Rousseau Contrat Social

Chapitre II du Contrat social Division des Gouvernements (Perle) Description générale des différents gouvernements .

Démocratie :Décision commune du peuple Aristocratie : Décision prise par un plus petit comité Monarchie : Décision prise par une personne unique (plus commune) Nuances : Démocratie et Aristocratie sont des pouvoirs qui sont next page divisés équitablemen = Tout le peuple ou q peuple ou un très pe na, Monarchie peut varie 8 Empereurs dans l’e nes (Démocratie tie = la moitié du ssi, être divisée (Ex Sparte) DONC chaque forme de gouvernement se confond entre elles et eut même se se subdiviser en d’autres parties Gouvernement démocratique convient mieux aux petits Etats Aristocratique « aux médiocres » Monarchique « aux grands » de la Démocratie (Ilan) un gouvernement qui posséderait à la fois le pouvoir exécutif et législatif n’est pas le meilleur système qui soit. Rousseau parle de la royauté : Le Prince, ou celui qui exécute les lois, et le Souverain, celui qui dicte les lois (Dieu? ), ne forment qu’une seule unité.

Ainsi ce gouvernement monarchique ne peut distinguer les besoins de ceux qu’il gouverne. connait pas la propriété privée. l condamne d’éventuel abus du gouvernement et pire encore la corruption de celui qui écrit les lois (intérêts privés). A cause de ces causes, toute réforme devient impossible. nous pouvons le voir actuellement dans notre démocratie: les intérêts privés, les abus des lois par les hommes politiques et la corruption. Pour Rousseau, une véritable démocratie n’a pas besoin de gouvernement puisque le peuple se gouverne si bien. Ainsi si le peuple se gouverne bien de lui même, celui-ci n’abuserait jamais de l’indépendance qu’il a acquis.

Cest exactement le contraire de la pensée de Platon. Sa théorie parait un peu capillotractée mais dans son contexte elle ne l’est pas. En effet, Rousseau a vécu au temps des rois de France où aucune égalité n’existait. Le souhait ed rendre la liberté au peuple l’inscrit d’une part dans la philosophie des lumières et d’autre comme un précurseur de la révolution Française. Mais Rousseau est un aristotélicien, c’est-à-dire quelqu’un de très concret. (le débat pour savoir si Platon est réaliste et Aristote irréaliste dans certains cas ne s’applique pas maintenant) Rousseau dit clairement « il n’a jamais existé de véritable émocratie, il n’en existera jamais ». maginer le peuple constamment en discussion pour les affaires publiques est inimaginable: d’une part cela ne servirait à rien, d’autre part l’administration changerait tout le temps contrairement à la monarchie. il faut un juste milieu. Rousseau a ensuite un discours our le moins marxiste avant l’heure. Il propose un syst 2 milieu. Rousseau a ensuite un discours pour le moins marxiste avant l’heure. Il propose un système, pour un très petit Etat de sorte à ce que tout le monde se connaisse où la population est facile à rassembler. Il faudrait dans cet Etat des moeurs dune grande simplicité afin d’éviter toute discussion trop véhémente. I propose ensuite qu’il y ait une égalité totale que se soit dans le rang social, la fortune Pour ce qui est de la fortune, il recommande presque de n’avoir rien.

Encore ici nous pouvons faire un lien avec sa théorie disant que l’homme est bon de nature et que c’est la société (avec l’argent etc. ) qui le corrompt à devenir mauvais et donc avide. cet homme aura donc plus de richesse que les autres provoquant de la jalousie et ainsi de suite. Ce discours ressemble énormément à celui des communistes. Rousseau fini par dire que la Démocratie est le système le moins sujet au guerre civile parce que la démocratie est en continuel changement et parce qu’elle nécessite une préoccupation et un courage continuel pour qu’elle subsiste il conclu par dire que si il y avait un peuple de dieux, c’est à dire tous égaux les uns aux autres, ils se gouverneraient de façon démocratique.

Mais Ihomme n’est pas un dieu, ce système n’est pas adapté à celui-ci mais il est le meilleur que nous connaissons à l’heure actuelle de l’Aristocratie (Samuel) Rousseau commence par 3 hapitre de l’aristocratie Souverain. Tout ceci pour nous dire que le peuple est son propre souverain et donc commande, pensée futuriste pour cette époque. Puis arrive le gouvernement de l’aristocratie, géré par des personnes de la même famille. Puis dit que seul la puissance se retrouve au pouvoir, ceux qui ont une forte influence, système électif. ll y a trois sortes d’aristocraties : naturelle, élective et héréditaire. Seul l’aristocratie élective peut fonctionner selon lui, car on choisit les membres, cependant qu’une infime partie des gens peut se présenter.

Mais permet quand même de croire au ouvernement. L’Etat est soutenu à l’étranger et les affaires se portent bien. L’ordre prime pour le bien être de la nation et les lois sont votées en Démocratie, plus de problèmes pour petites nations. Cependant les grandes nations en deviennent parfois indépendantes pour que les chefs en deviennent maîtres. Ses vertus sont moindres en opposition à la démocratie, mais en exige d’autres : c’est la modération. Elle Implique des inégalités entre les différentes classes mais sont nécessaires pour le bien de la nation. Les affaires d’un pays doivent être confiées à ceux qui n sont capable, cela dépave les préférences de la richesse. e la Monarchie (Marco) Tout d’abord, le texte fait comprendre que dans une monarchie, l’unité morale (le Prince) est identique à l’unité physique (monarque, Roi), et donc que les 3 pouvoirs (législatif, exécutif et judiciaire) soit réunis pour plus d’efficience et d’efficacité. es plusieurs risques de la monarchie : Les intérêts principaux des Pr 4 d’efficience et d’efficacité. Les plusieurs risques de la monarchie es intérêts principaux des Princes/Rois étaient de régner sur un euple faible, misérable, pour qu’il ne puisse jamais résister sur leur monarchie Un gouvernement monarchique ne correspond pas à un empire à petite surface, ce qui lui correspondrait bien c’est un empire ? grande surface, car c’est plus facile à gouverner : on prend des choix immédiatement sans avoir l’avis de quelqu’un (par la même chose qu’une démocratie, ou l’on demande l’avis du peuple).

Ex : L ‘Empire Romain : monarchie, grande surface Si démocratie, on demanderait l’avis de tout le monde et vu que l’Empire romain était géant, demander l’avis de tout le onde prendrait des années (en plus sans nos moyens de communications maintenant ça rendait les choses hyper difficile de faire une démocratie) (P. 108 premier paragraphe) 2 : Dans une monarchie, généralement les gens qui prennent la voix publique sont généralement des « petits brouillons » ayant des « petits talents’ Montre le problème de la succession père-fils (3 ème problème) (reproche de cette technique) On ne sait pas sur qui on va tomber, cela peut-être un fils de roi intelligent et un fils qui fait couler le pays, sans aucun talent Corruption de la dynastie elle ôte le pouvoir du peuple S