestin ? ceux du foie.
Le sang non hématosé quitte le foie par un vaisseau afférent, la veine sus-hépatique 2 vaisseaux sanguins Les artères, veines et capillaires ont des structures communes et des particularités en lien avec leur fonction spécifique. 3 musculaires et artérioles : Leur média est riche en cellules musculaires lisses. Elles ont un rôle plus actif dans la vasomotricité. Les artérioles sont aussi capables de vasomotricité, elles déterminent l’écoulement du sang dans les capillaires, elles influencent de façon importante le débit sanguin dans les capillaires locaux. ) es capillaires Histologie Ce sont les plus petits vaisseaux sanguins (diamètre de 8 ? 10 pm). La paroi, très mince, n’est formée que de cellules ndothéliales reposant sur une lame basale. 4 Les veines Les veines amènent le sang des lits capillaires au cœur. Au fur et à mesure, le diamètre des veines s’accroît et leur paroi épaissit progressivement. Elles sont constituées des 3 tuniques : intima, média, adventice. La paroi des veines est toujours plus mince et leur lumière toujours plus grande que celles des artères correspondantes. ntima : endothélium reposant sur une lame basale. On distingue des valvules, qui sont des replis de l’intima. média : mince, contient des cellules musculaires lisses et des fibres élastiques. Adventice : robuste (contie ne), souvent plus épaisse S pour le cœur, d’un facteur IO pour les muscles squelettiques, d’un facteur 4 pour la peau) et diminue dans d’autres (d’un facteur 2 pour les reins, abdomen) Interprétation Le débit ne change pas dans le cerveau car il doit être alimenté en permanence de façon constante (organe vital).
Il diminue dans les organes ne participant pas à l’exercice musculaire (reins, abdomen) et augmente dans ceux qui y interviennent (muscles pour les contractions musculaires de l’exercice, cœur pour l’alimentation accrue de ces organes et eau pour la dissipation de la chaleur engendrée par l’exercice musculaire). e débit sanguin peut varier localement grâce : à la vasomotricité des artérioles, rendue possible grâce aux cellules musculaires lisses de la média aux sphincters précapillaires, qui peuvent plus ou moins alimenter les lits capillaires (le volume total du sang est insuffisant pour remplir la totalité des vaisseaux.
Cest le système neurovégétatif qui joue sur la vasomotricité des artérioles et sur les sphincters précapillaires pour diriger le sang vers les organes prioritaires. Conclusion • Le sang se répartit différemment lors de l’effort musculaire, selon les organes qui participent ou non à cet effort musculaire. Le débit sanguin s’ajuste très précisément au fonctionnement de chaque organe en fonction de ses besoins. Ill. LA PRESSION ARTERIELLE 1.
Les pressions systolique et diastolique A chaque systole, un volume im ortant de sang afflue dans les artères systémiques. L guine s’élève : c’est S artérielle systolique, qui est la pression maximale exercée sur la paroi des artères. La paroi de l’artère est distendue. Lors du relâchement du cœur (diastole), le sang s’écoule rogressivement vers les artérioles, la paroi n’est plus distendue. La pression diminue, c’est la pression artérielle diastolique qui est la pression minimale exercée sur la paroi des artères.
La pression artérielle est exprimée par la différence entre ces deux pressions : 120 mm Hg / 70 mm Hg, d’où les chiffres énoncés : 12/7. Définition : la pression artérielle est la pression sanguine moyenne du réseau artériel au cours d’un cycle cardiaque. Sa valeur est comprise entre la pression systolique et la pression diastolique. 2. Mesure de la pression artérielle Mesure directe : par cathétérisme (insertion d’une canule connectée à un transducteur de pression).
Ceci est uniquement réalis hirureie cardiaque par mesure s’effectue en trois temps : 1. La poire permet de gonfler le brassard jusqu’à une pression suffisante pour stopper la circulation dans l’artère humorale, « écrasée » par les tissus environnants ; Pabsence d’écoulement se traduit par un silence stéthacoustique. 2. Le praticien relâche progressivement l’air du brassard jusqu’? l’audition d’un bruit, dit bruit de Korotkov, correspondant à un écoulement turbulent dès que la pression artérielle devient upérieure à celle du brassard.
La valeur indiquée alors par le manomètre est celle de la pression systolique. 3. La diminution de pression dans le brassard conduit à la disparition des bruits de turbulence, ce qui signifie le passage ? un écoulement laminaire : la pression mesurée est la pression artérielle diastolique. Remarque : le passage d’un écoulement turbulent à un écoulement laminaire est difficile à apprécier. La valeur de la pression diastolique est donc plus souvent entachée d’erreur. Valeurs normales Pression systolique : pression maximale = 120 mm Hg (16 kPa)
Pression diastolique : pression minimale = 70 mm Hg (9,2 kPa) D’où les valeurs annoncées par le médecin : 12/7 Ces données varient avec le moment de la journée, la position du corps, le sexe et l’âge de l’individu. La nuit, la pression artérielle tend à baisser ; elle s’élève avec l’âge et est habituellement plus élevée chez la femme que chez Phomme. On parle d’hypertension pour une ression artérielle supérieure ? 14/9 et d’hvpotension si la olique est inférieure à 100 8 On parle d’hypertension pour une pression artérielle supérieure ? 14/9 et d’hvpotension si la pression systolique est inférieure à 100