J’avais chaud, et mon front dégoulinait de sueur ardente. La marche m’avait fatigué encore plus qu’à Vhabitude. Car le soleil avait atteint le zénith tardivement et qu’il m’aidait habituellement à m’éveiller. Sur la route, il m’arrivait de penser que ma vie ne me convenait pas dans ce désert appelé Shurima. Et que je rêvais d’un lieu où d’autres personnes iraient avec moi à Homère, cet immense bâtiment d milles, il défiait les loi même de l’architectu grandeur. Mais sa faç Sni* to View r la silhouette à des que par sa ‘était qu’un masque.
En effet, en franchissant chaque après-midi ses lourdes portes de bois abimées par le sable transporté par les vents depuis d’imposantes dunes, je redécouvrais la splendeur de ce lieu incroyable. Le seuil laissait apparaître des chutes d’eaux artificielles d’un bleu céleste entre des murs symétriques. Une certaine fraicheur venait toujours raviver mon confort par une brise qui circulait continuellement à travers les salles. Ces dernières étaient sublimes par leur contemplais les astres et planètes avoisinant ce désert.
Ces sphères, autant vertes que bleues, ne laissaient pas indifférent le paysage que je côtoyais jours et nuits. Plusieurs millénaires suffirent pour qu’elles se rapprochent de Shurima. La source lumineuse de mon système, que je surnommais affectueusement Héméra, semblait elle-même vouloir parvenir à ce royaume de paix et de silence. Pourtant, le vent et le sable résonnaient comme une douce musique à mes oreilles, et toutes les notes étaient libres. Elles ne semblaient pas provenir d’une source matérielle.
Chaque jour, je reposais mon corps dans des douches dignes d’une famille impérlale. Mais jamais je n’ai croisé quiconque arpenter les terres malheureuses du Shurima. Du moins, c’est ce que je pensais jusqu’à ce que mes yeux aperçoivent une des figures déifiées dans une contrée nommée Egypte. L’une d’elle m’avait aperçu et poursuivi à travers la poussière et les dunes. Jusqu’à ce jour, j’avais le sentiment que je ne faisais qu’un avec les lieux. Cependant, durant cette course interminable le sable coup PAG » OF a it les extrémités de mes