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scientifique et sur la fondamentaux : 1) Décrire : la descrip n « quoi y). Chercher ? comportements parti Psycho G N Ral R Sum Premium gy emat007 anpe,1R 1 3, 2015 57 pages Psycho général : résume Chapitre 1 : introduction à la psychologie Qu’est-ce que la psychologie ? Le terme psychologie est formé des racines psyché, signifiant l’esprit, et logos, signifiant discours. La psychologie est rensemble de nos actes observables : parler, dormir, cligner des yeux ou même lire en sont autant de facette.

Les processus mentaux relèvent de nos expériences intimes et intérieures : ce sont nos pensées, nos perceptions, nos entiments, nos souvenirs ou nos rêves. Les buts de la psycho : décrire, expliquer, prédire et modifier La psycho fonde ses découvertes sur des méthodes de recherche Sni* to View rsuit 4 buts ors7 -se oduit (le et classer des e ngoureuse observation scientifiques (premi re tapes de la compréhension d’un comportement) ; 2) Expliquer : l’explication expose la raison pour laquelle un comportement ou un processus mental s’est produit (le « pourquoi Elle repose sur leur découverte et leur compréhension.

Concernant la controverse nature-culture, aujourd’hui presque tous les scientifiques sont d ‘avis que la ature interagit avec la culture et que la plupart de nos traits psychologiques et même physiques naissent de cette interaction 3) Prédire : la prédiction identifie les conditions pour qu’un comportement ou un processus mental se produise ; 4) Modifier : pour les psychologues, modifier signifie mettre en pratique les connaissances en psycho afin d’empêcher l’expression de symptômes indésirables ou d’atteindre les objectifs souhait souhaités.

Les champs de la psycho : la recherche et l’intervention La recherche fondamentale La recherche fondamentale a pour objet de vérifier de nouvelles théories et des modèles de comportement. La RF s’intéresse au comportement en soi, aux seules fins de la connaissance. La recherche appliquée La recherche appliquée étudie le comportement dans le monde réel.

La RA a différent domaine de recherche : la psycho industrielle et organisationnelle (principe de la psycho dans le monde du travail) ; la psycho de l’environnement (des réactions comportementales aux changements apportés ? l’environnement ; la psycho du sport (moyens d’améllorer la performance des athlètes) ; la psycho de la consommation (processus décisionnels et modes de consommation) ; la psycho de la santé (s’intéresse aux divers facteurs qui influent sur la anté des individus).

La naissance de la psycho scientifique Création en 1879 (Wilhelm Wundt, à Leipzig en Allemagne) du premier laboratoire, qui marqua ainsi le début de la psycho scientifique. Le structuralisme Wilhelm Wundt est le fondateur de la psycho expérimentale. Il a écrit « éléments de psycho physiologique Wundt et ses disciples percevait la psycho comme étant l’étude de l’expérience. Ils utilisaient la méthode d’introspection, qui consiste à demander à un sujet de décrire les activités de sa conscience.

Les tenants du structuralisme affirmaient que la « matiere » entale pouvait être décomposée en « éléments » psychiques, comme l’eau peut se décomposer en ses éléments constitutifs (hydrogène-oxygène). Leur démarche les a conduits à fétude des structures des processus psychiques. Reproche au structuralisme se limite à un seul aspect du comportement et a peu d’application pratiques. Ce souci ? amener à formu seul aspect du comportement et a peu d’application pratiques.

Ce souci à amener à formuler une nouvelle théorie, le fonctionnalisme. Le fonctionnalisme Fin 1 9ème, la théorie de l’évolution de Darwin commence à avoir une certaine influence à la psycho. ? partir de cette théorie, des psychologues vont étudier la fonction des processus psychique qui permettent à l’individu de s’adapter à son milieu, ainsi que les processus biologiques et psychique des animaux et des humains afin d’observé d’éventuelles corrélations William James : une des figures dominantes de l’école fonctionnaliste.

Il percevait la psycho comme l’étude de la conscience mais ne croyait pas qu’elle puisse être séparée en éléments distincts. Il avançait l’hypothèse que les activités de l’esprit sont étroitement rattachés en une expérience unifiée, ue chaque idée découle d’une autre et que la vie consciente est un courant continu et non pas une série d’éléments. Le gestaltisme La psycho gestaltiste (Max Wertheimer) est basée sur la perception (façon dont nous interprétons les informations).

