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cours vrd sommaire INTRODUCTION I -Les fuites et leurs causes CHAPITRE I- Les réseaux de distribution I- Classification des réseaux 2- Les Conduite principale de distribution 3- Les conduites secondaires distribution 4- Choix des matéria… nnnnnnnn Premium Actlulté expérimentale: comprendre l’électrisation de la matière. Objectifs : réaliser et Interpréter des expériences simples d’électrlsanan. Lorsque Ion peigne des cheveux secs avec un peigne en plastique, on observe que les chev.. _ rapport de stage DEAVS DF2 évaluation du pouvoir et cartographie des parties prenantes le cas deTaIIman

GmbH L’évaluation du pouvoir des parties prenantes est une étape de leur cartographie, Parties prenantes internes Faible EzÉIeué(e) In… Regards croisé sur la douleur Regards croisés sur la douleur Dr Le Breton : Fxpériences de la douleur Rien de plus intime biologique que la le seuil de l’aurifère n’est pas le même la douleur n’est pas ressenti au même moment, n’est exprimé, ni dit de… Analyse de poème « Ennemi de Baudelaire L’Ennemi : poème qui se trouve dans la section Spleen et Idéal qui est la plus importante par le nombre de poèmes qu’elle contient.

Elle décrit un ?tat intenable et l’on remarque que les poèmes présents dans cette section re… La danse dans le jardin de Deduit La nécessité de transporter de l’eau sur de longues distances pour couvrir les besoins des grandes concentrations urbaines est très ancienne. Avant les Romains grands constructeurs d’aqueducs, les vieilles civilisations Hindoues et Assyriennes avaient réalisé de longues adductions gravitaires plus d’un millénaire avant Jésus-Christ et avaient établi dans leurs villes des embryons de réseaux.

L’utilisation de conduites sous pression remonte ainsi à des rigines lointaines malgré les problèmes posés par la pression . les Romains utilisaient déjà des tuyaux en plomb pour traverser le Rhône en aval de Lyon. Les Incas canalisaient les sources au moyen de tuyaux constitués de deux énormes blocs de rocher superposés, assemblés par un plan et parfaitement ajustés dans lesquels étaient creusés deux demi-cylindres. De telles conduites de plusieurs kilomètres sont encore aujourd’hui en service.

On peut enfin citer pour les réseaux de distribution, les conduites en poterie et les tuyaux en bois assemblés comme les douves ‘un tonneau en Europe et aux USA, et ceux en bambou percé en Asie. Aujourd’hui les progrès des pompes et la diminution du coût de l’énergie depuis cinquante ans ont relégué le transport gravitaire à surface libre en canal à quelques cas très rares. Aussi dans cet ouvrage, on n’abordera que le cas des réseaux constitués principalement de canalisations. ‘association internationale de distribution d’eau (AI. D.

E), réalise en 1991 une étude selon laquelle, la quantité d’eau perdue transportée par les réseaux de distribution, se situerait entre 20 et de la production totale. Les fuites sont la cause première e ces pertes, celles-ci entraînant de fortes pertes économiques, des problèmes environne 2 OF SE première de ces pertes, celles-ci entrainant de fortes pertes économiques, des problèmes environnementaux, ainsi que des risques pour la santé. Devant tous ces facteurs il est important d’agir !!!! La nécessité d’économiser l’eau, pousse les exploitants à installer de nouveaux moyens permettant de détecter ces fuites.

Les programmes de contrôle, permettront essentiellement de surveiller les débits et de détecter les fuites. En effet ces vérifications permettront de déceler si la quantité d’eau perdue st abondante. C’est ici qu’entre en jeu les programmes de détection des fuites. Ainsi nos recherches nous poussent vers un nouveau procédé, encore peu connu, la corrélation acoustique. Cette méthode fait appel à un instrument, le corrélateur, qui permet, grâce aux vibrations du bruit émis par une fuite, de la repérer.

Méthode révolutionnaire, appropriée à nos besoins, et très économique, ce sera elle que nous exploiteront dans ce dossier, afin de présenter son fonctionnement, ses avantages, et sa performance dans des cas précis. 1-Les fuites et leurs causes . a- les malfaçons : Les malfaçons sont de nature à favoriser prématurément le vieillissement des conduites. Par exemple : – Les ruptures par flexion longitudinale entre deux points durs peuvent résulter de la présence de blocs rocheux ou de maçonnerie en contact avec le tuyau, ou de l’absence de lit de sable. Des corrosions localisées sont parfois dues à un revêtement mis œuvre par du personnel non qualifié. b- Caccroissement du trafic : L’accroissement du trafic routier en raison de l’augmentation de son intensité, ou du poids des ntes. La présence d’un 3 OF SE poids des charges roulantes. La présence d’un point rocheux peut engendrer des détériorations ponctuelles et amorcer des corrosions – particulièrement avec les tuyaux revêtus extérieurement.

