analyse pratique

mais utilise depuis p le logiciel DX Care, de us, or 8 tableau de planificati de„•- La journée, 3 à 4 infir La nuit, nous somme analyse pratique Premium gy anaisISg anpenq 22, 2015 8 pages l) Présentation de la structure, du service, de l’équipe soignante Le centre dispose de Blocs Opératoires, Salle de réveil, un département de radiothérapie, de curiethérapie, d’imagerie médicale, une unité de médecine nucléaire, un laboratoire, un hôpital de jour, une unité de soin continu, un service de pédiatrie, e soins palliatifs, d’ORL et, où je sus actuellement en stage, un seNice de chirurgie oncologie gynécologie/urologie.

Service séparé en deux, mais partageant la même salle de soin que le sewice d’ambulatoire. Dans notre service, 15 chambres sont disponibles, une salle de soin, une salle de linge, et une salle de décontamination. Les outils de soin utilisé dans le service sont les dossiers papiers, to nextÇEge -sés et notamment in est installé un nants par poste. udiante infirmière, de 20h30 à 7h, sachant que l’infirmi re pr sente dans le service mbulatoire peut venir en renfort dans l’équipe de nuit lors des tours.

Enfin, réquipe inter et pluridisciplinaire se compose le jour des infirmiers, aides-soignants, anesthésistes, chirurgiens, assistante sociale, kinésithérapeute, assistante médicale psych’atre, psycho- oncologue, brancardier, s page stomathérapeute et diététicienne, ainsi que des associations de bénévoles, d’écoute et d’accompagnement, et de membre de l’aumônerie. Il) Description de la situation Ce jour, je prenais en soin Mr D. atient de 59 ans atteint d’un ancer rétro péritonéale depuis 2013 entré il y a 6 jours suite ? une tumeur au sigmoïde fistulisée dans la vessie, opéré il y a 5 jours pour iléostomie de protection sur sigmaidectomie. Je l’avais pris en soin la veille de son départ au bloc. Les infirmières du jour ne nous avaient rien transmis de particulier par rapport à son état, ni par rapport à son autonomie par rapport à l’iléostomie.

En entrant dans la chambre, je me représente au patient, lui administre ses traitements, et avant de préparer le matériel pour ider sa poche d’iléostomie je lui demande s’il sait le faire afin de promouvoir son autonomie. Le patient me dit « c’est l’infirmière qui le fait, moi je ne sais pas ! » , je lui demande alors s’il avait rencontré la stomathérapeute, il me dit « oui, elle m’a fait les points de repérage mais c’est tout, moi c’est une temporaire donc ca ne sert à rien » , je lui ai donc dit qu’il était important qu’il sache tout de même s’en occuper ne serait-ce que pour le retour ? domicile prévu 4 jours plus tard.

Là, il me regarde fixement et me dit « mais non ! Ils vont me l’enlever, c’est temporaire, le temps que la cicatrisation à l’intérieur se fasse ». Je comprends alors que le patient n’avait pas compris que l’iléostomie était certes tempor fasse ». Je comprends alors que le patient n’avait pas compris que Piléostomie était certes temporaire, mais pour 3 à 6 mois. Dans le doute où il s’agissait d’une erreur de ma part ou d’une exception chirurgicale, je sors de la chambre après avoir vidé sa poche et lui avoir précisé que je repasserai pour poser un antibiotique, et demande à l’infirmière.

Celle-ci m’affirme qu’il epartira effectivement avec l’ileostomie en place, et qu’elle sera refermée d’ici 3 à 6 mais. De retour dans la chambre du patient, je demande au patient s’il avait bien eu le carnet d’information donne avant son intervention par le médecin, il me dit que oui, et me le montre. II l’ouvre, et je lui demande, à l’aide du schéma ce qu’on lui avait retiré, et ou était l’anastomose ainsi que l’ileostomie, il me l’explique, il avait compris son opération. Enfin, une feuille explicative indiqué en quoi consistait l’ileostomie de « protection » ou temporaire.

Dessus, apparaissait le délai de 3 ? 6 mois, il me dit « je vais avoir ca pour 6 mois ? ‘h j’acquiesçai et lui explique que nous lui expliquerons en temps voulu comment s’en servir, comme la changer, le rôle de la stomathérapeute, qu’il ne s’agissait pas de la poche définitive, et qu’une infirmière libérale pourrait aussi l’accompagner à l’extérieur. Il comprend, et me dit qu’il va donc apprendre à le faire. Je profite alors du fait que la poche solt vide pour lui montrer l’embout de l’iléostomie, comment on la fermait, on l’ouvrait, et lui explique