Les gestaltistes rejetaient l’idée que les expériences sont subdivisées en divers éléments ; ils affirmaient plutôt que l’expérience est un tout organisé, différent de la somme de ses parties. Selon les psychologues gestaltistes, la psycho ne devrait pas se confiner à la seule étude des comportements, mais s’intéresser ussi à la façon dont les différends éléments s’agencent en touts signifiants ou en expérience organisées. Ils rappellent également l’importance du contexte dans lequel a lieu l’expérience, contexte qui contribue à donner un sens à chaque événement.

L’approche psychanalytique Freud a élaboré la théorie psychanalytique dans laquelle il pose les bases d’une démarche thérapeutique élaboré la théorie psychanalytique dans laquelle il pose les bases d’une démarche thérapeutique appelée psychanalyse, démarche qui utilise des techniques telles que Phypnose, l’analyse des rêves t l’association libre (patient dit tout ce qui lui passe par la tête) pour tenter de mettre à jours les conflits, motifs et sentiments refoulés dans l’inconscient.

Les niveaux de conscience D’après Freud, l’inconscient échappe à notre activité consciente, mais exerce une profonde influence sur notre comportement et se révèle malgré nous. Pour décrire la conscience, Freud a recours à l’analogie de l’iceberg (p. 18). Le premier niveau, le conscient, est la partie de l’iceberg qui émerge de l’eau. C’est là que se logent les pensées, les sentiments et les actions dont nous prenons instantanément conscience.

Le deuxième niveau, juste à la surface de Peau, se trouve le préconscient, qui constitue le domaine plus vaste des activités mentales qui ne font pas partie de nos pensées courantes, mais auxquelles on a aisément accès en cas de besoin. Le troisième niveau, l’inconscient, se situe sous le préconscient et forme le gros de l’esprit humain. Freud pensait que la majorité des troubles psychologiques ont leur origine dans des souvenirs et des instincts emmagasinés dans l’inconscient.

Les structures de la personnalité Freud concevait la personnalité comme une interaction dynamique entre différentes structures mentales : le ça, le moi t le surmoi. Chacun rendrait compte d’un aspect différent de la personnalité. Le ça se trouve dans l’inconscient, et constitue la partie de la psyché que l’on croit présente dès la naissance. Le ça est immature, impulsif et irrationnel. Il est le réservoir de l’énergie mentale. e ça est régit par le principe de plaisir (Freud) Il est le réservoir de l’énergie mentale.

Le ça est régit par le principe de plaisir (Freud), qui est la recherche immédiate et ouverte du plaisir et une façon de réduire les tensions, sans égard à la logique ou à la réalité. Le moi est capable de planifier, de résoudre des problèmes, de aisonner et de juguler le ça. Le moi corresponds au « soi », càd à la vision consciente et subjective que l’individu a de lui-même. Le moi chevauche à la fois le conscient et le préconscient. ne de ses tâches est de canaliser l’énergie du ça en tenant compte des réalités du milieu exterieur. Il est régit par le principe de réalité. Le surmoi joue le rôle de « conscience morale » de la psyché. Il est une sorte de code d’éthique du comportement. Il comprend la conscience morale qui est un ensemble d’interdits sociaux semblable à un code pénal ou juridique (dresse la liste des choses ? ne pas faire) et ridéal du moi qui établit des choses à faire pour nous sentir fier de nous.

Le surmoi fonctionne comme un principe de moralité dans la mesure où la violation des règles de la conscience ou de celles de l’idéal du moi s’accompagne dans les deux cas d’un sentiment de culpabilité. Les mécanismes de défenses (tableau p. 21) Lorsque le moi ne trouve pas les moyens de satlsfaire à la fois le ça et le surmoi, une certaine anxiété se glisse dans le conscient, et les gens tentent de se débarrasser de cette anxiété en faisant jouer des mécanismes de défense. Selon Freud, le mécanisme de lus important est le refoulement. ?valuation de l’approche psychanalytique : 5 principales critiques 1) La difficulté de vérifier expérimentalement les concepts la méthode scientifique requiert la formulation d’hypothèses vérifiables expérimentalement et de définitions opérationnelles, PAGF s OF requiert la formulation d’hypothèses vérifiables expérimentalement et de définitions opérationnelles, choses inexistante ici ; 2) L’importance exagérée de déterminants blologiques et inconscients : Freud sous-estimerait le rôle de l’apprentissage et de la culture dans le modelage du comportement « l’anatomie ait le destin » ; 3) L’insuffisance des faits : Freud a fondé ses théories presque exclusivement sur les études de cas de ses patients 0 subjectif ; 4) Le sexisme C misogynie ; 5) L’absence ou l’insuffisance de données interculturelles.

