bel ami

maintes similitudes e Bel-Ami pénètre dan débarrasse de son e fracas puis, en tant q feuille blanche quand bel ami Premium gy taboucheIamerde4S I anpenq 22, 2015 5 pages 1. Bel-Ami et Maupassant, un seul journaliste D’abord simple bouche-trou, qui quémande la publication d’un poème ou d’un bout d’article, Maupassant est devenu le grand reporter qui meuble la une des grands journaux du temps : Le Gaulois, Le Gil Blas, L’Evénement, Le Goncourt, Le Figaro.

Envoyé spécial sur les théâtres d’opérations coloniales en Algérie, il pourra, sous son nom ou sous des pseudonymes, faire le journal ? lui tout seul pendant plusieurs semaines en 1881 : il aura ainsi acquis renommée, puissance et une liberté quasi totale d’expression. Si Maupassant n’a pas voulu se peindre dans les moindres détails à chaque page de son roman, force nous est de constater Swipe to nex: page or 5 rmz:. nnage. upassant : il se avec quelques douleurs de la ogresser cependant à pas de géant et devenir par la suite chotier « , puis  » rédacteur des affaires politiques  » et enfin  » rédacteur en chef l’, ayant acquis aisance et habilité d’écriture, puissance et influence sur ses ecteurs. Sa plume, comme celle de son créateur, sera appréciée et ses articles se vendront cher, très cher. La réussite de Bel-ami ressemble à celle de Maupassant, avec des moyens semblables . ournaliste, il accélère sa promotlon sociale : la même ambition les anime, celle de réussir. Dur Duroy devient tout à fait Maupassant quand il tente d’écrire ses articles sur l’Algérie. 2. Les rouages du journal : un journal doit ses premiers pouvoirs à l’image extérieure qu’il présente, au paraître, au savoir-faire des journalistes qui ratiquent habilement le chantage dont ils menacent leurs adversaires.

Simposent, d’abord, une mise en scène efficace et l’aptitude à se compromettre avec le pouvoir. C’est ainsi que Duroy, lors de sa première visite à La Vie Française, pénètre dans l’escalier-réclame, est introduit dans une salle de rédaction et dans un bureau directorial étonnant. Dans cette caverne d’Ali Baba, les journalistes et leur directeur se livrent à leur passe- temps favoris : le bilboquet et la partie d’écarté ! Mais la mise en scène est si parfaite qu’elle en « impose aux visiteurs « .

Au œur de la machine, Duroy apprend que ce dernier est un faiseur « ‘r expert en prestidigitations journalistiques, comme ses subalternes. Le plus doué, c’est Saint Potin qui a l’art de resservir toujours les mêmes sous des titres différents et de s’abreuver aux sources proches des concierges de l’Hôtel Bristol et du Continental. La  » moelle du journal ce sont les Echos :  » c’est par eux qu’on lance les nouvelles, qu’on fait les bruits, qu’on agit sur le public et sur la rente « . On y apprend le mensonge et la médisance.

Le chef des Echos – Duroy dans le roman – s’impose comme le levier réateur et destructeur, celui qui devine  » ce que supportera le public « , celui qui s’arrange pour que  » l’effet en soit multiplié ‘ Tout ici est combinaison, manip « , celui qui s’arrange pour que  » l’effet en soit multiplié Tout ici est combinaison, manipulation supérieure et Bel-Ami, ce Scapin du journalisme, peut montrer l’étendue de son savoir-faire. De plus, le journal dispose d’une panoplie de journalistes indispensables à son fonctionnement. Tout d’abord, Walter : il est plus un homme daffaires qu’un rédacteur en chef et un directeur de journal.

En effet,  » son ournal n’a été fondé que pour soutenir ses opérations de bourse et ses entreprises de toute sorte Ce personnage semble déshonoré et bafoué lorsque Duroy est attaqué par un journal adverse, La Plume. On peut peut-être l’identifier à un Arthur Meyer, directeur du Gaulois ou encore à un Dumont, directeur au Gil Blas qui eux aussi cherchent des affaires juteuses : ils sont obsédés par l’argent et le profit. puis, vient le personnage de Forestier, chef des échos et rédacteur politique. Il doit à sa femme son caractère de journaliste.

Il est l’image même d’une presse d’apparat, de linquant, de poudre aux yeux. Forestier représente lui aussi un certain journalisme de l’époque inféodé à l’argent et à la réclame, avec ses figures de proue : Scholl, Maizeroy, Mendés et quelques autres. Enfin, interviennent les personnages secondalres comme Rival, chroniqueur parisien d’actualité, que Von peut apparenter au peu reluisant Aurélien Scholl, et qui saura entrer dans les bonnes grâces du patron par son élégance et sa prestance. A celui-ci, on peut opposer les journalistes tels que Nobert de Varenne et Boisrenard, tous deux secrétaires de la rédaction :