Les vibrations du trafic routier peuvent également agir sur l’étanchéité des joints surtout si ceux-ci ont été mal réalisés : mauvais collage, serrage, caoutchouc pincé, présence de sable, soudure défectueuse, mauvais matage des joints au plomb, bagues mal coulées. c- Nature des terrains . Les effondrements et glissements de terrain peuvent avoir parfois des conséquences importantes : déboîtement de plusieurs éléments de tuyaux, vec une situation aggravée par l’érosion Importante causée par l’abondance des eaux de fuite.

Un matériau non adapté à la nature du sol peut se dégrader très rapide- ment. Il y a lieu de surveiller les travaux faits à proximité des canalisations exis- tantes : tranchée creusée pour la construction d’un bâtiment, coup de pioche malencontreux sur le revêtement d’un tuyau acier, ou sur un tuyau de plomb, d- Modifications de l’environnement • Parmi celles-ci on peut citer : – Les surcharges dues à des remblais importants qui peuvent causer des tassements différentiels et des cisaillements de conduite.

La modification de la salinité de la na pe phréatique (dans le cas 4 OF SE d’immeubles ou d’ouvrages importants, battage de pieux modifiant la compacité du sol ou créant des vibrations ou cisaillements de ter- rain. e- Nature de l’eau transportée Les eaux distribuées ne sont jamais dans des conditions d’équilibre par- fait. Les eaux sont soit agressives, soit incrustantes. Si les eaux sont agressives, des défauts ou malfaçons du revêtement inté- rieur peuvent favoriser la localisation et l’accélération des phénomènes de corroslon.

La nature des ressources en eau peut changer et une eau récédemment incrustante peut devenir agressive, c’est-à-dire qu’après dissolution de la couche calcaire précédemment formée, la corrosion intérieure se généralisera si aucune mesure de protection n’a été préalablement prise. Le lecteur trouvera les moyens de rectifier la qualité de l’eau pour éviter ces inconvénients. Enfin, les conduites peuvent être agressées par corrosion interne dues ? des phénomènes électrochimiques locaux entraînant en des endroits donnés une diminution rapide de l’épaisseur des conduites.

CHAPITRE 1: Les réseaux de distribution : 1- Classification des réseaux . On distingue deux types de réseau : – les réseaux ramifiés : réseaux dont les conduites ne sont alimentées que par une seule source située à l’amont. Un réseau ramifié se termine par des conduites en antenne. Au Iles n’a d’alimentation « s OF SE antenne favorisent les zones d’eau morte préjudiciables à la qualité de l’eau. – Les réseaux maillées . réseaux constitués de conduites raccordées a une de leurs extrémités, notamment aux intersections de voie.

Chaque tronçon bénéficie d’une alimentation en retour limitant ainsi le nombre de clients privés d’eau en cas d’avarie. Cette disposition est naturellement plus onéreuse mais plus fiable que la précédente (figure 2). Les réseaux ramifiés sont fréquents en zone rurale. Les réseaux maillés sont pratiquement généralisés en zone urbaine. Les réseaux de distribution sont constitués de conduites principales et de conduites secondaires. – Les Conduite principale de distribution : Les conduites principales de distribution ont pour origine un réservoir ou une station de pompage. Elles assurent l’approvisionnement des conduites secondaires. Elles ne comportent pas de branchements et le nombre de accordements aux conduites secondaires est limité au strict nécessaire, ceci afin de réduire le nombre des interventions éventuelles. Compte tenu des débits Importants qu’elles doivent assurer, elles sont rarement d’un diamètre inférieur à 300 mm.

Toutefois, leur calibrage est établi à partir de modèles mathématiques dont il est fait état au paragraphe ci-après. Les tuyaux utilisés seront . ChOlSlS en fonction de la pression à laquelle ils seront soumis, de la nature du terrain où ils seront placés, de la hauteur de recouvrement et de la facilité de mise en œuvre. 6 OF SE a liaison entre les conduites principales de distribution et les branchements. Le diamètre moyen d’un réseau de distribution varie entre 100 et 150 millimètres, avec un éventail allant de 40 à 300 millimètres.

Le calibrage dun réseau est fonction de la pression que l’on souhaite obtenir aux points de raccordement des branchements. Cette pression peut par exemple être comprise entre 3 et 7 bars. On veille également à ce que la variation de pression au cours de la journée n’excède pas 1 à 2 bars. Ce calibrage est généralement établi à l’aide de modèles mathématiques décrits au paragraphe i-après. 4- Choix des matériaux de canalisation : De nombreux types de tuyaux sont disponibles pour constituer une conduite.