Malgré les critiques, il faut tout de même reconnaitre la contribution de Freud et se souvenir de lui pour 3 raisons • 1) Sa conception de l’inconscient et de l’influence de celui-ci sur le comportement : 2) Sa notion de conflit entre le ça, le moi et le surmoi, et les mécanismes de défense qui en découlent ; 3) L’importance des expériences infantiles dans le développement e la personne. L’approche behaviorale Selon les partisans du behaviorisme, pour être véritablement scientifique, une méthode de recherche doit se limiter à l’étude de comportements objectivement observables. Selon eux, tout comportement peut être considéré comme une réaction à un stimulus.

Les animaux étant des sujets idéaux pour étudier des comportements objectifs et observables, la majorité des recherches behavioristes s’effectuent avec des animaux ou ? l’aide de méthodes élaborées à la suite de recherches sur les animaux. John Watson et BF. Skinner se sont particulièrement ntéressés à l’apprentissage (acquisition des comportements) chez les animaux, et également chez les humains pour Skinner. Skinner était convaincu qu’on peut utiliser l’approche behaviorale pour « façonner » le comportement humain et changer ainsi la tendance 6 OF l’approche behaviorale pour « façonner » le comportement humain et changer ainsi la tendance actuelle de révolution de l’humanité.

La personnalité selon les théories de l’apprentissage Rappel : la psychanalyse conçoit la personnalité comme une réalité abstraite et plutôt intérieure, pouvant ou non être en accord avec le comportement extérieur d’un individu. Selon les théories de l’apprentissage, le terme personnalité renvoie à l’ensemble de comportements observables d’une personne. La personnalité est donc évaluée de l’extérieur par l’observation de comportements tels le fait de prendre la parole en public ou d’assister à des réceptions Selon cette théorle, la personnalité est acquise par le conditionnement répondant et opérant, l’imitation, etc. , et dépend de l’expérience d’apprentissage de chacun. Le comportement est circonstanciel 0 les comportements d’un individu peuvent varier selon les situations et selon les apprentissages antérieurs.

Les contributions de Watson et Skinner Watson a affirmé que tout comportement humain ou personnalité est déterminé par l’apprentissage. Skinner affirmait quant à lui, qu’il n’est pas nécessaire de connaitre les caractéristiques biologiques ou la vie antérieure dune personne pour expliquer sa personnalité, qu’il suffit d’examiner à quels stimuli elle a été exposée et quelles ont été ses réactions. La théorie de rapprentissage La personnalité est acquise et est influencée par les expériences qu’à vécues l’individu. Les théoriciens de l’apprentissage social pensent cependant que nous apprenons en observant les autres t ce qui leur arrive et en y réfléchissant.

L’approche cognitive La psycho cognitive s’intéresse à la manière dont les individus acquièrent des connaissances, les emmagasinent et les ut la manière dont les individus acquièrent des connaissances, les emmagasinent et les utilisent. Les psychologues se ralliant ? cette approche étudient comment nous recueillons, codons et conservons l’information en provenance de l’environnement en nous servant de processus mentaux tels que la perception, la mémoire la visualisation, la formation de concepts, la résolution de problèmes, le raisonnement, la prise de décisions et le angage. Des psychologues contemporains ont recours à la méthode du traitement de l’information (dérivée de l’informatique) qui se fonde sur l’idée que les êtres humains traitent l’information de façons hiérarchique, à la manière des ordinateurs.

