Philosophie Du Management

Philosophie du management INTRO: Le management est le pilotage d’une action collective au sein d’une organisation. Faire travailler les femmes et les hommes dans une même structures ce qui posent des problèmes psychologiques. Faire travailler quelqu’un qui est Ilmlté, constant pour le profit de quelqu’un d’autre. Le management pose la question de travailler ensemble. Le management vient du mot ménager qui veut dire tenir dans la main les reines d’un cheval. par nature le management ne peut pas être politique.

En 1916, Henry Fayol a réfléchi sur les qualités écessaire pour organiser, structurer et commander au sein d’une organisation, c’ management. l. Qu’est ce qu’agir ? -on par rapport au or7 Sni* to View e mot action: Aristote, Sartre. Agir (praxis, actio) c’est faire un effort de transformation censée et délibérée. L’action ne commence pas avec la mobilisation de force mais elle commence déjà dans l’esprit et l’ame (Aristote). On est dans une phase de délibération, une phase d’indécision une chose est vraie quand elle n’est pas contradictoire a dit Aristote.

On ne peut jamais prévoir la seconde qui va suivre dans le monde oderne. La phronésisse: la prudence mais à nuancer, au sens de la jurisprudence: être capable de ramener du connu à Pinconnu. Ethique de conviction: une action est bonne si elle est conforme ? ses princi principes. La plupart des actions agissent généralement quand on pense que l’action est bien. Ethique de responsabilité c’est se porter garant, il y a une défiance (par exemple les cautions des appartements). Une action est confrontée à une situation matérielle, il faut évaluer le risque de l’action et ensuite d’accepter le risque.

Il. Décider, commander, obéir Agir c’est forcement décider, c’est une étape décisive. La décision suppose une intuition du succès. Le Kairos c’est le signe du bon moment, un moment est l’instant qui met en mouvement. pour qu’il y ai décislon il faut la liberté. Un décision est un acte libre. Une vraie décision est une décision qui prend en compte sa contingence. C’est une décision qui vient seulement de nous-même. Un acte libre décisif est un acte qui commence. « Arche » ça veut dire le commencement mais aussi commander, exemple: une hiérarchie, un monarchie.

Le véritable ommandement trouve son fondement dans le commencement (Aristote). Il n’y a pas de commandement sans autorité. Ordonner: ranger ou donner des ordres. L’ordre suppose une subordlnation. une hiérarchie est lorsque l’ordre est sacré. Gérontocratie: qu’est ce qu’on attend de l’homme au pouvoir? On agit dans un monde qui est déjà connu, ou il n’y a pas de surprises. La hiérarchie n’est pas quelque chose de légitime. L’héritage empoisonne la vie. L’autorité se distingue du pouvoir, le pouvoir de s’obtient sur le pouvoir sur, c’est une capaci PAG » rif 7 ouvoir sur, c’est une capacité d’action, ça se mesure.

L’autorité est plus complexe. Arent explique que l’autorité est économique, l’autorité ne s’apprend pas. L’autorité veut dire le signe des dieux. Le charme est individuel. Le charisme est propre à chacun. L’autorité est efficace quand ceux qui se soumettent à celle-ci la voit. La gouvernance: c’est le débat. La théorie de la reconnaissance: Axel H. Les relations humaines ne sont fondées que sur une quelque reconnaissance. Savoir que l’on est identifier pour ce que l’on est. Dans le domaine du travail n doit lutter pour avoir cette reconnaissance contrairement à la famllle.

Cette reconnaissance est Inégale dans la sphère publique et privée. Le management autoritaire: management très primitif qui fonctionne mal. Le management paternaliste: fait référence à la faille, il est juste le père. Le management consultatif: associer ce que Fon dirige à la décision en leur demandant leur avis. Le management participatif’. prendre sa part, on demande ? chacun de prendre sa part de débat pour la décision, très adapté à notre époque et il fonctionne à condition qu’il ne soit pas ontrôlé.

III. La culture de la performance François Julien, Conférence sur Yefficacité (le management chinois) 1 . La logique de la performance: Auteur: Le culte de la performance A. Ehrenberg L’entreprise est un lieu o de, on a PAGF3CF7 de la performance A. Ehrenberg L’entreprise est un lieu ou on commande, on agit ou on entreprend des choses dans l’attente de résultats. Le sens précis du mot performance c’est l’ensemble des résultats produit par une entreprise. Ce n’est pas la notion de dépassement individualiste.

Dans les années 1990 il y a le culte du « no limait » t c’est la que l’on parle de performance au sens de dépassement d’un individu (pas celui que nous allons voir): volonté d’être reconnu par un acte hors norme. L’homme n’a jamais donné la mesure de ce qu’il est. Une performance peut être bonne ou mauvaise, dans ce cas on parle de conte performance. pour qu’il y ai performance il faut que le résu tat soit évaluer comme un succès. Comment montrer la performance: avec deux concepts: l’efficacité et l’efficience. Efficacité: C’est le rapport entre les objectifs et le résultat.

Elle eut être en soi prise à défaut car on peut se fixer des objectifs que l’on a pas atteint. Efficience: le ratio entre les résultats et les moyens dont on disposait pour les atteindre. Quelque chose d’efficient et quelque chose qui optimise le résultat. Ily a des nuances conceptuelles dans la notion de performance. Il y a 3 facteurs qui explique une mauvaise performance: manque de compétences: notion essentielles. Aujourd’hui il y a plus de demande que d’offre donc on peut faire une bonne sélection de façon a palier le manque de compétence. manque d’intelligence dans la situation. R