nstitut provincial d’enseignement de promotion sociale de Herstal 34 Rue de l’école technique, 4040 Herstal Matricule :6. 146. 035 – téléphone : 04/248 41 70 André Sandrine aide-soignante Janvier 2A tél :0495/92. 03. 23 Stage d’insertion en collectivité « Ce travail est s Profe 1) Description de l’en •type : maison de service. ret professionnel » 2 S. v. p View next page que résidence Situation géographique : ce situe en début de ville. Architecture du bâtiment : Pied, 5 Etages + ascenseur, jardin, Parc, Salle panoramique.
Bénéficiaires : seul(e), couples, valides, semi–valides invalides, ncontinents , Alzheimer Type de chambre nombre douche Cabinet de toilette prise tv téléphone cuisine Seul(e) 144 Diététitienne • Coiffure • Salon de coiffure • pédicure • Messe possible chaque jour •Communion • Salle de fêtes • salle polyvalente • cafétaria • Code de sortie Activités : •Occupationnelles : activités tous les jours et sorties extérieures (camionnette) – barbecue •Récréatives : salle multimedia, fêtes d’anniversaires, fêtes traditionnelles, marché de Noël, pétanque… ??Thérapeutiques : gym collective — aromathérapie- musicothérapie Repas : • En salle ?? En chambre si nécessaire • Menu de remplacement • Régimes respectés • Cuisiné sur place Info supplémentaires : •Accès facile en bus et en voiture, parking à l’arrière. Heures de visite : de Ilhà 20h •comité de participation des résidents- •Convention avec Fraiture pour les Congrégation religieuse dans la résidence.
Situation de la fonction 2) organigramme a)Rôle de l’AS au niveau du service L’aide soignante travaille au sein d’une équipe structurée sous le contrôle de l’infirmier{e) chef d’unité en son absence d’un(e) infirmier(e) remplaçant(e) b) Au niveau de l’institution ?? l’AS fait partie de l’équipe soignante qui assure la prise en charge des patients hosp talisés dans une unité de soins, et en collaboration étroite avec les équipes médicales et paramédicales. • elle/il a des relations pa différentes équipes dans 12 fait partie.
Finalité de la fonction Participation à la prise en charge du bénéficiaire, dans l’intérêt de son confort physique et de son confort psychologique. 3)Journée type : 6h45 : arrivée sur les lieux et mise en place de notre tenue ainsi qu’une désinfection des mains. 7h : arrivée dans le sewice prise de connaissance des tâches onnées par l’infirmière chef. 7h05 : Début des toilettes 8h20 : service des petits dejeuner + aide aux personnes pour s’alimenter. 9h00 : débarassage des petits déjeuner 10h00 : reprise et fin des toilettes 11h30 : pose d’ 1/4 d’heure 11h45 : prise en charge des personnes ce rendant au restaurant du home.
Midi : service des soupes en chambre / au salon. 13h : débarassage des plateaux repas. 13h20 : pose h h diner 14h00 : service du dessert en chambre/salon +prise en charge des personnes se rendant au 5eme étage pour les activités. 15h : fin de journée. 4) Choix d’un bénéficiaire 4. Présentation administrative : Madame . femme née le 08/01/1929 Belge parlait le français. Veuve depuis 2008, 5 enfants :-2filles, Iqui vient +- régulièrement et une décédée tragiquement -3fils dont un également placé en home car sclérose en plaque et un décédé. ?tait très mère au foyer très active et s’occupait de ses petits enfants jusqu’à sa maladie (Alzheimer). Elle est entrée le 8/01 /2009 suite au décès de son mari, est bénéficiaire dans une cha 2 générale une personne calme. 4. 3 Présentation médicale : Elle a été hospitalisée en 2012 pour une fracture de la hanche uite à une chute du fauteuil et elle revient d’une hospitalisation suite à des selles et à des vomissements pleins de sang qui nous annonce après analyses qu’elle souffre d’un cancer de l’estomac trop avancé pour être traité.
Madame T. souffre de la maladie d’alzheimer à un niveau très avance. Cette dame ne peux plus s’alimenter normalement elle doit manger mixer et tous ses liquides doivent être épaissis. Traitements médicamenteux . Médicaments Matin midi soir indication Monuril cystite Asaflow 80mg Prévention primaire infarctus Dominal 80mg 4 2 maladie d’Alzheimer ? Perte de mémoire ou maladie d’Alzheimer ? Ne plus se souvenir de l’emplacement ou on a ranger ses clés ou numéro de téléphone de son bureau peut arriver à tout le monde.