On peut les classer en fonction des matériaux avec lesquels ils sont fabriqués : fonte grise ou fonte ductile, acier, béton armé à âme tôle, béton armé pré contrais , PVC , polyéthylène Le choix des réseaux utilisés est fonction de la pression et de la nature de la nature du terrain, des coûts de fourniture et de mise en œuvre, mais aussi de la facilité a réaliser les raccordements, le prises de branchement, les réparations en cas de fuit Les tuyaux en fonte enctile , en acier, en béton armé ? arme tôle. sont bien adaptés aux conduites d’adduction ou aux conduites principales de distribution.

S’agissait en général de conduites de fort calibre, iîs ont une bonne résistance ? l’écrasement. La réalisation de prises de branchement sur le béton armé ou racier est difficile et coûteuse. Cet inconvénient n’est pas rédhibitoire pour ce type de conduite puisqu’ils n’en comportent pas ou peu . * Les matériaux les mieux adaptés pour les conduites secondaires de dis OF SE pas ou peu . secondaires de distribution sont : Le polyéthylène PE BO conditionné en couronne ou en tourets pour les diamètres égaux ou inférieurs à 125 mm ; – Le polyéthylène PE 100 commercialisé en France à partir du diamètre 200 .

La qualité de la résine utilisée permet d’obtenir des épaisseurs plus faibles que le PE 80 pour une même pression de service, Le PE 100 plus rigide que le PE 80 et conditionné en barres ; – Le PVC à joints flexibles pour les diamètres égaux ou inférieurs à 200 mm : toutefois ce matériau demande quelques précautions demploi lors de la manutention et la mise en œuvre eu égard ? sa fragilité ; le MOPVC récemment apparu sur le marché ne présente pas ce caractère de fragilité ; – la fonte ductile à joints caoutchouc, du type standard ou express, est bien adaptée aux conduites de diamètres égaux ou supérieurs à 150 millimètres. Des joints verrouillés peuvent y être adaptés, évitant ainsi la confection de butées poids. II est vivement recommandé dutiliser des matériaux normalisés et de privilégier les fabricants adhérents à un système d’Assurance Qualité.

En France, les produits admis à la marque de Qualité NF répondent à cette exigence, notamment en ce qui oncerne leur aptitude à ne pas altérer la qualité de l’eau notable. Le tableau indique la fonction de chaque raccord, composant permettant d’adapter la conduite au tracé prévu au projet. Tableau- Fonction des différents raccords Nom du raccord Fonction Coude Changement de direction Cône de réduction Diminution du diamètre Manchon E Assemblage en ligne de 2 éléments cylindriques Té Raccordement à l’équerre d’une conduite sur une autre Bout dextrémité ou bride d’extrémité Permet à l’extrémité d’une conduite de c » de type d’assemblage . Les assemblages sont réalisés à l’aide de joints flexibles, de oints à brides, par soudure, par thermofusion ou encore par électrosoudage . Les joints flexibles : les plus courants sont constitués d’un anneau en caoutchouc logé dans l’une des extrémités dun tuyau ou d’un raccord, évasée en forme de tulipe. L’extrémité cylindrique de l’autre élément à assembler est introduite dans la tulipe. La compression de l’anneau de caoutchouc dans son logement assure l’étanchéité. Ce type de joint permet une légère déviation angulaire tant pendant qu’après la mise ers œuvre. Il autorise également un léger tassement différentiel. La figure 3 montre un complément au joint évitant le déboitement. * Les joints à bride : permettent l’assemblage de tuyaux de natures différentes ou d’appareils de fontainerie (vannes clapets, etc. ). Les assemblages par soudure : Les tuyaux en acier sont assemblés, par grande longueur, par soudure bout à bout ou soudure à slip joint Le soudage ayant pour effet de détruire le revêtement intérieur du tuyau à proximité immédiate de la circonférence où elle est effectuée, il faut faire la réfection du revêtement si le diamètre le permet . * Les assemblages par s’appliquent aux tuyaux ontact, après les avoir porté à la température adéquate à l’aide dune plaque chauffante. De nombreuses machines gérées électroniquement existent sur la marché figure 4. * Les assemblages par électrosoudage : s’appliquent aussi aux raccords pour tuyaux en polyéthylène. Les pièces de raccords sont munies de spires métalliques. La soudure de la pièce avec le tube est réalisée par la mise sous tension des spires à l’aide d’un générateur électrique adapté .

La qualité de la soudure est conditionnée par le respect des procédures préconisées par les fabricants. Organes et accessoires des réseaux : Les réseaux de distribution d’eau potable comportent des équipements permettant d’isoler des tronçons, de les vidanger et de les remplir, comme les vannes ou robinets, les ventouses, les vidanges, les régulateurs de pression et les clapets anti-retour. * Les différentes sortes de robinets : (verticaux ou horizontaux) Les robinets à boisseau ou à soupape : servent à isoler les branchements ou les appareils hydrauliques dont les diamètres nominaux ne dépassent généralement pas 40 mm, figure 5. Les robinets à boiss 0 OF nt un corps contenant