Hong Kong une vitrine du capitalisme

HONG-KONG : une vitrine du capitalisme libéral réintégrée dans la République Populaire de Chine En 1997, nous voyons la mise en place d’une rétrocession par le Royaume-Uni à la République populaire de Chine de Ille de Hong Kong, Hong-Kong qui signifie Port parfumé en mandarin. Cet archipel portuaire comprend plus de 7 millions d’habitants sur une surface totale assez limité de 1104km2, d’où une densité de population qui avoisine les 6400 habitants au km2, l’une des plus forte au monde.

Depuis bientôt deux siècles, Hong Kong symbolise l’ouverture de la Chine sur le mond extraordinaire la fait Hong Kong est la vill florissante est l’une d financière et un pôle or 7 Sni* to iew nextÇEge n dynamisme de. son economie de. C’est une place mondiale, d’où son titre de « capitale mondiale du capitalisme » Le clivage entre cette enclave et le reste du pays est si grand dans la façon de voir l’économie, et la démocratie que nous pourrions dire que nous avons un pays, mais deux nations, ou encore un pays, deux systèmes. ne société hongkongaise qui se caractérise, à l’inverse du reste de la Chine, par l’existence notamment d’une véritable opinion publique, structurée et dotée de tous les nstruments de la liberté d’expression. l’archipel. A partir de 1842 lors de la signature du traité de Nankin cette enclave est arrachée par la Grande-Bretagne à l’Empire du milieu. Ceux-ci libèrent ce territoire en 1997 suite à la déclaration commune sino-britannique signée en 1984.

Cette déclaration met en place des accords, les britannique s’engageant à rendre Hong- Kong aux chinois à condition que la République populaire maintienne le système économique, législatif et le mode vie de la population pendant 50 ans, c’est à dire 2047, qui est la date butoir révue par cet accord pour la convergence théorique des deux systèmes politiques. Depuis cette libération, la ville demeure différente du reste de la république populaire chinoise et devient alors l’un des première région administrative spécifique de Chine.

Les Britanniques ont laissés des traces de leur passage dans la ville de Hong-Kong notamment de par le nom des rues qui sont en anglais et cantonais. Il reste également des résidents britanniques qui sont des expatriés employés par des multinationales ou des entrepreneurs installés avec leur famille. On distingue souvent trois grandes parties de Hong Kong. L’île de Hong Kong, dans le sud, a été la première région colonisée par les Anglais. C’est le cœur politique et économique de la région, mais elle couvre moins de du territoire. Kowloon est la zone qui fait face à I me.

En grande partie passée sous contrôle britannique en 1 860, c’est aujourd’hui une zone densément peuplée, où le niveau de vie moyen est bien moins élevé que PAG » rif 7 c’est aujourd’hui une zone densément peuplée, où le niveau de vie moyen est bien moins élevé que sur l’île. Le terme Nouveaux Territoires désigne de manière générale les régions prises en all par les Britanniques en 1898. En surface, ils couvrent près des neuf dixièmes de la région administrative. En population, ils dépassent la moitié depuis les années 2000. ‘île de Hong Kong Nouveaux Territoires Kowloon Il. le miracle économique Hong Kongais En quelques décennies seulement, Hong Kong s’est hissée parmi les économies les plus prospères au monde. Véritable porte d’entrée pour les investisseurs étrangers en Chine et dans le reste de l’Asie — Hong Kong est devenu un centre essentiellement tertiaire. Elle est la 1 le entité commerciale et le 3e centre financier au onde avec le Hang Seng. Son économie est depuis quinze ans la plus libérale du monde. L’objectif de la politique monétaire hongkongaise est de maintenir la stabilité monétaire. ?tant donné son ouverture vers l’extérleur, il s’agit en pratique de maintenir le taux de change ? 7,80 dollars hongkongais pour 1 dollar américain. Depuis 2005, le change se fait entre 7,75 HK$ et 7,85 HK$. ertiarisation . Hong Kong s’est d’abord développé en tant que port commercial. À artir des années 1950, l’industrie, et particulièrement le texti place majeure. Hong PAGF3C,F7 alors de l’afflux de main d’œuvre bon marché. Cependant, la hausse du niveau économique entraine le développement des services à partir des années 1970.

Elles prennent bientôt le pas sur les activités industrielles. un territoire qui dépend énormément de l’extérieur.. La valeur des importations et des exportations est supérieure au PIB, Entré en vigueur le 1er janvier 2004, l’Accord bilatéral de libre- échange dénommé Closer Econamic Partnership Arrangement (« CEPA »), conclu entre la Chine et Hong Kong, prévoit la suppression des droits de douane pour 273 produits exportés vers la Chine continentale ainsi qu’une ouverture préférentielle du arché chinois à 18 catégories de prestataires de services.

L’Accord « CEPA Il », conclu le 27 août 2004, étend à compter du 1er janvier 2005, les avantages offerts par l’Accord CEPA à de nouvelles catégories de produits (713 au total) et favorise l’accès au marché chinois à 8 nouveaux prestataires de services.

La Chine a donc décidé d’ouvrir de maniere prioritaire son marché aux entreprises implantées à Hong Kong, qu’elles soient, et c’est l’attrait majeur de cet Accord, sous contrôle local ou à capitaux étrangers. Hong-Kong font partie des villes en concurrence en terme de entre financiers mondiales. La pollution joue un rôle sur la compétitivité de Hong-Kong car les travailleurs préfèrent quitter la ville et préserver leur santé.

Tourisme : Le tourisme joue un rôle croissant dans l’économie de Hong-Kong, mais cet aspect de l’économie a aussi sa tourisme joue un rôle croissant dans l’économie de Hong- Kong, mais cet aspect de l’économie a aussi sa part d’ombre car en effet l’afflux de touristes continentaux à Hong Kong et plus généralement la populatlon continentale de plus en plus nombreuse à s’installer sur place, provoque des réactions dans es médias et sur les reseaux hongkongais qui n’est pas exempte de xénophobie : le terme couramment utilisé par les Hongkongais pour parler de ces continentaux est celui de « sauterelles », comparant ainsi la population chinoise qui cherchent à s’installer dans la RAS à celle d’une colonie d’insectes ravageant tout sur son passage. Mais rappelons tout de même que le tourisme s’appuyant, entre autres, sur la performance et la qualité des servlces et des transports, est la deuxième source de revenus de l’archipe derrière l’activité commerciale. Ill.

Les aménagements et infrastructures mis en place. Par ces caractéristiques extrêmes, Hong Kong affiche d’emblée les stigmates d’une métropole dont les reseaux de transport doivent intégrer de lourdes contraintes. La quantités massives de flux, la necessité de rentabiliser un sol rare et coûteux, ont conduit le gouvernement de Hong Kong, depuis quelques dizaines d’années à repenser l’accessibilité de son territoire afin de garder une place de choix dans le rang des grandes métropoles mondiales. C’est en 1973 que le gouvernement de Hong Kong décide de procéder à la construction d’un système de transport en commun rapide avec l’ouverture successives