Mais comment distinguer ces troubles « normaux » d’une possible maladie d’Alzheimer. Les signes qui doivent vous alerter 1 – Pertes de mémoire 2 – Difficultés à exécuter les tâches familières 3- Problèmes de langage : perte de capacité à finir ses phrases ou exprimer des mots inapprpriés. ce qui rends difficile pour les autres de comprendre ce qu’elle dit. 4 – Désorientation dans l’espace et dans le temps : elle peux ce roire à une autre saison ou une année ou encore ce perdre dans un endroit parfaitement connus.
Elle ne sais plus pourquoi elle s’est rendue là-bas ou comment rentrer chez elle. 5 Jugement affaibli : Une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer, ne s’alarme pas de la gravité de ses difficultés, et banalise même ce qui inquiète son entourage. Elle n’est plus capable de juger une situation et pourra prendre des décisions déraisonnables. 6 – Difficultés face aux notions abstraites : elle peut ne plus comprendre ce que représentent les chiffres et ce qu’elle doit faire. Nombreux sont ceux qui vont faire des dépenses inconsidérées qu’ils n’auraient jamais fait auparavant. – Objets égarés : la personne atteinte d’Alzheimer rangera les objets dans des endroits inappropriés (un vêtement dans le congélateur ou une montre dans le sucrier). 8 – Changements d’humeur ou de comportement : elle peut changer d’humeur très rapidement (du calme aux pleurs ou à la colère) sans raison apparente. 9 – Changements de personnalité : on observera des changements très prononcés ; par exemple, une personne très ouverte et confiante deviendra renfermée et méfiante. ar exemple, une personne très ouverte et confiante deviendra renfermée et méfiante. Au nombre des changements possibles, on compte aussi l’apathie, la peur et les comportements difficiles. 10 – Manque d’enthousiasme : deviendra passive plus rapidement sans pour autant avoir un discours dépressif. Elle se désintéressera même d’évènement important. *Examen de dépistage : Actuellement, il n’existe pas de test unique permettant de déterminer si une personne est atteinte de la maladie d’Alzheimer.
Cependant, l’association de signes cliniques, les résultats de tests neuropsychologiques et des signes adiologiques permettent un diagnostic sûr à plus de 90 %. Il faut distinguer les patients qui ont un Alzheimer avéré et ceux dits « mild cognitive impairment » ou MCI (trouble cognitif débutant). Ceux-ci sont au stade infra-clinique : leurs fonctions cognitives ne sont pas altérées. On peut avoir un MCI et ne jamais évoluer vers une maladie Alzheimer. Seuls 20 % d’entre eux développeront Alzheimer dans les années suivantes.
Dans leur cas, seule l’évolution dans le temps confirme le diagnostic. Ils sont suivis au sein des consultations mémoire, de façon très régulière. Des examens biologiques à partir du sang et des urines sont faits, pour écarter de fausses pathologies démentielles curables ou trouver une maladie facteur d’aggravation d’Alzheimer. Par exemple l’anémie, le diabète, des troubles de la glande thyro-lde, les carences en vitamines 812 et folates. Deuxième étape : les tests neuro-psychométriques. Ils permettent de tester les différents champs de la mémoire.
Les principaux ? Le test de Grober et Buschke, test de référence pour diagnostiquer les déficits de la mémoire épisodique l’exercice de la Figure de Rey, faisant appel à la mémoire visuelle s’il nia 2 la mémoire épisodique l’exercice de la Figure de Rey, faisant appel à la mémoire visuelle s’il n’a pas été fait en consultation, le d080, test de langage et le test de la mémoire du travail. Ces tests sont systématiquement couplés à l’imagerie, dans les services spécialisés à l’hôpital.
L’imagerie par résonance magnétique (irm) permet de déceler d’éventuelles séquelles d’accidents vasculaires, à l’origine des difficultés cognitives. Et surtout de révéler une éventuelle atrophie des hippocampes, critère récent de diagnostic précoce d’Alzheimer. Enfin, de plus en plus, parallèlement, sont effectuées des scintigraphies cérébrales . Leur rôle ? Voir comment le cerveau fonctionne grâce aux images. Au final de tous ces examens il y a un diagnostique très très sûr. En cas de doute, il est conclu à une maladie de la mémoire et les examens sont ré-effectués 6 ou 9 mois plus tard.
Cependant, ? l’heure actuelle, seule la biopsie post-mortem permet d’affirmer un diagnostic sûr à 100 *Les différents stades de la maladie d’Alzheimer : La maladie d’Alzheimer passe par dfférentes phases, qui en huit à douze ans aboutiront au décès du patient. Si l’évolution et la durée varient dune personne à l’autre, on constate que les cas précoces ont tendance à évoluer plus rapidement. Stade léger : troubles amnésiques et comportementaux. Troubles du langage et de l’attention Cette phase de la maladie s’étend sur une période de deux ? quatre ans.
