Concepts de la théorie d’Adler N’OUBLIEZ PAS : DE METTRE LES DÉFINITIONS ENTRE GUILLEMETS DE METTRE LA SOURCE COMPLETE EN BAS DE PACE Concept Définition et passage de la mise en situation Sentiment d’infériorité : «Chaque être humain éprouve depuis sa naissance un état de fragilité; il se sent faible et vulnérable.
Mais il éprouve aussi très tôt le désir de surmo tout comportement d’infériorlté, dans un BOUCHARD, 1997, p. Le but premier de er ce sentiment soi. » (MORIN, Le sentiment d’infériorit s’applique au cas de Jean puisqu’à la base ce sentiment est attribué à tous les êtres humains, mais e plus, son beau-père y contribue en le rabaissant sans arrêt pendant son enfance.
Recherche de supériorité (Quête de supériorité et de perfection de soi) : «Le but premier de tout comportement sera, dès lors, de surpasser ce sentiment d’infériorité, dans une quête de perfection malheureusement tombé dans Pexcès en voulant rabaisser les autres afin d’avoir l’illusion qu’il est supérieur à eux. Sa recherche de supériorité est donc loin d’être saine. De plus, Jean est toujours à la quête de la perfection de soi. En effet il admet même travailler très fort dans l’idée d’être e plus parfait possible.
Facteurs de développement «La formation médicale et clinique d’Adler Favait d’abord entraîné à constater les effets négatifs de déficiences organiques congénitales, mais très rapidement il en était venu à observer que l’adaptation névrotique résultait bien davantage des attitudes de chacun face à ces deficiences Au-delà donc d’une infériorité organique particulière significative, des attitudes parentales de surprotection ou de négligence affectives amplifient grandement l’opinion que se forge l’enfant de ses problèmes face à l’existence.
Cette vision de soi et de ses liens avec son entourage dépend aussi de la position de l’enfant dans la famille, et des rivalités qui peuvent se développer dans la constellation familiale. » (MORIN, BOUCHARD, 1997, p. 28-29) Jean a effectivement été influencé par un facteur de développement, car il existait une certaine rivalité entre son beau- père, qui ne cessait de le rabaisser et de le traiter de moins que rien. Le fait que Jean se sent toujours petit et vulnérable près de son beau-père peut aussi être expliqué par une mauvaise attitude parentale où la vision de soi de Jean fût grandeme PAG » OF d