Les théories de Bandura et de Rotter Selon l’approche cognitive, chaque être humain a une personnalité unique parce qu’il a une vision du monde qui lui est propre. La théorie cognitive de l’apprentissage social de Bandura Concept de sentiment d’efficacité personnel évaluation que fait une personne de ses chances de réussite. Autre concept majeur de Bandura : déterminisme réciproque il existerait une relation d’interdépendance et des interactions entre nos pensées, nos comportements et notre environnement. Ainsi, la pensée (« je peux réussir ») influe sur le comportement je vais demander une promotion »), qui influe à son tour sur l’environnement je peux devenir cadre »), qui influe alors sur la pensée j’ai reussi et ainsi de suite.

Le lieu de contrôle de Rotter Selon la théorie de Julian Rotter, l’apprentissage crée des attentes qui, elles orientent le comportement et influent sur l’environnement. Selon Rotter, notre comportement/personnalité st déterminé d’une part par le résu tat que nous attendons d’une action précise et, d’autre part, par la valeur de renfo BOF par le résultat que nous attendons d’une action précise et, d’autre part, par la valeur de renforcement que nous accordons à un certain résultat. pour comprendre notre personnalité et notre comportement, Rotter cherchait à connaitre nos attentes. Il cherchait aussi ? savoir, selon nous, d’où venait nos récompenses et punitions. Pour ce faire, a mis au point un test de 32 questions pour établir si notre lieu de contrôle est externe ou interne.

Les personnes ayant un lieu de contrôle externe estiment ue l’environnement et des facteurs extérieurs jouent un rôle déterminant dans leur vie. Les personnes ayant un lieu de contrôle interne croient pouvoir dominer les évenements grâce à leurs efforts personnels. Évaluation de l’approche cognitive La perspective cognitive met en lumière Pinfluence de l’environnement sur l’individu, et vice versa. Elle respecte également la majorité des normes de la recherche scientifiques. Les critiques lui reprochent de ne pas tenir compte des composantes inconscientes et émotionnelles de la personnalité, et de négliger les aspects ayant trait au développement.

D’autres approches L’approche évolutionniste L’approche évolutionniste découle d’un regard sur la sélection naturelle, l’adaptation et révolution du comportement et des processus mentaux 0 les êtres humains et les animaux qui adoptent des comportements contribuant à la survie transmettent par leurs gènes ces comportements à la génétique suivante. L’approche socioculturelle L’approche socioculturelle insiste sur les interactions sociales et les déterminants culturels du comportement et des processus mentaux. Mais la plupart d’entre nous sont inconscients des forces sociales et culturelles qui façonnent nos vies. L’approche éclectique L’approche éclectique consis PAGF sociales et culturelles qui façonnent nos vies. L’approche éclectique consiste à appliquer les principes et les techniques de différentes perspectives selon la situation.

Chapitre 2 : la psychologie : une science La recherche en psycho 1) Recherche fondamentale (RF) : menée dans les universités, les centres de recherches et les laboratoires par des chercheurs qui veulent explorer de nouvelles théories et faire avancer les connaissances scientifiques. C’est un savoir théorique dépourvu d’application immédiate dans la vie courante. ) Recherche appliquée (RA): menée hors des laboratoires. Elle permet d’agir sur des problèmes de la VIe courante. La démarche scientifique schéma p. 51 Étape 1 : identification des questions d’intérêt et examen de la documentation Examen la documentation C] nous considérerons soigneusement ce que les autres professionnels ont dit sur un sujet qui nous intéresse. Pour cela, on consultera ce qui a été publié dans les grandes revues scientifiques (Psychological Science ou le Journal of Cross Cultural Psychology). ?tapes 2 : formulation d’une hypothèse vérifiable Formulation d’une hypothèse vérifiable 0 ne constitue qu’une rédiction relative à des comportements ou des processus mentaux qui doit être vérifiée dans une recherche scientifique. Pour être vérifiable, une hypothèse doit être formulée en termes clairs et précis. Quant aux variables étudiées, chacune d’elles doit être énoncée en termes observables et mesurables de façon à en obtenir une définition opérationnelle. Étape 3 : choix d’une méthode de recherche et collecte des données Cette étape consiste à choisir la meilleure méthode de recherche pour tester l’hypothèse et recueillir les données (par observation naturelle ou enquête). Étapes 4