Stade modéré : cette 2eme phase évolue sur une période de deux à six ans. Perte d’autonome Importante. Les troubles amnésiques et comportementaux s’aggravent. Perte de repères dans l’espace et dans le temps. Le langage se détériore peu a peu. Troubles de l’alimentation et du sommeil. Début des difficultés à reconnaître ses proches. Stade sévère : La phase sévère évolue sur deux à quatre ans. Très grave atteinte de la mémoire. Les troubles physiques sont eux aussi très importants. Le malade a beaucoup de difficultés à se déplacer et tombe fréquemment.
A ce stade, le maintient à domicile devient très compliqué pour l’entourage. Le placement en institution est alors quasiment obligatoire. Stade terminal : La phase terminale dure en moyenne deux années. Le patient perd alors toute autonomie. Il ne peut plus communiquer ni se déplacer. L’évolution conduit rrémédiablement le malade vers un état grabataire. Grande fatigue, perte de poids et infections bronchiques entrainent le décès du patient huit à douze ans après le diagnostic de la maladie. Traiter et prendre en charge la maladie d’Alzheimer : Les médicaments vaso- actifs sont sans effet. Trois molécules sont reconnues actives. Elles ralentissent l’évolution, sans la stopper. Le malade se dégrade plus lentement. Il ne faut donc pas bercer de faux espoirs les familles de ces patients qui assimilent traitement et guérison. Ils sont « de prescription légalement imitée », mis en place par un neurologue (éventuellement certains gériatres ou psychiatres), et suivi, une fois le patient équilibré, par le médecin généraliste et le neurologue.
Les traitements adjuvants et la prise en charge Il est important que le même médecin et le même neurologue, s’occupe du patient, père roblèmes qui vont 8 2 même neurologue, s’occupe du patient, gère au mieux les problèmes qui vont survenir dans le cours de l’affection . Toute agression peut rendre le patient agité : une infection urinaire, une mycose de la langue ou gynécologique, un fécalome, ne angine et d’autres causes inapparentes. Le patient ne sachant plus se plaindre, il faut les chercher soigneusement. stress dans l’environnement , l’attitude angoissée de certaines U familles, des cris, des gestes brusques, tout peut être vécu comme inquiétant par ces patients. La « camisole chimique », souvent un neuroleptique, ne doit donc jamais être prescrit sans enquête préalable car elle risque daggraver certains troubles (rétention d’urine, constipation). Il faut bien en peser l’intérêt et le réserver aux cas extrême, où l’on ne trouve aucune cause et la coopération entre généraliste t neurologue, dans le choix thérapeutique, permet d’ajuster au mieux ces traitements.
La vie dans la famille doit être préservée le plus longtemps possible. 45 Plan de soins : analyse des 14 besoins. 45. 1 Collecte des données, observations des 14 besoins, analyse et interprétation Mme T. âgée de 85 ans, est entrée en mrs depuis le 08. 01. 2008. Atteinte de la Maladie d’Alzheimer et complètement grabataire Mme T. as besoin d’une aide totale pour la toilette, c’est pour cela que je propose d’effectuer une toilette complète au lit et une réfection de celui -ci. BESOINS nuit. ???communication journalière dans le dossier de soins • transmission à l’Infirmière si absence de + de 3 jours Se mouvoir Et Maintenir bonne posture •Dépendance liée à sa maladie d’Alzheimer se manifestant par une altération à la mobilité •Sécuriser l’environnement afin de mieux circuler et afin de prévenir les risques de chute •Vérifier la bonne installation •Aider la patiente à se relever dans le lit •Mise au fauteuil position semi assise •La bénéiciaire ne peux plus ce mouvoir seule reste donc au fauteuil en journée et mise au lit vers 16h Etre propre protéger ses téguments
Se vêtir, Se dévêtir •Dépendance totale aux soins d’hyglène liée à sa pathologie se manifestant par l’incapacité de se faire la toilette seule •Je prépare pour la patiente les vêtements •Je lui propose à boire avant et après le soin •J’arrange son environnement avant et après le soin •Je désinfecte l’environnement avant le soin •Je Stimule les ressources de la patiente lors de la toilette, Je la fait « participer » •J’Encourage chaque effort que la patiente peut faire au moment de la toilette •Je sèche bien sans frotter, en tam onnant •Surveillance de l’état cu 0 2